[Add] Le rp mèmère le Rp ou y'a rien à faire.

Le paquet contenait un petit objet métalique, avec une roue à dent, noire.

La lettre disait : "A Thyria :

J'ai juste peint la lame de l'ouvre boite en noir, mais vous pouvez toujours lui dire que la lame est en adamentium...

Amicalement, Thorlan."

Le mot était griphonné, et visiblement, le nain qui l'avait écrit avait plus l'habitude de la solide écriture naine que celle, plus ronde, des hommes.

Un sauvetage félinesque plus tard, Sekhmet se trouvait face à la porte de l’auberge la plus proche : Au Repos Mérité.

Vous ne trouvez pas les coïncidences énormes dans ce monde ?

Sans aucune hésitation, elle entra, ébroua légèrement sa chevelure rousse pour enlever l'humidité de l'air de la nuit, une fois la porte passée. Puis, la démone se dirigea vers le comptoir qui semblait être celui d’une auberge pas aussi miteuse qu’elle ne le pensait, sous les regards médusés des deux ou trois clients veillant la nuit et qui n’avaientt nullement l’habitude de voir des femme au rayures de tigre et encore moins de tigre.
Une étrange aura démoniaque entra elle aussi, invisible aux yeux de la plus part des mortels, elle envellopait tel un manteau la créature vêtue d'une façon étrange (voir description de la dernière tenue de Sekhmet dans le Rp pépére.)

Sekhmet héla le tavernier en ces termes, sans plus d’agressivité qu’un démon pouvait en faire preuve lorsqu’il discutait avec une personne qu'il ne pensait pas tuer dans l’immédiat :

-Holà tavernier ! Est-ce que vous n’auriez pas vu un Elfe, cheveux blanc, la peau noir, un drow quoi ! Qui m’arrive à peu près là.
Dit-elle en montrant de la main la taille de Varloth qui lui arrivait aux seins, alors que les clients s’enfonçaient, de crainte, peu à peu sur leurs chaises.
Vous noterez que sa taille permet des trucs … Grrrvvv … bon ça ne vaut pas les nains qui m’arrivent là.
Dit-elle en montrant à nouveau la taille qui laissait présagé un 69 égoïste.

Donc, il répond au nom de Varloth, il porte des chapeaux ridicules pour tenter d’imiter Jarlaxle … un autre Drow… Varloth est la preuve vivante que l’habit ne fait pas le moine.
Et surtout, il est très très nerveux et sûr de lui, c’en ai insupportable !
Bref, c’est une tête à claque sur patte et… gamin aussi, très gamin… Il fait de petites crises de temps en temps : « nan ! J’veux pas obéir à Vhaeraun » et c’est grâce à lui que je suis dans cette….

Sekhmet arrêta de s’agiter en décrivant l’être qu’elle cherchait avec moult gestes et mouvements de mains. Devant elle, le menton du tavernier avait presque touché le comptoir d’étonnement.
Ha ? Je vois, vous ne l’avez jamais vu, sinon vous ne seriez pas si étonné qu’un tel Male existe.

Sekhmet ne comprenait pas que l’étonnement du tavernier était plus dû au fait qu’une femme bizarre lui demandait, tout naturellement, si il avait vu un Drow !!
He ! Ho ? Vous avez vu mon Drow alors ??

Valentine soupira. L’auberge ne se contentait pas d’être crasseuse, elle accueillait aussi des folles. Mais Valentine n’avait pas le choix. Sans le sou, il fallait bien trouvé un endroit peu chère ou se loger. Valentine prit 2 secondes pour maudire Frederic. Son frère ainé lui avait fait comprendre que Valentine ne devait plus remettre les pieds son les terres du nouveau maître de Souslac.
Les questions de la femme devenaient fatigantes. Elle avait beau être jolie et bien faite, elle était casse pied. Comme si la ville contenait le moindre drow.
Valentine se leva finalement.

-Personne n’a jamais vu de drow à Eauprofonde. Pas vivant en tout cas. Alors veuillez cesser de poser vos questions. Vous faites trop de bruit.

