[Add] Le rp mèmère le Rp ou y'a rien à faire.

Vrai ?

De joie, elle déposa un rapide baisé sur la joue du Drow

Sage, je serais.

Dit-elle en secouant frénétiquement la tête.

Je fais mon sac, vite fait, pour que rien ne soit volé, oui ?

Demanda-t-elle avec un large sourire.

Certes. Mais dépèches-toi, ordonna Nyarla.

Et lorsque le sac fut fait, ils allèrent tout deux dans la chambre de Nyarla.

Thyria regarda partire le petit couple et se demanda si elle avait bien fait de se dévoiler … Oui elle avait bien fait elle en été sur, sur pour sa sœur de race en tout cas.

Thorur reprit peut à peut ses esprits et ouvrit un œil quand tout à coup ! Lilou repassait devant lui un sac dans les bras, le pauvre paladin ne put s’empêcher de cuire à l’étouffé dans son armure alors qu’il refermé les yeux.

Thyria secoua la tête de dépit et s’approcha de son frère pour lui prendre le bras.
"C’est bon elle est partis aller viens on vas dans la grande salle, des fois je me demande si tu n’a pas peur des femmes."

Heghhdsqklqjdlqiuzea

"Et ouvre les yeux je ne veut pas que tu trébuche et que je me retrouve aplatis sous 150 K de paladin en armure !"

C’est donc laborieusement que les deux Tyrinites revinrent dans la salle principale et s’installèrent à une table.

-Et c’est là que ce rancunier d’Elminster m’envoie dans un monde plein de démons. Tout ça parce que je lui ai planqué sa pipe adoré.
-Oh. Et j’imagine que vous avez combattu les démons pour vous enfuir.
-T’es con ou quoi ? J’me suis planqué. C’est Elminster qu’est venu me cherché 2 semaines plus tard. Juste à temps. J’étais à un poil de cul de me faire serré.
-Oh. A ce point ?
-Ouais, j’en avais déjà les larmes aux yeux.

Valentine soupira. Son père n’avait pas menti. Une fois que Luchev de Souslac commençait à parler, il ne s’arrêtait jamais. Les deux jours de tranquillité durant lesquels le médaillon dormait étaient terminés.

Dans la salle Thyria avisa le jeune noble, l’autre demi drow lui avait parler … et vue la surprise qu’il avait manifesté …
Elle se leva donc et s’approcha de lui avec la démarche d’une vrais femme de la noblesse, bien que son visage était couvert.

"Bonjour messire pardonné mon intrusion je me nome Thyria Hammeride et j’ai constaté que vous avez discuté avec la jeune demoiselle qui est monté il y a peut, puis-je me joindre à vous pour discuter ?"

La demi drow avait une voix calme et qu’elle voulait rassurante, mais sa capuche rabattus ne l’aidé pas forcement …

Valentine recouvrit le médaillon de sa main avant de se tourner vers son interlocutrice.

-Je n’y vois aucun inconvénient. Ouch !

Le jeune ex-noble secoua sa main endolorie. Le médaillon avait soudainement commencé à chauffer.

-Qu’est ce qui a ? Tu veux pas me présenter ta copine ?

Valentine poussa le médaillon dans un coin de la table.

-Ne faite pas attention je vous prit.

Bon... Nyarla réfléchissait. Il avait cédé au caprice de la prêtresse pour qu'elle s'endorme plus vite, et lui laisse un peu de paix.

Mais il était un drow, et les drows n'avait pas besoin de ce sommeil vulgaire d'humain. Sa cible, de plus, était en bas.

Après s'être assuré que lylou dormait, il tenta de s'éclipser sans bruit...

hrp : et là je laisse une chance à Lylou, ce que je vais regretter... pas vrai?

j'ai pas oublié le coup du doudou (= la cape de Nyarla! Laughing

)

Thyria haussa un sourcille sous sa capuche quand le médaillon prit la parole.

