[Add] Le rp mèmère le Rp ou y'a rien à faire.

Thyria fronça des sourcilles en entendant que le père de substitution de Lylou était un chevalier noir …
Mais quand Nyarla parla, « d’ancienne pucelle pour certaine » elle plaça ses deux mains haut sur ses cuisse en regroupant ses jambes et rougissant, ou plutôt devenant violette de honte, la tête basses, quand il fut sortit elle dit à mis voix.

"Ça … Cela se vois t’en que ça ? …"

Elle avait une voix hésitante.

«-Voir quoi ?»
Demanda Lylou en s’essuyant les yeux pleins de larmes.
«Ho ! Ca ? Nan, il l’a deviné. Il est fin psychologue et certaine attitude ne trompe pas. Je dirais que vu votre attitude, vous être toujours vierge mentalement mais pas physiquement.»

« -On arrête de parler de moi !»
Fit une voix au travers de la porte.

«- C’était des compliments!!»

«- Pas une raison !»

Sans trop faire attention Thyria retira ses chaussures d’un geste et ramena ses jambes tout contre elle, si bien qu’elle avait le menton posé sur les genoux.

"Vous avez sans doute raison."

Les yeux maintenant visible de la prêtresse affichait un gris nuage affligeant.

"Mais j’aurais préféré le rester dans les deux cas …"

La demi drow avait parlé juste assez fort pour que seul Lylou entende, ce n’était pas le genre de chose qu’elle voulait partagé avec quelqu’un comme Nyarla, même si il l’avait deviné.

« Ce n’est pas la peine de parler tout bas, si il veut entendre, il entendra.
Ca m’étonne d’ailleurs qu’il vous ait laissé vous débâillonner. »
Lylou passa de la position accroupie à celle en tailleur, oubliant qu’elle n’était pas du tout habillée.

«-Il y a une chemise accroché au barreau du lit.»

«-Maiheuuuu ! Arrêtez de regarder au travers des murs ! Pas drôle !!»

Thyria se rendit sans doute compte en même temps que Lylou que cette dernière était nue, et elle rougit, car même si c’était une femme la nudité elle même la gêné.
Elle laissa la prêtresse s’habiller dans l’intimité.

"Cela ne vous gêne pas qu’il vous … enfin qu’il vous regarde quand vous êtes nue ?"

« Bha ? Je suis trop métisse pour être à son goût et trop bien protégée pour qu’il puisse abuser… Et puis, les Elfes Noirs voient en infra-vision. Ils peuvent regarder par delà les vêtements ! »

Dit-elle en enfilant la chemise qui appartenait à Nyarla.
« Mais ne changez pas de sujet. Vous mourrez d’envie de me poser certaines questions, ça se voit ! »

"Hein ? Il peut regarder à travers les vêtements ?!"

Thyria resserra encore ses jambes contre elle, comme ci cela pouvait bloquer les élans pervers du drow.

"Et bien .. ha vrais dire je ne sais pas trop par ou commencer, bon … Que faite vous dans la vie ? Ou êtes vous accepté ? Comment faite vous pour si bien vous déguisez ? Comment faite vous pour être si féminine alors que certain vont vous rejetez ? …"

La prêtresse cligna des yeux un instant, une fois lancé elle avait posé plus de question que ce qu’elle croyait, et certaine, étaient plutôt directe.

« Je suis Barde, danseuse. Je fais partie de la Troupe du Flambeau. Tout le monde est accepté dans cette troupe. Mais pour les yeux extérieurs à la troupe, j’utilise le torque que mon oncle, Min Gorath, m’a donné, il est magique et me permet devenir l’être qui m’est le plus proche physiquement. Je deviens une demi-elfe avec se collier.
Pour la féminité, je suis danseuse, je suis obligée d’être féminine hihihi… sinon, pensez à une chose, c’est ceux qui vous repousse qui rate quelque chose et non l’inverse.
Sinon… je suis archiprêtresse de Sunie, mais ça, ce n’est qu’un détail. »

"Tout le monde ? .. ça alors .. ce doit être une troupe qui vaux le coup d’œil ! Et c’est donc une torque qui vous donne cette apparence de demi elfe …"

Thyria en fut quelque peut déçut si cela avait été un déguisement elle aurait pus l’apprendre mais un objet magique …
Elle redressa la tête ses yeux ayant quelques éclats vert.

"Archiprêtresse de Suni rien que ça ? Pas étonnant que vous attirez t’en les regards .. ceux qui me repousse qui rate quelque choses … "

Ses yeux se perdirent à nouveau dans le vague.

"Peut être, après tout à l’académie je ne suis pas une trop mauvaise enseignante je pense."

