[Add] Le rp mèmère le Rp ou y'a rien à faire.

Et ? Pourquoi vous sortez votre épée ?

Demanda Lylou en accélérant le pas pour… faire demi-tour pour allez à la rencontre d’un miséreux qu’elle avait aperçu dans l’ombre d’une ruelle.

A défaut de miséreux, celui-ci était un voleur que la dégaine de l’homme en arme n’avait pas rassuré, mais ça, lylou qui sortait déjà quelques pièces, ne le savait pas.

Nyarla dû se faire violence pour ne pas éviscérer le loqueteux faux mendiant, la milice à Eauprofonde étant trop bien organisée.
-Rhââ, elle m'énerve!

La rapière du Drow passa par-dessus l’épaule de la jeune prêtresse pour venir chatouiller la glotte du coupe bourse ou jarret suivant ses opportunités qui, sans l’aura de Lylou, aurait déjà dépouillé et violenté la jeune fille. Cette chose n’échappa pas au Drow qui tiqua sur la dague en main du Voleur.
Lylou, éloigne toi de cet être, je te prie. C’est un assassin en herbe, je sens se genre de chose. Je te rejoins après une discussion avec messire.

Lylou qui avait l’habitude de recevoir des ordres d’un certain moissonneur d’Ame, obéit aussitôt.
Et alla attendre, calmement, air penaud, au milieu de la rue adjacente.

Bien, je te donne le choix, soit mourir dans la honte en hurlant comme un porc qu’on égorge ou en silence comme doit le faire un assassin digne de ce nom.
Proposa Nyarla, d’un ton serein et amusé en dégageant une dague de sa botte.

L’homme surprit ne comprit même pas que sa vie venait de s’achever alors que le Drow sortait de la ruelle en essuyant sa lame avec un bout de cape.
Voici, Lylou, la raison pour laquelle je porte une cape noire. Le sang ne se voit pas sur du noir.

Le regard ébahit de la tendre prêtresse de Sunie le convainquît d’arranger la vérité.
Je te rassure, cet homme avait du sang plein les mains, j’ai sauvé plusieurs vie en lui donnant une petite leçon, il est juste blessé…
Sa voix se fit rassurante ainsi que le regard. Il ne pouvait pas se permettre de perdre la confiance de la prêtresse qui était le rempart le plus efficace qu'il connaissait face aux vindictes de la populace.
Allez, avance avant que nous ne fassions d’autres rencontres à qui je devrais donner une leçon et qui, à force, attirera l'attention de la milice sur moi.

Valentine dépassa un petit groupe et entendit des bruits de lutte. Il se retourna pour constater que ses agresseurs étaient proprement assommés... et qu’il venait d’être sauvé par un drôle d’orc en armure. Celui-ci vint le voir.

-Vous allez bien ?

Valentine ne put s’empêcher d’être sur ses gardes ce qui n’échappa à l’orc. Il se contenta d’hocher la tête et son sauveur reparti vers les deux femmes qui discutaient. Dont l’une se trouvait être la courtisane de tout à l’heure. Il les regarda descendre sans rien dire, songeur.
Puis finalement il descendit à son tour.

"Nous somme en 1373 CV pourquoi ?"

La demi drow avait un regard soupçonneux, elle ne voyait pas en quoi cette information pouvait être réellement utile à la démone.

Thorur avait lançait un regard froid de ses yeux bleu en ne laissant rien paraître de son combat intérieure.
C’était une démone et puissante avec ça, ils ne pourrait pas la laisser en liberté ainsi, même ci ce n’était pas une fanatique, en connaissant les dangers de ce genre d’attitude même dans les religions les plus pacifistes, il ne chargerait pas tête baissé contre elle, en revanche ils avait exactement ce qu’il fallait pour énerver franchement la démone.

Tandis que la démone écoutait avec attention la date et relevait les sourcils d’étonnement à l’annonce de celle-ci, l’un de ses pieds remonta discrètement le long de la jambe du malheureux paladin de Tyr qui semblait aux yeux de Sekhmet si … performant.
-Hum. Et bien il semblerait que j’ai fait un petit saut dans le futur.

Ce pied arriva enfin à sa destination finale, l’entrejambe du dit paladin….
La seule raison possible pour qu’il ait eu une telle confusion….. Dites moi jeune fille, le nom de votre père, puisque c’est lui le Drow est-ce Varloth Aenen'Dyrr? Nyarlarresh Sub'Nuggurath peut-être ? Seldnaufein Sub'Nuggurath? Une petite description de celui-ci est-ce possible ?