Valentine avait mit sa main à son épée et regardait son interlocutrice avec un léger dédain que sa nouvelle condition de pauvreté n’avait pas encore effacer. Une constitution n’ayant rien à envier à un elfe, une taille très moyenne, Valentine n’avait vraiment que son charisme pour s’imposer. Son physique aurait vraiment été un avantage si Valentine avait été une femme. Malheureusement pour lui, Valentine n’avait de masculin que ses attribues naturels. Mais il le prenait bien. Selon lui, il alliait la grâce féminine à la force masculine. Ce qui n’était qu’à moitié faux.

Et pour le moment, il fixait froidement Sekhmet, attendant qu’elle obéisse, puisqu’il venait le lui donner un ordre.

Sekhmet releva un sourcil et se redressa, la position de repli du tavernier l’obligeant à se pencher au dessus du bar.
Elle se tourna, regarda le seul courageux de la pièce, ses manières et arbora un large sourire pour répondre malicieusement :
-Mais il est choupinou à s’énerver ainsi le seigneur en vadrouille ! Alors ? On cherche à s’encanailler avec les gens de basses conditions ou on essaye de jouer aux espions ? A moins que des excès financier ne vous pousse à … réduire vos dépenses.

Alors qu’aucuns n’avait prit garde à ses mains, son Kiseru s’y était matérialisé et elle le posa à ses lèvres pour en prendre une bouffée dont la fumée dessina, sur le contre jour de la lumière des bougies, de complexes entrelacs.

Les joues de Valentine s’empourprèrent.

-Je ne vous permets pas d’être aussi familière avec moi.. Et sachez que seul le destin m’a poussé dans ce trou de misère. Et que je compte bien reprendre la place qui est la mienne.

Valentine releva le menton. Il était hors de question de laisser cette donzelle le provoquer sans réagir.

-Mais nous parlons et je vous fait peut être perdre un temps précieux. Il vaudrait mieux que vous alliez creuser la terre hors de ma vue. Vous aurez ainsi une chance de trouver votre drow dans son pays souterrain.

-Héhéhéhéhé !
Le rire sadique et enfantin de la femme raisonna dans la taverne.
Hum. Charmant. Un noble déchut.

Puis, dédaignant le jeune homme, elle revint sur le tavernier.
Donc, il n’y a pas d’elfe noir par ici ? Bizarre ?

La féline sorti d’une des poches de sa veste cintré un petit boîtier qu’elle ouvrit.
Voyons ? Pourtant, c’est ici.
Marmonna-t-elle pour elle même
En suivant la flèche de métal, ses yeux rencontrèrent l’escalier qui donnait à l’étage.
Si près et pourtant elle ne sentait ni son odeur, ni son aura. Visiblement la créature au sang Drow n’était pas Varloth. Par contre, elle allait à contre courant comme son petit Drow d’amour (bwuhaha)
Rapidement, elle détourna le regard de l’escalier pour ne pas y attirer l’attention et dans un clap, elle referma le boîtier.

Tenez. De son index, Sekhmet retira un des fins anneaux d’or.
Je prends une chambre pour la nuit, préparez moi un repas chaud, le meilleur poisson que vous avez et aussi le meilleur vin… ce qui à mon avis sera l’équivalent d’une bibine classique. Je redescendrais, le temps de me changer. Faites monter de l’eau aussi.

Le tavernier regarda l’objet comme un chiot découvrant pour la première fois une croquette et le reste de son attitude affirma la comparaison car il mordit l’objet.

Jeune homme, en effet, vous me faites perdre un temps précieux rien qu’en m’adressant la parole. Il n’y a rien de pire que les nobles sans-terres, ils deviennent aussi hargneux que des petits roquets.
Continua-t-elle en gravissant élégamment et lestement les marches de l’escalier pour rejoindre sa chambre.
Bonne nuit, nouveau roturier.

Doucement un client demanda : C’est de l’or ?
-OUaip ! Répondit le tavernier.

Le client se pencha aussi sec à l’oreille de son voisin.-tu penses à ce que je pense ?
-OUaip. Et elle n’est pas armée.
- et elle a plein de babioles brillante, j'ai vu.