Elle faillit demander à la bardesse quelques conseil beauté mais se ravisa, elle était presque toujours caché, cela ne servait à rien.

Pourquoi avez-vous honte de ce que vous êtes ?
La question fatale fut posée.

Thyria fut surprise de ce que dit Lylou mais elle du reconnaître qu’elle n’avait pas tord.

"Peut être … peut être parce que les gens ont peur en me voyant, peut être parce qu’ils me prennent pour ce que je ne suis pas … je fut mise en prison juste à cause de mon apparence … et quand finalement certaines personnes me regardait avec moins d’hostilité … ils profitaient de moi, alors … alors oui je crois bien avoir honte de ce que je suis, un être anormale et crédule."

La prêtresse ne disait plus rien, ses yeux gris nuage s’abîmant dans la contemplation des draps.

« Vous grossissez les choses. Vous voyez tout noir.
Tous ne savent pas ce qu’est un Elfe noir. De plus, si vous voulez vivre paisiblement, il faudra que vous retiriez cette capuche.
Faites vous un nom, sans votre capuche, et vous serez Thyria et non la drow.
Et puis, Nyarla à vécu plus de 45 ans seul en surface !! Et lui, il n’est pas métis ! »

« Commère ! Tu as bientôt finie de parler de moi !!!»

Lylouminaï retint un rire.

"Vous … vous avez peut être raison … "

Thyria lâcha un petit rire amère.

"Et dire que je me plein alors que vous même êtes une demi drow, je doit paraître bien égoïste, mais je crois bien que vous avez raison, une fois j’ai pus me promener en ville sans capuche et je doit dire que j’avais adoré ça !"

Il tourna un regard pétillant de vert.

"Vous pouvez m’aider à me faire belle ? Je ne me suis jamais « pouponné » comme dise certaine et j’aimerais bien essayer une fois."

Stop !
Nyarla en grand gardien des intérêts de Lylouminai… enfin… des siens à lui.

Elle n’est pas encore levé, elle n’a pas encore prit son bain, elle ne ma pas encore frotté le dos, elle ne m’a pas encore démêlé les cheveux, elle ne m’a pas encore….
Ce qui au début était une plaidoirie pour sa prêtresse devint rapidement un aggloméra de revendication personnelle.

"Rhoooo ne soyez pas boudeur messire Nyarla, je ne vous la prend pas longtemps …"

Devant le plaidoirie, ou plutôt les revendications personnels.

"Bon et bien j’aiderais dame Lylou dans ce cas, plus tôt on en aura fini avec vos recommandation, plus tôt on pourra jouer au fille qui se pouponne."

Un air neutre sur le visage ; Nyarla ajouta :
Vous désirez tant que ça de me voir nu ? Je vous ignorais si audacieuse !

Je prends mon bain avec Lylou. Et je ne suis pas habillé.

Thyria rougit .. ou plutôt devint violette jusqu'à la racine des cheveux.

"Vous … vous prenez vos bain ensembles ?"

La prêtresse trouvait de plus en plus étrange les habitudes de ce couple pas du tout comme les autres.

"Bon et bien heu .. dans se cas je vous laisse, prévenez moi quand vous aurez fini, je serais dans ma chambre."

Elle se dirigea donc vers la sortie en indiquant dans quel chambre elle se trouvait.
Finalement la prêtresse fit demi trous sur le pallier de la chambre du drow.

"Mes chaussures."

Avec un sourire gêné elle se rechaussa et sortie de la pièce en remettant sa capuche.

En entrant, elle faillit percuter l’Elfe Noir qui lui sortait pour se diriger, recouvert de son Piwafi, vers le rez-de-chaussée.

Lylou, elle, était toujours dans la chambre et se contenta de dire :
« il est parti commander le bain. Il est très à cheval sur son hygiène, normal, c’est un Elfe, même Noir, il reste un Elfe. »

"En même temps je le comprends, il est bien plus agréable de se sentir propre."

Thyria eu une moue de réflexion.

"Ho fait vous ne m’avez pas répondu, cela ne vous dérange pas au moins de m’aider à … enfin à me mettre sous un meilleur jour ?"

Thyria resta sur le pallié de la porte, l’ombre de sa capuche dirigé vers la Sunite.

Valentine montait les escaliers en essayant de ne plus écouter les babillages incessants de son ancêtre.

-Ecoute petit. Les femmes c’est comme une grande tartine de confiture une fois que tu as mit un pied dessus pas moyen de t’en dépêtrer.

Mais ça ne veut rien dire. Pensa t’il, Médaillon ne l’écoutant plus de toute manière.