Ignorant les manipulations du Drow, la barde était de plus en plus étonnée, et en bien, par l’attitude de l’elfe noir.
-Sir Nyarla ?

Le sir, de dépit, se tourna encore une fois, l’épée toujours à la main.
-Quoi.

La barde plongea les mains dans la cape de celui-ci pour passer ses fins bras graciles autour de sa taille et blottir son visage radieux dans les replis de la capuche au sein des cheveux blanc du Drow.
Lylou avait cette particularité, celle d’être extrêmement familière avec les personnes qu’elle connaissait de plus d’une semaine, les irradiant de son aura, au grand dépit d’un certain Nyarla.
Elle tourna la tête, toujours posée sur l’épaule de celui-ci, pour le regarder.
-Merci d’avoir pris ma défense. Merci.

Nyarla soupira doucement, et se laissa un instant aller, à cause de l'aura de Sunie. Son port altier s'afaissa un peu.
Puis, prenant conscience de ça, il se redressa et repris contenance comme il le pouvait :

Il suffit. Nous avons déjà perdu bien trop de temps depuis que nous sommes entré en ville, ne penses-tu pas?

Alors maintenant, allons à cet auberge, tu y auras tout ton temps.

Puis il se sépara doucement mais fermement de Lylou, avant de reprendre sa marche militaire et noble vers la dites auberge.

Hrp : Tu es prêts Xen ? Tu vas affronter Power Lyou !

Lylou regarda Nyarla s’éloigner et de nouveau la semer, ce qui lui inspira l’initiative de le rattraper pour accrocher ses mains autours de son bras.

-Vous allez trop vite messire pour que j’arrive à vous suivre.
Dit-elle pour justifier son acte familier.

Un Nyarla dans son état normale aurait répondu quelque chose du genre : Si tu n'es pas capable de me suivre, alors ne me suis pas.

Mais... Il ne put que répondre, en tâchant de paraître renfrogné :

-Si l'on arrive plus vite à l'auberge, je n'y vois pas d'objections...

L’esprit d’une prêtresse de Sunie est complexe.
Les prêtresses de Sunie croient à l’Amour avec un grand A.
Mais surtout les prêtresses de Sunie veulent toujours prouver à leurs prochains qu’ils peuvent, peu importe qui ils sont, recevoir un jour de l’amour d’une autre personne.
Par de chance pour Nyarla, la jeune prêtresse voulait profiter de cette excursion en solo avec lui pour lui démontrer cet adage.

Doucement, les mains qui étreignaient le bras du Drow, laissèrent place aux bras de la jeune Barde qui bientôt, malgré l’allure soutenue de Nyarla, posa sa tête sur l’épaule de celui-ci.

hrp : mouahaha! Mais là c'est dûraille pour trouver comment réagir^^

Nyarla, exaspéré, déclara :

Ne peux-tu pas te contenter de me prendre le bras? J'aimerais fort, surtout si je dois être confronté à un homme d'autorité conserver ma bonne réputation...

La prêtresse releva légèrement la tête pour dire :
-Ce n’est pas que je veuille me comporter comme une personne qui vous juge sur l’apparence, mais, messire, vous êtes un seigneur Elfe Noir.
De ce fait, peut importe ce que vous faisiez, ils ne retiendront de vous que le fait que vous étiez un Seigneur Elfe Noir.
Alors j’ignore qu’elle réputation vous désirez avoir, mais ce sera sûrement une bonne du point de vue Marqueur d’Age. (MdA)
Sur ce, elle reposa sa tête.

Nyarla grommela quelque chose d'inintelligible dans sa barbe inexistante, avant d'accéler imperceptiblement sa marche, dans un désir non caché d'atteindre cette damnée auberge au plus vite, histoire de pouvoir régler cette histoire complètement honteuse et abbérante de prêtresse de Tyr!

Valentine se r’assit à la même table ou l’homme gisait encore.

-Aubergiste. Un verre de bourbon et une le plat du jour. Et si vous pouviez faire le ménage.

-Hihihi ! J’ai raison. Et vous n’aimez pas ça.
Répondit fièrement Lylou, en relevant la tête, au grommellement de Nyarla.
Vous venez d’accélérer le pas, ceci ne ment pas.

La barde regarda leurs ombres se dessiner sur les murs et sortit une phrase stupide, typique d’elle :
Nous ferions un beau couple? Non?