[color:1cd1=royalblue:1cd1]Valentine tremblait de rage. Depuis que son frère l’avait mit à la porte, on l’avait volé, on l’avait frappé, on l’avait insulté. Et voila qu’on l’humiliait. [/size][/b]

Finalement il se rassit. Quelque chose céda en lui. La femme avait payé avait de l’or. C’était elle la noble dans l’histoire et lui un simple roturier comme elle l’avait dit. Il n’était plus rien. Seul sa dignité l’empêcher de pleurer. Et en même temps, une voie intérieure lui disait que rien n’était perdu. Il détenait encore le médaillon de Marnes, son glorieux ancêtre. Et grâce a lui, il pourrait retrouver son rang.

Il joua un instant avec son verre puis fut interrompus par un homme ivre qui lui demanda qu’elle était son prix pour la nuit.

Valentine passa alors ses nerfs sur l’homme.

Le patron de l’établissement qui redescendait de la chambre de la « courtisane », comme les clients la surnommaient à présent, à qui il avait porté de l’eau, vis la scène.

-Hé ho ho !
On se calme! Pas de bagarre ici ! Jeune fi.. homme.
Beugla le tavernier au noble qui finissait le poivraut, étendu au sol et maintenu par le col, à coup de pommeau de dague.
(Hrp : ça te convient max ?) Parfait.^^
C’est bon ! Il a son compte !
Qu'est-ce qui c'est passé?

-il lui a demandé son prix. Répondit le pillier-de-bar/ mêle-tout, les mandats étant cumulable.

-ha bon? Vous vous vendez? Tentez avec la Courtisane ou le Paladin si les vrais hommes ne vous font pas peur.

Plus haut,… pas si haut, là, c’est le toit et un peu à droite. Non. L’autre droite. Voilà, vous y êtes… Sekhmet se toilavait.
Pour une femme on aurait dit : se laver, pour un chat : toiletter. Donc pour une femme mi-chat… se toilaver conviendra très bien.
Non ! Thomas arrête d’imaginer Sekhmet dans une position lascive et entrain de se lécher partout ! Pervers!
Et non Varloth ne demande pas, dans l’intimité, à Sekhmet :
-Dit ? Tu ne te ferais pas un petit toilavage ? Rien que pour moi…
Bon revenons à l’histoire… on arrête de se disperser.

Sekhmet se toilavait. Elle se serait bien rendue directement dans la chambre indiquée par la « boussole » mais c’était un acte à se faire directement désintégrer par un Drow pas content. Enfin, c’est ce qu’elle ferait si elle était un Drow pas content.

La vie étant pleine de coïncidence Sekhmet était assise aux bonne endroit pour entendre la conversation juste en dessous

…

Elle vous à dit l’autre droite imbécile !

"Alors qu’est-ce ?"

"Un ouvre boite et la lettre me dit de te dire qu’il est en adamentiume. Petite rire mauvais."

"Ha non ça vas pas recommencer !"

Un rire monta alors, visiblement celui d’une jeune femme.

"Thyria remet ta capuche, et retiens toi de te cambrer quand tu rie, on dirait que tu veut dire à tout le monde que tu à du sang drow."

"Ho Thorur tait toi … ça m’agace de devoir me cacher tout le temps !"

"Je sais … atend je vais t’aider à cacher tes cheveux."

Le silence qui suivit semblait indiquer que l’homme à la voix plus grave que la moyen venait de mettre sa menace à exécution.
Mais il lui cache juste les cheveux.
Ho la ferme !

Plus loin prés des quais.
Non moins haut voilà.
Sur une petite embarcation.
J’ai dit petite c’est pas un navire de guerre !
Mortice, dont le nom peut rappeler le tout puissant Mortice, bien entendus on parle pas de lui, vit apparaître un noble moustachue à son bord qui chercha partout ou pouvait se trouver Sekhmet.

"Hé ! qu’est-ce vous faite sur mon bateau !"

Le pauvre aire fut soulever du sol comme une vulgaire plume.