"Tien donc un médaillon qui parle ? Un enchantement ? Ou une ame est à l’intérieure ?"

La demi drow s’assit tranquillement sans être visiblement très surpris par l’objet.

"Donné moi votre main."

Le jeune noble s’exécuta sous le ton très professionnelle de la jeune femme, elle fit une très légère incantation en l’honneur de Tyr et la brûlure disparut, comme par magie.

"Au fait qu’elle est votre nom messire ?"

La sensation de brûlure disparue et Valentine se massa la paume.

-Je me nomme Valentine de Souslac. Et ce médaillon contient l’âme mon ancêtre. Et vous ? Quel est votre nom mademoiselle ?
-T'es bouché ? Elle a dit qu'elle s'appel Thyria Hammeride.
Valentine rougit légèrement de sa gaffe.
-Heu, c’est vrai. Excusez ma distraction. J’ai eu pas mal d’ennuis ces derniers temps.
-Ouais, il s’est fait botté le cul et la secousse commence à arriver au cerveau.

Cette remarque value à médaillon de Souslac d’être retourné face contre table par un Valentine furax.

Thorur au fond de la salle semblait avoir totalement reprit ses esprits. Il jeta un regard un peut suspicieux envers l’homme qui converser avec sa sœur, puis il se rappela l’entraînement spéciale qu’elle lui avait demandé il y a de cela un certain temps … Il fit une légère grimasse se souvenant amèrement de l’efficacité de son coup de genoux alors qu’il portait son harnois à ce moment la et se dit que finalement elle ne risquait rien et décida de retourner dans sa chambre ayant quelques petites choses à faire.

Thyria elle était partagé entre amusement et réprobation du médaillon railleur, elle toussota un instant.
"Mais vous êtes tout excusé messire … Il à un … certain franc parlé." Dit-elle en espérant détendre un brin l’atmosphère.
"De qu’elle genre d’ennuis parlez-vous ? Si cela n’est pas trop indiscret bien sur."

-Je faisait référance de mon expulsion du domaine familial de la main de mon propre frère. Cela fait maintenant 4 jours que je suis sans le sou. Et j’avoue avoir un certain à trouver refuge.
-Pourquoi tu lui demande pas un coup de main ?

Le médaillon était retourné et à nouveau prêt de la main de Valentine.

-C’est contraire à l’étiquette.
-Alors là. Tu parles d’une connerie.

Le médaillon commence à émettre un sort assez étrange que Valentine savait être un rire.

Un Drow étant ce qu’il est, c'est-à-dire un Elfe en plus sournois et discret.

Et un assassin étant aussi ce qu’il est, c'est-à-dire un voleur en plus sournois et discret.

Lylou n’avait aucune chance de l’entendre partir surtout que Lylou étant ce qu’elle est… elle dormait profondément et d’un sommeil calme.

Nyarla soupira de soulagment, même si le résultat était couru d'avance à vrai dire. Restait à espérer qu'elle ne se réveille pas, sinon elle descendrait dans la grande salle...

En bas, il décida d'observer la prêtresse Thyrienne, en pleine conversation avec le jeune et déchu noble, pour son plus grand déplaisir.

"Je serais heureuse de vous offrire mon aide messire, mais je ne suis qu’une humble servante du juste et je ne suis pas sur de vous être d’un grand secours, mais je ferais de mon mieux."
Thyria sourit sous sa capuche, espérant vraiment pouvoir aider ce jeune noble finalement sympathique, elle espérait par contre que sa mésaventure lui apprendrais l’humilité qui manque t’en aux nobles en générale.