C'est ça, avec des fleurs aussi non? ricana Nyarla.

Des fleurs ? Pourquoi ? Je vous imagine mal offrir de fleur.
Non, c’est que je voyais nos ombres sur les murs et je trouvais que nous allons bien ensemble.
Mais, c’est seulement ainsi que je dis cela, sans plus.
Sa tête se reposa sur l’épaule du Drow et ses mains toujours agrippés.
N’en pêche…

N'empêche que, c'est fort joli tout ça, répliqua Nyarla, mais je ne pense pas me voir en couple, et ce avec qui que ce soit, plus d'une nuit... Ou deux.

Sous sa capuche, le drow eut un sourire carnassier.

Si c'est ce que tu veux... ajouta-t-il. Nous pouvons toujours nous arranger! Je suis sûr que ça te plairait...

Comme pour ponctuer son propos, Nyarla se colla davantage à la prêtresse, contrairement à auraparavant, où il tentait de garder une certaine distance.

Et le sourire carnassier devint suave...

Les battements de cœur et le souffle de Lylou accélèrent brutalement.

Kwwvzz rr…
Les joues blanches prirent une teinte rose et les yeux, qui se fixèrent devant elle, n’osaient regarder Nyarla, devinrent brillants de timidité.
Je…. Je crois que nmmummen… Je

La prêtresse tenta de dégager son propre bras alors que ses joues commençaient l’étude chromatique approfondie de toutes les nuances allant du rose au pourpre.

Quoi déjà? demanda-t-il en la retenant.
Moi qui te croyais ravie d'être à mes côtés... Est-ce ma nature Drow qui t’effraie? Je nous imaginais déjà, à l’abri, dans l’obscurité... Il laissa sa phrase en suspens. La prêtresse ayant suffisamment d'imagination pour que sa réaction soit excessive. De surcroit, il laissa poindre dans al fin de sa phrase comme un soupçon de doute et de deception.

Je suis quelque peu déçu, fit-il, la voie suave, coulante comme du miel.

Rouge pivoine, lylou chercha d’autant plus à se dégager, tout en bafouillant un dialecte incompréhensible.
HJsfhdkzxxzzvv.

Elle reprit une inspiration pour dire :
Je… je … j’n’ai pas dit ça. Je .. vous êtes… beau…enfin je…

Ses jambes défaillirent presque.
Je … un peu ??? heu ? Rapide… non ? … je me… sents pas…bien.

J'ai l'impression que tu cherches à me fuire, déclara Nyarla.

Pourtant je ne souhaite que ton bien être, sussura-t-il. Souhaites-tu que je te porte? Tu n'a pas l'air bien, tu es toutes essouflée, dit-il innocement.

S’il y avait des mots pour décrire les degrés de rouge atteints par la jeune fille à cette phrase, ils auraient été de circonstance. En fait, le rougeoiement de son visage atteignait un degré tel que seuls ses yeux prouvaient qu’elle n’était point un génasi de feu.

Avant que Nyarla ne comprit ce qui arrivait, Lylou se dégagea de la prise du Drow, avec grâce, agilité… et vitesse, sans brutalité, telle l’eau qui passe entre les doigts, pour courir vers l’auberge dans un : IIIIIIIKKK !!!

Nyarla pris la suite de Lylou, aussi rapidement et noblement que possible, pour ne pas eprdre contenance, ni perdre la donzelle de vue.

Il jubilait intérieurement. Là, au moins, ils allaient l'atteindre cette auberge!

Même s'il se sentit un peu déçu que la prêtresse n'ai pas accepté...

En attendant, il n'en sera que plus aisé de s'en assurer une nouvelle fois arrivé à destination.

Il ricana intérieurement en pensant :

Combien il est plaisant et aisé de manipuler cette jeune enfant!

Vlan !

Une jeune Elfe, aussi désirable qu’une elfe pouvait l’être, entra dans l’auberge toute essoufflée en baragouinant ceci :

Y’a un Dro.. enfin y’a mon compagnon de route qui ma demandé des trucs pas nets !
Elle redonna de la tenue à sa cape blanche, écarta ses cheveux en bataille de devant ses yeux et regarda, hagard, l’assistance.

Heu ? Nous ne sommes pas dans une auberge ici ?
Les signes négatifs de la tête des hommes, présents, lui confirmèrent que non.

Ha ? Pardon mais comme j’ai vu de la lumière, à cette heure… et j’ai cru que … Vous avez l’air patibulaire… tout de même.
Ce qui était pour une guilde de voleurs, en pleine réunion, était un pléonasme.