"Ou est la femme, elle est extrêmement belle et à des arguments et dépuceler un paladin rien qu’en la regardant."

"Ha ben heu elle est partis, visiblement elle aime pas l’eau alors je l’ai conduite à quai."

Le génasi se calma, visiblement il n’y avait pas de danger pour Sekhmet.
Le demi élémentaire reposa donc le pauvre homme et chercha le bouton « reviens » sur la laisse, et la non plus ça ne fit pas un troue bizarre dans lequel il fallait « slider ».

Hum ?
Une oreille de Sekhmet se redressa.
Tient ? Mon maître est là.
Un sourire carnassier scinda le visage de la démone.
Jour de chance ! Faites qu’il ne reparte pa… il est reparti… Pfff.

La démone enfila sa nouvelle tenue :
Botte haute de cuir brun, rodingote brune à entrelacs or, corset blanc et or, chemise de dentelle blanche et tricorne à plume.
Bref la parfaite panoplie de la flibustière.

Et dans cet accoutrement, elle vint toquer poliment à la porte des dévoués de Tyr.

Main levé, yeux braqué sur sa bousolle, ne prenant pas vraiment garde, elle toqua... sur l'armure du paladin...

Bong bong bong

qui avait un air de famille avec une grosse porte ... quelque part... l'erreur est féline.

Sekhmet leva les yeux et compris son erreur

OUps, je me disais aussi que l'auberge n'était pas assez luxueuse pour se permettre des portes en métal.

Sourire géné.

[HRP] Thyria et Thorur sont devant la porte de cette dernière et c’est TYR ! ^^

Thyria redressa la tête en premier alors qu’un bruit de pas se faisait entendre, gardant bien son visage dissimulé sous sa capuche.
La nouvelle arrivante semblait directement s’intéresser à eux, dans l’ombre la demi drow fronça des sourcilles, il était rare de croiser une tel … créature, surtout avec une aura si étrange.

"Bonjour dame, nous pouvons vous être utile ?"

Thorur lui fut moins à laisse, regardant la féline , qui venait de le confondre avec une porte !, il rougit légèrement devant les magnifiques « Yeux » de la démone qui était mis en valeur pas le corset.
Il fronça néanmoins des sourcilles devant l’étrange femme, si il ne se trompé pas elle n’était pas forcement amicale, et elle même ne pouvait ignorer l’aura de bien des deux serviteur de Tyr, l’une étant une puissante prêtresse, et même une championne divine du juste, l’autre n’étant rien moins qu’un de ses paladins les plus fervents vue qu’il était un émissaire divin de son dieux.

Il n'y à pas de mal, on me confond avec beaucoup de chose mais c'est bien la première fois que l'on crois que je suis une porte.

Bien qu’amicale les paroles avait une très légère teinte du surprise et de suspicion, si infime que la démone l’avait presque raté.

Sans aucune gêne, Sekhmet approcha son nez de l’homme ( ??) en harnois et elle le renifla délicatement du bout du museau qu’elle n’avait pas.
-Demi-orc, paladin de Tyr. C’est ça ?

Et voici, notre demi-drow. Dit-elle en regardant la jeune femme et refermant sa boite en forme de poudrier. Au service de Tyr aussi.
Intéressant mélange, moi qui croyait tout avoir vue avec l'une de mes nièce et l'un de mes fils adoptif. L'une est Elu de Sunie alors qu'elle est demi-drow et l'autre demi-drow, aussi, mais... il se prend pour un démon! Sans mauvais jeu de mot, il a une araignée au plafond.

La démone se recula de quelques pas et sourit de plus belle.
Mais, je manque à tout mes devoir. Sekhmet, démone de mon état, au service de Loviathar …Ne sortez pas cette épée, messire… voyons ! Jadis au service de Vhaeraun. Mademoiselle doit connaître et surtout, actuellement, en congé pour quelques heures donc je ne répondrais nullement à vos hostilités.
De plus, je patronne les guerriers donc, je n’aime pas taper sur les paladins.
Continua-t-elle en regardant langoureusement l’homme.
Surtout quand ils sont si bien bâtis.
Sa voix devint un appelle au vice alors qu’elle s’approchait à nouveau du guerrier se collant littéralement à lui.
Tout est proportionnel ? Ou certaines parties…
Se léchant, du bout de la langue, la lèvre supérieur, elle « égara » une main contre l’entrejambe d’adamentium.
… furent mal irriguées et désavantagées ? Miaouw ?

