[Add] Le rp mèmère le Rp ou y'a rien à faire.

Pendant ce temps, Valentine ruminait sa ruine et plusieurs plans de vengeances tous plus irréalisables les uns que les autres.

-Comment peuvent ils parler avec cette folle ? Tout le monde sait que les drows ne viennent jamais à la surface.

Valentine fusilla un homme qui lui faisait de l’œil. Il commençait à en avoir plus qu’assez de ces regards lubriques.

Elle n’insista pas, la susceptibilité de Nyarla était presque une légende dans la troupe du Flambeau.
Tous contaient le fabuleux récit d’un Elfe Noir qui ne voulait admettre sa défaite face au MdA et qui pallia son désarmement en règle par des attaques avec … les dents !

Nyarla était susceptible et ne supportait pas d’être contredit.
Alors, Lylou se tue… au moins 5 minutes, ce qui est longs : 300 secondes !!

Sir Nyarla? …
Elle l’interpella par le diminutif de son nom, ce qu’il considérait presque comme une insulte.

Dans la taverne, les paroles de Valentine ne tombérent pas dans l'oreille d'une sourde, et la "folle" lui répondit:

-Ils confondent bien un loqueteux Noble avec une jeune fille épleurée, remarquez, vous donnez bien le change messire.
Cela doit vous plaire, sûrement.

Nyarla tiqua, mais resta calme.

Sir Nyarlarresh, corrigea-t-il, presque machinalement.

Que veux-tu?

Vous avez dit : ma compagne.

Prononça-t-elle tout sourire et comme si la phrase ne se suffisait pas à elle seule, elle rajouta :

Vous vous sociabilisez messire.

Vraiment, j'ai dis ça? fit Nyarla.

Désires-tu reprendre notre conversation de tout à l'heure? demanda-t-il innocement.

C’en été trop pour Valentine. Il se leva s’en attendre sa commende et sortie de l’auberge sans claquer brutalement la lourde porte en chêne.
Il se promit d’humilier son frère pour se venger de toutes les offenses qu’il subissait par sa faute. Tout à ses réflexions, il ne prit pas garde et bouscula quelqu’un. Constatant que c’était une jeune femme, il entreprit de s’excuser poliment, mais quelque chose le fit hésiter. .

-Oh, heu.. Veuillez m’excuser. Je, heu. Ne vous avez pas vu.

Maiheuuu !
Je vous l’ai déjà dit ! J’ai confondu de PORTE !

Et pas que de porte, elle confondait aussi de conversation.

Ca n’arrive peut-être jamais aux Drows de confondre de portes mais au demi-drow, SI !

Vlan, Lylou bascula en avant, bousculée par un ?? et se retrouva fesses au sol.

Aie. Aie. Mais que?

Nyarla resta silencieux.

L'idiote! pensa-t-il. Il espéra ne pas avoir à "discuter" avec le jeune homme à propos des drows. Il avait déjà trop attiré l'attention sur lui ces dernières minutes.

Et bien? Vous vous êtes excusé? Partez maintenant, exigea-t-il.

Plutôt que d’écouter l’homme à la capuche, Valentine se pencha pour aider la jeune femme à se relever.

-Veuillez m’excuser. Souffrez que je vous aide pour réparer ma faute.

Les yeux cristallins et bleus comme un lac d’altitude se relevèrent pour allez à la rencontre du visage de l’homme qui l’avait bousculée.
Vrouf !
Le blanc crémeux des jouesde la barde passa au rose vif tirant vers le fushia intense.

Heu ?
Elle regarda rapidement Nyarla, comme pour demander une permission que, d’ailleurs, elle n’attendit pas.
Lylouminai tendit sa main, aux longs doigts fins que finissaient de nacrés ongles soignés, pour accepter l’aide bienvenue du jeune homme distrait.

Nyarla saisit l'homme par le col, et lui dis froidement :

Je crois que vous ne m'avez pas bien compris. Souhaitez vous vraiment que je me répète?

Ou préférez vous continuer sagement votre chemin?

Un éclat rouge lui dans l’obscurité de la capuche de l’homme dont la taille et la carrure prouvaient qu’il était un Elfe.

Thorur fit alors une magnifique imitation de la barde de Suni en prenant toute les teintes d’un feu de camp d’aventuriers. Oui parce que les aventuriers allume souvent leurs feu magiquement et souvent sa brûle mieux donc c’est plus rouge enfin vous avez compris quoi !

Bref le pauvre paladin réouvrit de grand yeux en bafouillant des paroles incompréhensible de bébé.

"Je behu gleu paeuh …"

"Thyria foudroya la démone du regard, ses yeux ayant un bref éclat rouge dans leurs teinte gris acier. Elle retira la jambe de la coureuse d’homme sans ménagement."