Thorur venait de rentrer dans sa chambre et ouvrit grand les volets faisant entrer les rayons de soleils matinaux.
Il prit l’une de ses sacoches de voyage et s’installa confortablement sur un fauteuil de chêne, craquant légèrement sous son poids et celui de son armure, il ne quitta pourtant que ses gantelets.
Il ouvrit sa sacoche et en sortit un étrange petit coussin-porc-épique-métallique ainsi que plusieurs coudés de fil de diverse couleur, il prit bien son temps pour passer le bout d’un fil de couleur rouge dans un touuuut petit trou situé à un bout des étranges petites aiguilles d’acier, après plusieurs tentative des plus laborieuses il y arriva enfin et sortit alors ce qui semblait être une grande tapisserie murale plutôt importante et d’une finition des plus remarquable qui semblait retracer divers épisodes marquant de la vie des deux Tyrinite, on pouvait y voir Thyria simplement vêtus de haillons accroupis dans une cellule sombre, un magicien drow jonglant avec une boule de feu à la porte de la prison.
Une autre présentait Thorur sur un siège massif en train de subire la douleur des flammes, ou encore de l’acide, un mage rouge et son chevalier se délectant du spectacle.
Plus loin on y voyait la jeune prêtresse vêtus de son armure en train de combattre d’étrange golem ayant la forme de taureau menaçant au coté de deux femme inconnus et d’un homme.
Le paladin reprit son travaille s’efforçant de représenter au mieux le corps musculeux d’un Diantrefosse des plus impressionnant, la propre image du paladin brandissant sa lame sainte contre l’ignoble créature.
Thorur aurait bien mit plus en avant sa sœur, diminuant ses propres victoires mais l’idée venant d’elle elle prépara elle même les croquis que l’émissaire divin retranscrivait le plus fidèlement possible, la jeune prêtresse l’ayant finalement convaincue … ou plutôt forcer à être parfaitement équitable dans sa représentation.

Un homme entra dans la taverne. De haute taille, une carrure de combattant, et un visage barbus, ainsi qu'une tignasse blonde savament coiffée faisait de l'homme quelqu'un d'expérience. Pour les plus calé en héraldiques, on pouvait distinguer sur sa cape l'insigne d'un commandant de la garde de Padhiver, ainsi que l'oeil le désignant comme l'un des gardes d'élites du Seigneur Nasher. Entre autre terme, l'un des "Neuf de Padhiver".

Et en fait, l'écu que l'homme portait au bras était un poing ganté à demi-ouvert, avec, dans la paume, le symbole des neufs. Et au côté droit, pendait une magnifique épée ouvragée. Son armure, quant à elle, de par ses reflets bleutés, était indubitablement faites de Mithril. Le harnois seyait aprfaitement au paladin, si bien qu'en fait de harnois, cela semblait plus d'un habis épais.

Il s'adressa d'une voie douce et grave au tavernier :

-Une chambre pour la nuit s'il vous plait. Ainsi qu'un verre d'eau.

C'était une voie qui s'imposait, et qui n'avait pas besoin de crier pour se faire entendre. Le tavernier obéit calmement, et prestement, visiblement ravis d'acceuillir une fois de plus un homme à si noble apparence. Les conséquences sur la réputation de sa taverne n'en serais que meilleures!

-Je vous avouerais que n’importe quel aide me serait secourable. Je n’ai guère eu le temps de prendre mes affaires quand mon frère a prit le pouvoir. Ormis une épée, un bien maigre pécule et mon aïeul qui à absolument tenu à ce que je l’emmène. D’ailleurs, à ce propose, je me suis fait rouler.

Valentine s’adressa alors au médaillon qui se trouvant cette fois sur le bord de la table. Sans que personne ne l’ai déplacé.

-Notre accord n’était il pas que j’obtienne votre aide contre ma participation à votre évasion du domaine familial ?
-J’ai dit ça ? Pt’tet bien. Tu sais à mon âge, on a plus toute sa tête. On raconte n’importe quoi au premier couillon venu en lui faisant croire que s’il nous dit bonjour, il sera riche, alors…

Valentine secoua la tête en soufflant, désespéré.
Du coin de l’œil, il regarda passer l’impressionnant paladin et ignora la remarque de médaillon.

-‘Tain, un des neufs de Padhiver. C’est types là, c’est pas des pd !