Le couple familiale fut surpris en constatant avec quel aisance la démone avait découvert leurs différence sanguine, ou plutôt celle de Thyria car c’était la seul des deux à se cacher méticuleusement, ils écoutèrent ensuite les paroles de l’étrange féline en tiquant sur certain mots, tel que démone ou Loviathar.
Finalement le plus gros problème vint du fait qu’elle fit un rentre dedans monstre.
La un dénommé Mandor, grand paladin mais également très connus pour ses problèmes avec les femmes aurait rougit d’un coup en émettant des « gheu heu je pas … attendez je suis pas sur que heu … »
Mais Thorur n’est pas Mandor, il est pire que ça, il devint donc si rouge que l’on aurait crus un homard prêt à exploser dans l’eau bouillante, il ouvrit de grand yeux surpris la bouche légèrement entrouverte mais seul quelques légers son inaudible en sortirent. Le paladin ayant tenue tête et vaincus des seigneurs démon était à ce moment la totalement désemparé.

Un bras vigoureux saisit celui de Sekhmet, l’écartant sans ménagement du paladin qui si son sien avait était de métal aurait pus sonner les douze heures de Big Ben.
Thyria s’interposa entre la croqueuse d’homme et son frère, visiblement elle possédait une force non négligeable malgré son apparence de demi elfe.

"Une démone qui patronne les guerrier, seul les dieux ont des domaines tel que celui-ci et je m’étonne de rencontrer un être tel que vous qui prétend posséder l’un des domaines de Tempus.
Ensuite j’aurais une question à vous posez chère Sekhmet, comment ce fait-il que vous ayez put découvrire que je suis en effet une bâtarde drow ?"

-Tu va me faire quoi blondinette ? Me mettre une claque ?

Valentine serra plus fort ses poings. En face de lui, l’armoire à glace se tenait le ventre. Au bar, l’aubergiste se contentait de sourire.
Même en se tenant droit et en bombant le torse Valentine donnait l’impression d’une jeune fille fragile. Et à force d’être prit pour une fille, Valentine en avait copié certains comportements.
Il prit sa chope de façon menaçante se qui fit rigoler la brute. Il arma son bras et envoya brutalement son pied dans les parties sensibles de son adversaire. L’homme ne but empêcher de s’échapper un crie n’ayant rien de glorieux avant de mettre les mains sur la partie meurtrie de son corps. Valentine termina alors son mouvement de bras et écrasa la choppe sur l’arrière du crâne. Puis il donna deux, trois coups de pieds dans le ventre de l’inconscient pour faire bonne mesure.

-Sale pute !!

Un petit homme chauve et un autre plus grand et aussi mince qu’une aubergine s’élancèrent sur Valentine qui du se jeter à terre pour éviter les couteaux.
Cette fois ci, l’aubergiste intervint mais il ne fut pas écouté. Valentine n’eu d’autre choix que de monter les escaliers pour échapper aux attaques fanatiques des deux hommes qui lui criait en même temps toute sorte d’obscénités.

Ho ? Possessive, ma chère ? C’est que le morceau doit être intéressant.
Répondit la démone au instinct de succube en regardant sa proie par-dessus l’épaule de la demi-drow.
Vrrrrr… les proportions, l’endurance, peut-être l’imagination et surtout ce soupçon de naïveté perverse qui ne peut laisser une jeune femme indifférente… Je comprends que vous voulez le garder pour vos besoins personnels, très chère.

Les yeux de Thyria ont une particularité, quand elle est dans une attitude neutre ils oscille entre le blanc et le rouge de ses parents drow, cependant ils changent de couleur de manière spectaculaire en fonction de certaine émotion mais pour la colère le rouge lui allait à ravire, seul l’ombre de sa capuche masqua son regard assassin et le rouge qui lui monta aux joues.