Nyarla, qui suivait toujours Lylou, enrageait. Après avoir voulut donner de l'argent à un assassin, voilà qu'elle se précipitait DANS la guilde des voleurs!

Comment peut-on être aussi inconscient? se demanda-t-il, exaspéré.

Ne perdant pas plus de temps, il entra à sa suite. Et déjà, il voyait des hommes murmurer entre eux. Son arrivée fit néanmoins taire quelques murmures, tandis que d'autre continuaient. Avec un calme déstabilisant, il déclara : J'entends d'ici vos petits complots indignes sur ma personne et celle de ma compagne.

Il ôta sa capuche, s'assurant d'un effet maximal.

Aussi je ne saurais que trop vous recommander de cesser immédiatement, où bien je devrais prendre quelques mesures, certes amusantes, mais ô combien regrettables... Pour vous, bien évidemment.

Il s'approcha de Lylou, qu'il entraîna dehors.

En sortant, remettant sa capuche, il déclara : il va de soit que toutes actions inconsidérées de votre part s'accompagneraient de sanglantes conséquences.
Dans sa cape, Nyarla arma son arbalète. Le cliquetis, se répercutant dans le silence pesant de la salle produit admirablement son effet.

Et bien entendu, rien de tout cela n'est arrivé.

Les hommes hochèrent vivement de la tête.

Bien... Je pense que Tyr sera reconnaissant.

Et Nyarla referma violemment la porte. L'ironie de son dernier propos, et sa formidable portée allaient forcément porter ses petits fruits.

Il s'éloigna avec Lylou, avant de la regarder dans les yeux et de dire :
Ne recommence plus jamais ça.

Avec les yeux d’un chien battu, elle demanda :
Recommencer quoi ? Mais j’ai rien fait ! J’ai confondu de porte !!
Si au moins, ils marquaient sur leur porte : Guilde de voleurs, attention ne pas entrer.

Mais là… rien ! Et puis, c’est bien des voleurs, hein?
J’ai reconnu l’emblème de Mask au dessus de la table. Ce n’est pas très discret pour des voleurs de mettre ainsi en évidence des emblèmes de leur caste alors qu’ils sont sensés être discret!
Continua-t-elle en se triturant les doigts la tête basse.

Et puis ils n’avaient qu’à fermer à clef leur porte ! D’abord !
Geint-elle comme ultime défense

Peu m'importe, ne m'oblige plus à courir ainsi derrière toi. Ça fait deux fois en moins de cinq minutes que je suis contraint à intervenir.

Et maintenant, pour la dernière fois, nous allons à l'auberge, calmement, tranquillement, sans plus flâner ni effectuer une quelconque action susceptible d'attirer un excès d'attention sur ma personne.

Il fit une pause, s'assurant que son propos était reçu correctement par la jeune prêtresse.

Il la lâcha, et repris sa route.

Allons-y, lança-t-il.

Je croyais que c’était l’auberge, moi.
Elle respira lourdement et s’engagea dans les traces du Drow.
Pourquoi vous avez parlé de Tyr, il y a quelques instants ?

Et puis, c’est de leurs fautes, ils n’ont pas fermés leur porte….

L’ouie fine, des deux belligérants, leur faisait entendre les murmures des discutions des voleurs qui au fur et à mesure s’éloignaient :

-Un Drow ?
-nan ? C’est pas possible, c’est des bêtes de légende pour faire peur aux enfants.
-J’te dis que c’est un Drow, j’en ai déjà croisé !
- wouais et t’es toujours vivant ? N’importe quoi.
-Mais si c’est un Drow, faudrait peut-être prévenir la milice ?
-et tu comptes leurs dire quoi ? Bonjours, nous sommes de la guilde des voleurs et un Drow a fait irruption lors d’une de nos réunions, vous pouvez faire quelque chose ?
-OUaip, ils nous offriront un nouveau local très très très tranquille.
-Et fermez cette porte ! Nom de Mask !!

Nyarla, qui ne désirait pas entrer dans les détails ni subir une avalanche de questions déclara :

Tyr est le dieux de la justice, et ce sont des malandrins. A ton avis, quelle sorte de reconnaissance peut-il bien avoir envers ce genre de personne?

Il interrompit toutes réponses d'un geste, avant d'ajouter :

Sujet clos.

hrp : je fais l'arrivée à l'auberge, tu t'en occupes... Ou on attend?