-Mais j’y pense. N’y aurait il pas une place de chevalier pour moi au sein de votre ordre ?

Demanda t'il à la pretresse.

"Une place de chevalier au sein de l’ordre ?"
Thyria réfléchie un instant cherchant le meilleur moyen d’aider le jeune noble.

"Et bien pour ma part je ne suis qu’enseignante dans une académie militaire et mon frère Thorur est le capitaine suppléant de la garde de la cité d’ou nous venons, à nous deux nous pourrions vous trouvez une place moi à l’académie lui à Anthélis mais je présume que vous voudriez plutôt rester à Eauprofonde, dans ce cas nous pouvons appuyer votre demande au seins de cette cité, Thorur est très influent dans les hautes sphère du clergé mais je ne pense pas qu’il vous aidera comme ça, il faudra certainement lui prouver votre bonne fois.
Peut être que je pourrais vous aidez pour tout enseignement théorique pour ma part.
L’idée vous semble elle intéressante ?"

Kendar, qui avait une bonne ouïe, entendit les propos flatteur, bien que très peu chatié dans le langage.

Curieux, et après avoir but sa choppe d'eau (c'est un soiffard-Chameau : il n'a pas besoin de boire souvent, mais qaund il boit... Il boit), et dirigea son regard vers la curieuse tablée.
Il n'y reconnut qu'un jeune homme, en compagnie d'une silhouette encapuchonnée, portant le symbole de Tyr.
Il entendit la conversation qui suivit, et décida de se présenter.

Salut à vous! Dit-il. Excusez mon intervention, mais j'ai entendue votre conversation, et il semble que je pourrais peut-être aider si besoin est.

De surcroit, je me demandais pour quelle raison une prêtresse de Tyr voyageait encapuchonnée. J'espère toutefois que la réponse n'est pas déplacée.

"Bonjour messire, et bien visiblement messire Valentine de Souslac vous allez pouvoir bénéficier de l’aide de bon nombre de personne."
La capuche revint sur le chevalier massif espérant pouvoir répondre à sa questions convenablement.

"Et bien messire chevalier votre question est tout à fait compréhensible, le fait est que je suis loin de posséder un visage qui apaise les gens, c’est pour cela que je voyage encapuchonné."

Valentine avait bien une idée sur au sujet du capuchon, mais il se tue à se sujet. La proposition de la prêtresse était intéressante. Obtenir une haute place dans la hiérarchie Tyréenne serait une bonne chose. Même si pour cela il devait attendre de faire ses preuves.
Mais l’arrivé dans le conversation du paladin pouvait également faire apparaître de nouvelle propositions. Surtout s’il s’attirait la sympathie des deux religieux. Mais pour cela, il lui fallait se montrer respectueux et éviter les faux pas …

-Oh putain. Valentine, Valentine. Il est en train de nous causer. Un palouf des neufs de Padhiver est en train de nous causer. En vrai. Regarde moi ça. T’as vu cette armure ! C’est un pauvre cul-terreux comme toi qui pourrait se la payer, hein ?
-La ferme !

La tentative chuchoté de Valentine de stopper la crise de fanatisme de son ancêtre fut un échec total.

-Mais qu’est que tu glandes ? Porte moi à sa hauteur que je lui parle directement.

A peine ces mots terminés, Médaillon apparu accroché autour du cou de Valentine tétanisé par tant de manque de civisme. Manque de civisme dont n’importe quel noble rejetterai la faute sur lui. Et les neuf de Padhiver étaient à coup sur une forme de noblesse.

Kendar, surpris, eut un petit recul de la tête, en voyant le médaillon.

Hum, je suis Kendar au fait. Je m'aperçois avoir oublié de me présenter et...

Ce médaillon, il me regarde? demanda-t-il, déstabilisé. Malgré sa grande expérience, il n'avait encore jamais rencontré ce genre de phénomène... À tout les sens du terme d'ailleurs...