"Il s’agit de mon frère éspèce de ... de prostitué !"

Thorur était très mal à laisse devant ce qui s’était passé, et surtout par le language des plus vulgaire que venait d'employé sa soeur.
Il se calma t’en bien que mal, détournant les yeux de la démone mais ayant toujours les joues très rouges.
Tout à coup ce qui semblait être une jeune femme en difficulté passa devant eux, Thorur surpris la suivit du regard sans comprendre quand finalement trois brutes s’écrasèrent violemment contre le roc d’adamentiume.

Non mais ça vas pas crétin d’orque !

Le paladin poussa un soupire.

"Demi orque c’est pourtant pas compliqué"

Ouais ben demi ou pas t’est qu’un gros porc qui nous bloque le passage pour trucider cette petite putain !

Thorur soupira une nouvelle fois tout en retirant son gantelet.
Les trois hommes comprirent alors leurs erreur devant le regard peut amicale du paladin, quelques, et trois baffe plus tard, les trois hommes était affalé sur le sole inconscient.

Pendant ce temps, Sekhmet continua la conversation avec la moitié qui lui était attribuée.

-Votre frère d’âme, pas de sang, ou alors votre mère aimait vraiment l’exotisme, un Orc, puis un Drow.
La bouche de la démone vint susurrer à l’oreille de la drow, sans que sa voix roque et sensuelle ne baisse pour autant.
Et sans aucun doute, vous l’aimez. Cela se lit en votre âme et cet amour changera bientôt oubliant la fraternité pour aller vers…
Sekhmet se recula, sourire énigmatique aux lèvres, ses fines et puissantes griffes vinrent frôler, un instant, le menton de la jeune femme.
…mais vous le savez autant que moi. Votre sang Drow ne ment pas et il se réveille qu’au moment où votre âme et votre orgueil sont touchés au plus profond. Regardez-vous, je vous ai tellement déstabilisée que vous en avez oubliée ma véritable nature et vos questions les plus sérieuses.
Vous êtes belle, vous serez courtisée mais aucun ne vous rassurera et ne comprendra vos peines comme lui le fait.

Thyria était déstabilisé par l’assurance de la démone, comment faisait elle pour lire en elle ainsi.
Mais une chose la turlupiné elle aimé vraiment Thorur mais comme une sœur peut aimer son frère pas plus et pourtant ce qu’elle venait de dire avait les accents de la vérité.
Le regard de la demi drow perdit de sa couleur sang, finalement elle releva la tête le bref moment d’hésitation passé, son regard était maintenant d’un gris aussi tranchant que l’acier.
Elle reprit la parole, sur d’elle.

"Thorur et moi somme frère de sang notre mère ayant vécu trop d’atrocité à cause d’être comme vous.
Vous êtes très fortes pour trouver les mots juste je doit le reconnaître mais je ne suis pas aussi bête que vous semblez le croire, j’ai été accepté en plusieurs endroit malgré ma différence."

Elle remit correctement sa capuche qui était un peut retombé quand Sekhmet s’était approché d’elle.

"J’enseigne même la théologie dans une académie militaire alors j’aurais certainement la chance de pouvoir trouver un … une personne qui me comprendra."

Thorur lui prit le partis dès le début de la discutions de retrouver la pauvre femme qui n’avait maintenant plus rien à craindre et s’éloigna de l’échange d’argument sans en avoir saisit un mot.

Etes vous certaine de ne pas être aussi bête ?
En quelques échanges vous venez de m’avouez que vous vraiment frères et sœur et aussi que vous étiez demi-drow : « comment ce fait-il que vous ayez put découvrir que je suis en effet une bâtarde drow ? »
Il faudra apprendre à tenir votre langue petit oiseau nocturne.
De plus, je me suis approché de vous, sans aucune révolte de votre par, j’aurais pû vous poignarder.
SHRINGK.
De longues et acérées griffes sortirent du bout des doigts de la démone.
Avec mes armes naturelles.