-Donc après ce que tu viens de faire, faut t’excuser, OK. Et surtout, tu fais comme si l’autre drow n’existait pas.

Justement, il le croisa à l’instant et le jeune homme aurait juré qu’il avait entendu ce que disait Médaillon. Le jeune noble arriva prêt de la chambre de la prêtresse de Sunie et constata avec étonnement que Thyria l’avait devancé. Il s’approcha d’elle.

Excusez moi, est ce que mademoiselle Lylouminaï est réveillée ?

Le croisant, Nyarla regarda le noble du coin de l’œil, d’un regard qui disait : attention à toi si tu en fais de trop.
Mais déjà sa capuche par-dessus son visage n’offrait comme prise à l’œil que deux éclats rouge sang. Il arriva au comptoir, y posa un pièce d’argent et ordonnant :
-faites monter une baignoire et de l’eau chaude, bien chaude.

Le tavernier se tourna pour répondre, mais l’interlocuteur encapuchonné était déjà repartit.
-pfff… ces gars qui se la jouent mystérieux !

-Bien sûr que je vous conseillerai.
Répondit enchanté la semi-drow, toujours en chemise assise sur le lit avec des airs d’enfant.

Et bien, pour être réveillée, vu le combat que Dame et Nyarla mon offert en guise de cloche d’appel, oui, je suis réveillée !
Dit-elle avec un sourire amusée, ne rendant absolument point compte qu’elle en avait trop dit.

Durant un instant, Valentine parut horrifié en regardant Thyria.

Ce cuistre vous a attaqué ? Ce bandit n’a-t-il donc aucune limite ?

La voix de médaillon s’éleva.

Pssst ! Hé ! chuchotta t’il d’une façon plutôt audible. Oublis pas pourquoi t’es là.

Le visage de Valentine rougit et il acquiesça.

C’est vrai. Mademoiselle Lylouminaï, je suis venue vous demander de m’excuser. Par ma maladresse, je vous ai violenté. Aussi, si il y avait un quelconque moyen pour que vous me pardonniez. N’hésiter pas. Moi, Valentine de Souslac, je jure de vous obéir.

Une voix s’éleva au niveau de son torse.

Ah mais quel con.

Ah! mais quel con !
Fut aussi la phrase qui traversa l’esprit du Drow qui revenait à sa chambre.
Je sens qu’il va m’amuser l’animal !

Lylou, elle répondit naturellement :
-Ho, non ! Ne vous sentez pas obligé de vous astreindre à une telle obligation ! Vos simples excuses me suffisent amplem…

TttTttTtt. Voyons très cher Lylou ! Tu ne vas pas être désobligeante envers cet homme chevaleresque qui te propose ses services ? Il pourrait prendre cela comme un affront !
Un grand sourire, d’un blanc éclatant s’était posé dans l’ombre du couloir, entre Thyria et Valentine, autour de se sourire, le visage réjouit de Nyarla qui déjà voyait toutes les possibilités qu’un chevalier servant, au service de sa petite esclave personnel, lui offrirait.

"Messire Nyarla, il me semble que dame Lylouminaï à toute autorité sur cette affaire, laissé la donc finire sa réflexion."

La prêtresse trouvait certes sympathique la bardesse, mais il y avait un petit quelque chose avec ce drow qui … enfin l’aura de Suni suffisait amplement pour cacher ses craintes.
Elle se tourna ensuite vers la Sunite.

"Reprenait donc, je pense que l’intervention de sir Nyarla à empêcher notre ami d’entendre votre réponse."

Pendant ce temps des choses terribles se prépare ! .. en fait non c’est juste pour faire genre.
Thorur avait commandé un repas sans alcool pour l’avariel, il le regardait avec un air attristé.

"Vous noyer dans l’alcool ne vous servira à rien, surtout vue comme vous le tenez."

La bouche légèrement entrouverte, Llylou regardait, par-dessus l’épaule de Thyria, Nyarla qui malgré son silence semblait posséder sur la nymphette une grande influence.
Je… J… comme il vous siée messire. Adressa-t-elle enfin à Valentine en tournant son doux visage vers lui.

Nyarla eut un gloussement inaudible tant sa jubilation était forte.
Ma chère, au rez-de-chaussée, il y a une créature que tu ne risques pas de rencontrer souvent : un Avariel. Un elfe ailée!
Il savait parfaitement que Lylou était avant tout une enfant curieuse,

et le fait qu’elle se lève, debout sur le lit, en criant presque :
Vrai ?
Ses grands yeux pleins d’espoir ne faisait que le confirmer.

Thyria fronça des sourcils, visiblement Nyarla avait une grande influence sur la jeune semi drow et cela ne lui plus pas spécialement.