-Eh comment que je vous regarde. ‘Tain. J’arrive pas à croire que je suis en train de vous parler. Tiens, au fait, vous auriez pas une place dans les 9 pour mon arrière arrière petit neveu ? Il est un peu fauché et il arrive juste sur le marché de l’emploi. Il est propre sur lui, un peu con mais gentil quand il s’y met. Et je peux avoir un autographe ? Valentine, prête lui un truc pour qu’il écrive.

Valentine retira le médaillon de son cou et le mit dans sa poche, l’entourant de plusieurs mouchoirs, ce qui n’empêcha pas l’air d’être saturé d’un bruit étouffé.

-Veuillez l’excuser. Il est très vieux et a tendance à oublier tout esprit de protocole.

Valentine salua le paladin d’une courbette.

-Je me nomme Valentine de Souslac. Et mon ancêtre à hélas raison sur un point, je suis contraint de trouver quelque travail pour subvenir à mes besoin les plus simples.

Hum...

Kendar eut l'air songeur.

Si vous voulez travailler, à fortiori dans un ordre religieux, ou même la garde, ou que sais-je encore? Il vous faudra de la conviction.
Kendar ajouta : si vous ne vous êtes pas déjà ôté de la tête cette idée, dites-vous bien qu'on ne devient pas chevalier par défaut.

Être noble n'est pas un prérequi, conclut-il. Si vous désirez vraiment faire parti d'un de nos deux ordres, il vous faudra l'intime conviction que c'est ce que vous voulez...

Si c'est le cas, alors je peux vous aider.

Nyarla, durant tout ce temps, suivait les tribulations d'un noble en gogette, viré à coup de fouet dans l'arrière train de ses pénates (trad en Varloth : viré à grand coup de pompe dans l'cul). Il observait, à vrai dire, la scène avec un grand intérêt. Cette intérêt qu'on les primatologues observant une colonie de singe, par exemple. Comprendre leur relation, leur société...

Pour l'instant, les sujets se livraient à des grimaces très amusantes, pensait Nyarla.

Thorur continuait minutieusement son ouvrage dans la chambre, le diantrefosse se profilant vraiment comme la créature infernale qu’il était, les nuances de rouges étant parfaitement représenté la créature semblait plus vrais que nature quand il fut terminé.

Thyria regarda le neuf de Phadiver.
"Je crois bien que messire Kendar à parfaitement exprimé ce qu’il vous faut."

HRP, je reprend Nyarla

Ce qui différenciait fondamentalement un Elfe Noir d’une autre créature ayant reçut l’adjectif noir, c’est le fait qu’il savait être lâche.
Lâche certes, mais avec du panache.
Et Nyarla confirmait cette règle.

A présent qu’un gaillard couvert de mitrill venait d’entrer dans l’auberge et surtout que celui-ci semblait en bonne voie de sympathiser avec sa cible, il la trouvait moins intéressante, de ce fait, et surtout de celui de la carapace d’adamentium de l’étage, Nyarla décida de se détourner d’elle…

Après tout, qu’une jeune demi-drow se dévoue pour remonter la côte de popularité des Elfes Noirs, n’était pas un mal en soit, cela pourrait s’avérer utile et propice pour ses plans d’avenirs.

Nyarlarresh se désaccouda de la rambarde de l’escalier et remonta celui-ci pour regagner sa chambre et y demeurer.

A ce moment, Valentine se laissa aller. Il oublia ou il était et à qui il parlait. Il était un noble et les paroles du 9 de Padhiver firent résonner les cloches de sont orgueil.

-Je suis Valentine de Souslac. Fils de Mar de Lison de Lyron de Souslac. Je ne serais probablement jamais duc de Souslac. Alors je gagnerai mes propres titres de noblesse. De quelques manière que ce soit. Et c’est en cela que je place ma conviction.

Dans les yeux de Valentine, ont pouvais voir une lueur de détermination, mais aussi l’éclat qu’on tous ceux qui rêve de grandeur.