Soyez plus sur vos gardes ou vous ne vivrez pas longtemps.
En ce monde, je ne peux tuer, je peux accélérer de quelques jour une mort inéluctable mais je ne peux changer le cours des événements de mon propre chef…
Sekhmet soupira de dépit.
Décision divine pour éviter une apocalypse. Donc, vous ne risquiez rien, mais, avec d’autres démons que moi…

Brrrrr
Le ventre de la démone gargouilla.
Humrr? Il fait faim, là. Vous m'excusez, j'ai un poisson qui m'attend.

Thyria était loin d’être une roublarde, elle n’avait même aucune notion de planter une dague dans le dos mais elle avait d’autre atout.
Cependant la la démone venait de la mettre en échec malgré tout, et si elle avait quelques riposte en tête elle se garda bien de dire qu’elle les possédés.
Son regard ne vacilla presque pas quand Sekhmet avait présenté la faiblesse de la demi drow, son regard toujours d’une gris d’acier

"Que vos démons attaque je suis loin d’être une gamine apeuré qui à besoin de son frère pour se défendre."

Sekhmet leva les yeux au plafond et descendit les marches des escaliers.

Si ça ne vous déranges guère, j'aimerai continuer cette conversation à table.

Et je n'ai jamais prétendue que vous aviez besoin de votre frère pour vous défendre par contre, vous, vous venez de l'avouer.

Finit-elle en bas de l'escalier.

Thyria tiqua ça l’agaçait franchement d’être ainsi rabaissé par cette femme si prétentieuse et finalement si doués.

Thorur revint vers elle.

"Quelque chose ne vas pas ?"

"Rien cette démone est …."

Thyria ne trouva pas les mots.

"Oui je vois ce que tu veut dire …"

Le couple descendirent finalement pour se diriger la ou se trouvait Sekhmet.

"Bien, on se pose une petite question."

"Qu’est ce qu’un être tel que vous viens faire ici ?"

Devant une table couverte de victuaille, la distinguée Sekhmet était difficilement identifiable.
Une assiette soulevée dans une main, la fourchette servant de truelle rabattant la nourriture dans sa bouche grande ouverte, Sekhmet postillonna :
-Mouif ?

Elle se tapa le torse pour avaler le contenu plus rapidement avant de ré-engouffrer de la nourriture.
Moiach ? Muimmiam… je cherfe… Glouglouglou… mon Dowf.

Les deux serviteur de Tyr échangèrent un regard intrigué et dirent à l’unisson.

"Votre quoi ?"

Glouglouglou. Burp !

Brumhum.
Toussota-t-elle en mettant sa main devant la bouche, se qui était parfaitement intriguant pour ceux qui avait entendu son rôt juste avant.

Je cherche mon Drow. J’étais jadis au service d’un Drow, et comme je l’aime bien, je le cherche.

Vous savez, nous autres démons ne sommes pas des Diables. Nous avons des sentiments mais nous sommes perverti.
Le désir devient l’envie, la passion >la luxure… ect… Je dirais même que c’est notre excès de passion et de sentiment qui nous rend imbuvable. Un verre ?
Proposa-t-elle en poussant sa bouteille de vin vers ses convives.

"Nous ne buvons pas d’alcool."

Les deux Tyrinite avait un peut de mal à en croire leurs oreilles, elle aimé bien quelqu’un ? Bon c’était un drow mais quand même.

"C’est très gentil de nous apprendre tout ça mais visiblement vous vous êtes trompé d’endroit, Ombretrerre c’est beaucoup plus bas."

Vous devriez, boire, ça détent. Tyr est un adepte des millésimés, mais chut... Je ne vous ai rien dit.
Elle cligna de l'oeil.

Miam mium grumph mium.

Mouich, je fsais ! Continua-t-elle entre deux baffrages.

Mais il est en surfafe… Misfion pour Vava.
Gloup.
Mais dites moi ? Nous sommes quelle années ? Je ne reconnais pas EauProfonde ?