Autours d’eux quelques conversation des plus proches se stoppèrent en ayant entendus le mot « drow », et maintenant les rares personnes à avoir entendus cela semblait écouter avec intéré( ?) et crainte.

La prêtresse avait ses mains plaqué sur la table en regardant la féline droit dans les yeux, son visage toujours entièrement caché sous sa capuche bleu, elle était suffisamment éloigné pour anticipé une attaque et suffisamment prêt pour parler en toute sécurité.

"Je ne sais rien de mon drow de père mais je doute que se soit l’une de vos connaissance était donné que ce devait être l’un de ces abjectes serviteur de Lolth et non pas un suivant tout aussi détestable de Vaheraun."

Sa tête posée dans sa main accoudée, Sekhmet souriait de toutes ses dents qu'elle avait fortement aiguisées.

-De Loth? Alors je vois: Korheinan ? Naméroc, quoique lui est plutôt drizztien comme Drow contrairement à Korheinan, son frère qui est un psychopathe en puissance.
Hum, et en effet, un adeptes de Vhaeraun aurait "suivit" votre éducation. Vhaeraun pronne le métissage tant que celui-ci garentie la puissance de la race.

Elle jubilait des réactions de la prêtresse et savoura d’avance sa petite farce
Sekhmet, « la puissante » le souffle du désert.
Comme accompagnant un petit geste des mains de Sekhmet, une bourrasque tiède souffla faisant tomber la capuche de la prêtresse. (A moins que celle-ci ne soit pas surprise et retienne sa capuche)

Valentine se dégagea et attrapa la main tendue. Il se positionna sur le coté, se pencha et mit son autre main libre sous le coude de la jeune fille. Puis il la souleva doucement. Seul les brutes tiraient sur une main tendue pour « aider » une dame à se relever.

-Allez vous bien mademoiselle ?

Insistez, je vous en prie, déclara une voix mielleuse et ironique.

Ce serait si plaisant de vous inculquer les bonnes manières.

Nyarla était contrarié par l’attitude trop chevaleresque du jeune homme ou demi-elfe, au vu de ses attitudes efféminées, et sa patience qui fut rudement mise à mal depuis ce matin, mais surtout depuis qu'il était en ville avec l'exaspérante Lylouminaï, n’arrangeait rien.

Toutefois, la lame qui ornait désormais le cou du bourgeois aux manières de noble, allait peut-être lui faire comprendre que Sir Nyarlarresh Shub'Nuggurath ne souffrait pas qu’on le désappointasse.

Alors? Est-ce que votre atterrante stupidité de créature inférieure va vous faire persister dans cette voie... Funeste?

Nyarla espérait intérieurement que le jeune noble, dont il ne doutait plus de la condition, insiste... Ils iraient alors régler leurs "différents" dans une ruelle peu fréquentée, où ils pourraient déguster la figure peinte d'horreur du jeune homme face à un authentique seigneur Drow, enfin, si il savait que c’était.

Oui, merc…
Nyarla venait de rappeler à l’assistance qu’il était présent et qu’il n’était guère conciliant.

Messire Nyarla, voyons, il ne fait que m’aider à me relever alors qu’il m’avait aidé à chuter.
Déclara la jeune elfe d’une voix douce, presque enfantine et avec un dialecte moins familier qu'à l'accoutumé: faculté innée des prêtresses de Sunie en présence d'une personne qu'elle trouve charmante.

Chez nous, enfin ici, nous appelons cela : « une preuve de galanterie » et non : « une agression ouverte ».
Veuillez messire, pardonner le seigneur Nyarlarresh, il est un peu prompt au duel et ne connaît pas les traditions de la surfa…région.
Rattrapa-t-elle peu discrètement.

Nyarla de bougea pas d'un pouce. Contrairement au propos de la prêtresse, il connaissait les coutumes de la surface, surtout pour ce qui était de séduire une femelle. Il les avait vite assimilées, afin de s'amuser au dépend de ces stupides et naïves femmes de la surface...

D'ailleurs... Le jeune noble, de petite mise, semblait attiré par la prêtresse. Forcément. Sinon il aurait lâché le morceau lorsque Nyarla le lui avait ordonné. À moins qu'il ne s'agisse là d'une preuve d'obstination ou de politesse écoeurante... Prenant finalement sa décision, il écarta, comme à contrecoeur, sa lame du cou de Valentine, la posant sur sa propre épaule, laissant entendre que de l'enfant aux allures d'homme, il ne craignait rien.

Nyarla décida de prendre le risque de laisser le bourgeois "approcher" Lylou. Les humains étaient aisément manipulables lorsque leurs "nobles" sentiments prenaient le dessus...

Mais s'il détournait Lylou de son emprise...

De lui, on ne retrouverait, bien évidemment, pas son cadavre... Et l'unique souvenir que conserverait Lylou de ce jeune homme, serait celui d'un coureur de jupons qui l'aurait trompé et abusé si son cher Nyarla n'était intervenu pour l'écarter.
A cette idée jubilatoire, le drow se demanda si il n'allait pas pousser ce dandy à la faute.