-Je réussirais à me créer mon propre piédestal. Et pour cela, je suis prêt à servir les dieux.

Kendar jugea de l'oeil le jeune homme. Les paroles et les intentions de Valentine n'étaient pas à son goût... Mais il vallait mieux qu'il fasse son trou grâce à l'église de Tyr, plutôt qu'il finisse débauché par quelque autre organisation, tel Chateau Zenthil, pour son orgueil et son ambition.

Qu'au moins elle soit employée à bon escient en somme. Pour le meilleurs.

Parfois, c'était ainsi qu'une vocation prenait naissance.

-Je... Pense que ça suffira. Pour commencer, dit-il.

Puis il s'adressa à Thyria : vous m'en voyez fort contris, mais j'insiste : j'aimerais beaucoup connaître la raison qui pousse une prêtresse de Tyr à cacher son visage. Il fixa la prêtresse, d'un regard pénétrant.

J'aime à constituer mon avis par moi-même, non par ce que tout le monde dis - quand bien même ils ont raison- au final.

Thyria pencha légèrement la tête de coté devant les explication de Valentine et finalement jugea qu’il valait mieux que certain membre fanatique de l’ordre, elle ne fit donc qu’un léger signe de tête approbateur aux paroles du Neuf de Padhiver.
Elle tourna sa capuche vers le paladin.
"Vous devriez rencontrer mon frère vous vous entendriez certainement."

Elle sembla méditer un instant, puis se leva doucement.
"Si c’est vraiment ce que vous voulez montons ce serra plus commode … vous pouvez venir également messire Valentine."
La jeune femme se dirigea alors vers les escaliers et les montas d’une démarche assuré.

Thorur quand à lui se dit qu’il avait bien avancé sur la tenture et rangea tout son matériel avec soin avant se diriger vers la porte de sa chambre.

Aussi calme et assuré qu'un paquebot voguant sur une mer paisible, Kendar suivit la jeune prêtresse, poussé par la curiosité, une curiosité légèrement désapprobatrice, bien que compréhensive.

Visiblement, le commun n'apprécierais sûrement pas qu'elle accède à sa demande en publique, ce qui le chagrina un peu.

Il ne souhaitait une telle vie à personne.

HRP : 3 secondes d’inspiration, j’en profite.

Un hurlement retentit dans la chambre et au travers de la porte.
-WAAArrrgh !

Broum ! Nyarla en tomba à la renverse, au bas du lit.

D’effroi, il replia son avant-bras devant son visage, comme pour se protéger d’une infamie innommable, dans une imitation parfaite d’un individu à l’esprit, plus ou moins douteux, qui venait de rencontrer Cthulhu ou nommé affectueusement le poulpe grabataire.

C’est Quoi CA !
Continua-t-il, dans un cri mêlé de terreur : attitude presque humiliante pour un Drow.

-IIIIII iii Qu’est-ce qui y’a…. quoi ???
La jeune prêtresse s’éveilla en sursaut, elle aussi, prit de panique.

-Dans le lit ! D’un doigt décidé, mais tremblant d’une peur sous jacente, il montra la couche. Il y a un truc froid, comme un serpent !

-IIIIIIIIIiiiiiiii !! Certains mots faisaient réagir Lylou plus vite qu’a l’accoutumé, serpent était l’un de ces mots. Elle se releva vivement se mettant en équilibre, en sautillant de panique, sur les montants du sommier pour se protéger du danger potentiel qui avait prit le lit pour logement.

Aussitôt, Nyarlarresh épée au clair (non, la vraie épée!) se précipita pour enlever d’un coup sec les draps et ainsi découvrir tapie au fond du couchage…rien ! A son grand étonnement.
-Pourtant…Quelque chose de glacial… je l’ai sentit…

-Mais mais… Je n’ai rien sentit moi !

-Normal, c’est venu se coller à ma jambe et…

-Messire, coupa la prêtresse d’un ton morne, c’était mes pieds.