Au début, leurs présences dans les ruelles furent dévoilées par le tintement doux des grelots aux chevilles de la jeune Elfe.
Puis, leurs silhouettes apparurent sur les quais.

Lui, serein et puissant, telle l’ombre menaçante d’un orage se dessinant sur les cimes rocheux des montagnes, il avançait d’un pas assuré que rythmait le cliquetis de ses armes.

Elle frêle et fragile, tel un pétale de rose fraîchement tombé qui dansait sur les vents, elle se déplaçait sur les pavé.

Lui, Nyarlarresh, arborait sa lourde cape, à la coupe semblable à celle d’un majestueux piwafwi que le vent tentait désespérément de soulever comme pour trahir l’assassin qui s’y dissimulait.
Sa large capuche rabattue sur la tête cachait son noir visage dans une ombre abyssale dont seul le rougeoiement partiel des yeux dévoilaient qu’elle abritait un visage et non de la nuit.
Il avançait sans s’arrêter, le raisonnement des talons de ses hautes bottes noir, sur le pavé humide, lui attribuant à juste titre un pas militaire.
Son pas crissa, il tourna pour s’engouffrer dans une ruelle, sa cape se souleva, dévoilant une armure de cuir pour qui un cambion se serait empallé et une main gantée de noir sortie du manteau une rapière. Il signifiait par ce geste, à tous les truands des environs, qu’il ne désirait pas perdre son temps à les faire passer de vie à trépas.

Elle, Lylouminaï, s’arrêtait, profitait du paysage que lui offrait le clair de lune sur l’étendu plane de la mer, puis, repartait à petit pas de course rejoindre l’homme, les voiles légers de ses robes fluides voletant aux vents et son parfum de fleur d’églantier couvrant par notes légères la puanteur des poissons éviscérés.
Elle était belle, d’autres mots auraient pu être attribué à cette elfe mais celui-ci était le premier qui venait à l’esprit. Le second était innocente et le troisième agacente.
Ses longs cheveux pales et mauves caressaient ses épaules à peine couvertes d’une cape blanche et ses yeux cristallins regardaient avec une admiration et une passion non dissimulée l’Elfe noir qu’elle suivait comme une muse suivrait un poète.

Rare était les Drows males qui pouvaient se vanter d’avoir, un jour, eut un tel regard posé sur eux, mais Nyarla en était paré ; ce qui lui conférait d’autant plus de puissance et de dignité. Il était Nyarlarresh Sub’Nuggurath, celui que les matrones convoitaient car il était spioniste, celui qui était monté en surface pour échapper à ces convoitises et qui a présent maintenait la réputation des Drows auprès des humains, sa race devait être cruelle et meurtrière et un agent de Tyr n’avait pas sa place dans ses rangs.

La jeune Lylou, du haut de sa vingtaine d’années, ne connaissait rien des intentions du Drow qu’elle couvait de ses attentions.

Sir Nyarlarresh? J’aimerai juste vous posez une question.
La voix enfantine et chantante venait de l’elfe.

Pourquoi portez vous une cape noire ?
Si c’est pour être discret cela ne l’est pas.
Car tout le monde sait que les capes noires sont portées par des personnes qui veulent être discrète et c’est à cause de ça que l’on fait attention à eux. Hum ?
Et aussi, pourquoi vous sortez votre épée ??
Et encore une chose….

Sous le regard noir du Drow, enfin rouge plutôt, la semie-drow qu’un certain torque dissimulait en Elfe se tue et détourna le regard.
Pour reprendre un instant plus tard avec le timbre d’une enfant triste : je voulais juste savoir où on allait. C’est tout.

Nyarlaresh, toujours marchant en mode "militaire"de mauvais humeur, ce qui était une constante pour un Drow normalement constitué ( Nous considérons Varloth comme anormalement constitué, d’ailleurs) répondit sèchement, sans même se retourner :

Nous allons quelque part dans Eauprofonde!

Puis, présageant d’un nouvel assaut de questions, il ajouta :

Une auberge, pour manger.
Et accélère le pas au lieu de flâner, je désire me sustenter au plus vite.