"Oui en effet Thorur est avec lui, il semble déprimé."

La prêtresse n’ajouta rien, ne voyant pas quoi dire de plus, mais elle se dit qu’elle tiendrais le drow à l’œil.

-Je le sait, mais j'ai essayé touts les moyens... Je ne sais plus quoi faire...

-Ho oui, tient moi à l'oeil...
Souffla-t-il doucement dans l'oreille de Thyria, son souffle frôlant le cou de la prêtresse.
... ça me rappellera mon pays, où toutes les femelles me tenaient à l'oeil.

Nyarla avait cette faculté que tout psionniste possédait, celle de deviner les sentiments les plus forts des individus.Une sorte de prémices à la télépathie.
Héhéhéhéhé.

Quand à Lylou, elle se précipita à la porte, poussant l’attroupement comme une gamine pousserait des personnes qui l’empêcherait d’approchait un sapin de noël le matin du 25 janviers.

Thyria serra les dents pour ne rein montrer de sa surprise.

"Ne poussez pas le bouchon trop loin quand même …"

Souffla t’elle au drow avant de se faire bousculer par Lylou.
Surprise elle se mit à courir après elle.

*Mais elle ne porte qu’une chemise !*

Pendant ce temps Thorur regardait l’avariel sans se douter du grand danger que le pauvre paladin courrait avec une archi prêtresse de Suni à demi nue qui voulait absolument descendre.

"Ecoutez vous ne savez plus quoi faire, mais moi je sais, aller de l’avant ! Trouver vous un objectif ! Et ne rester pas planté la à vous morfondre, la seul chose que vous y gagnerez sera la perte de votre dignité."

L'avariel se redressa, il sembla devenir plus grand, plus imposant

-Vous avez raison! Je ne dois pas baisser les bras! Bien que ca fasse maintenant 5 ans que je cherche, je dois continuer!

Le demi orque regarda l’elfe ailé surpris.

"5 ans ? voila une bien longue période pour une enquête mais de vous voir si motivé donne du baume au cœur, voila comme il faut réagire !"

"-Toutefois, il faut savoir faire une pause. Les personnes de cette auberge ont l'air acceuillants, je vais rester ici un moment pour laisser à mes ailes le temps de totalement guérir."

"Je vous comprend, moi même quand je devais mener des enquète ardus Thyria me forcé à faire des poses pour y voir plus claire. Vous êtes plus raisonnable que moi messire !"

"Thyria?"

L'avariel avait levé un sourcil en entendant ce nom.

"Il me semble connaître ce prénom"

"Il s’agit de la jeune femme qui vous a soigné à l'étage"

-Humm. .. oui, ça me revient. La silhouette encapuchonnée?

en effet

Le demi orque le regarde, se demandant comment il vas réagire à l'anonymat de sa sœur.

"-Pourquoi une prêtresse, ou une paladine de Tyr dissimule ainsi son visage."

Le demi orque poussa un léger soupire, cherchant ses mots.

"Disons que son visage ne correspond pas toujours à ce que les autres pensent d’une grande prêtresse du juste."

L'avariel sourit

-Car vous croyez que les miens ont accepté mes choix?

Le paladin fronça des sourcilles, ne comprenant pas ou il voulait en venir.

"Les choix de vénérer une divinité humaine, de parcourir le vaste monde, d'aider son prochain?
Que nenni. J'entretien depuis des relations très tendues avec les autres membres de ma famille."

Le demi orque réfléchit un instant.

il est vrais que cela na pas du être à votre avantage … mais bon vous êtes sans doute moins surprenant que moi consolez-vous ainsi ! Après tout on ne croise pas souvent de demi orque paladin du juste.

Thorur eu un sourire, espérant amuser l’avariel qui sortait de sa morosité.

Il est vrai que si je n'avais pas senti votre aura bénéfique, je vous aurais surement attaqué

Le paladin sembla un instant surpris.

"à ce point ?"

Le chevalier semblait partagé entre l’amusement, et le fait d’être vexé.

Je ne veux pas m'étendre sur les raisons de cette hypothétique action Cela relève de ma vie privée.

Thorur sentit qu’il touchait à un point sensible.

"Très bien je respecterais donc votre vœux messire."

Il sourit un instant à l’avariel, comprenant parfaitement que l’on préférer gardé certaines blessure pour sois.

-Bien! J'espere passer un moment tranquille ici

Dit-il, en s'écartant de la table, élongeant ses jambes sveltes, battant ses ailes et grimmançant durant cette action.

-Elle mes font encore mal, dit il a voix haute pour lui-même.