Soit, dit-il seulement, après le fruit de ses cogitations.

Thyria s’attendait presque à un coup bas, un coup de griffe ou alors un claquement de dent pour la faire reculer mais se fut une bourrasque, elle remarqua tout juste le mouvement de main, mais la capuche se rabattis en partis, son visage ne fut presque pas dévoilé comme elle saisissait le bout de tissus sensé protéger son anonymat, en revanche plusieurs mèches de son abondante chevelure blanc argenté se rabattirent après le souffle.
Le mal était fait.

Malgrés la promptitude avec laquelle Thyria avait rattrapé sa capuche, deux hommes à une table qui était dans le dos de Sekhmet virent une partie de son visage d’ébène.
Ils se regardèrent hébété, ne sachant si ils avait bien vue ou si ils avait rêver, n’ayant put voir suffisamment longtemps pour être sur.

Thorur avait reprit en partis ses esprit, et bien que ses joues était encore fumante de l’initiative de la féline il avait au moins toute sa tête.
La scène semblait figé, comme attendant la réaction des personnes attablé.

Sekhmet pouffa de rire, et se remit à manger sans oublier de faire remarquer:

-bein quoi? Z'avais jamais vu de Demi-drow? Vous n'avez rien à craindre d'elle, sinon elle vous aurait déjà tué.
Les Drows font rarement dans la négociation quand ils veulent quelques choses.

-Oh. Mais je lui pardonne volontiers.

Inconsciemment, Valentine s’était détendus. Il avait l’impression qu’il pouvait faire confiance à cette inconnue.

-Mais j’en oublie les bonnes manières. Je me nomme Valentine de Souslac. Pour vous servir.

Les deux gars cessèrent de manger illico et regardèrent leur verre. Visiblement, c'était trop pour eux.
Ils repoussèrent l'alcool, avant de se regarder, ignorant Sekhmet.

Aubergiste... Une pichet d'eau... fraîche! dit l'un d'eux.

Mais tout de même...

Rien que pour être sûr, ils s'écartèrent de quelque centimètre, avec leur table. Il n'alertèrent personne, de peur de se couvrir de ridicule, surtout après un repas relativement bien arrosé...

Surtout que... l'un des deux était connu pour, un jour, avoir hurlé :Tiens? Un ptit chien noir! Dans le vide...

-C'qui est bien à Eauprofonde c'est qu'il y a jamais eut de drow, pas vrai?
-Ouaip.
-Y'en a jamais eut hein?
-Tais toi et mange.

Je me nomme Lylouminaï Eylminénïaé Flana’Mornié Ailelh’Staln Gorath Nyeltheravïn Aracnya-Prana Myositis.
Oui, mon nom est long, mais nombres sont ceux qui m’appellent seulement Lylouminaï ou Lylou.
Dit-elle en frottant délicatement sa cape avec un mouchoir pour enlever les traces de sa chute.

J’ai noté la particule « De » Souslac, vous êtes noble ?

-Oui. De naissance. Mais mon frère, à la mort de mon père m’a jeté dehors, sans le sou. Tout ce qu’il me reste, c’est un grimoire et quelques piécettes.

Valentine fit un petit geste de désappointement, un brin théâtral.

-Mais ce n’est qu’un revers de la fortune. Preuve que le destin me sourira de nouveau, je vous rencontre en ce jour qui a pourtant fort mal commencé.

Thyria poussa un long soupire de soulagement en voyant que les deux hommes ne faisait plus attention à elle.
Cette démone était décidément très dangereuse, beaucoup trop dangereuse.

Cela vous plait-il de tourmenter les autres ? de faire souffrire les gens ?

La demi drow avait reprit sa place devant la féline, et Thorur s’approcha un peut plus, laissant échapper un cliquetis métallique, une main à sa ceinture légèrement dissimulé.

TTt ttt ttt ttt.
Pourquoi en venir aux armes, Messire ?
Votre courage serait-il proportionnel à l’annonce que j’ai faite : je ne peux pas vous tuer.

Hum… cela ne m’étonnerait guère, dans d’autre circonstance vous n’oseriez même pas m’approcher.
Rangez cette arme, sinon, je reprends mon apparence naturelle, effrayant les occupants de cette taverne et ruinant votre réputation.
Les gens.. miam… ont tôt fait de médire.. baffre…. et de raconter aux autorités… glup… que deux jeunes gens… miom… étaient amis avec ce démon. .. goinfre….

Sekhmet était sereine et gourmande car à nouveau, elle attaquait goulûment ses plats.

Nyarla soupira discrètement à la comédie du jeunot...

un noble déchu! Il ne manquait plus que lui. Et naïve comme Lylou l'est, elle va s'attendrir et dire quelque chose comme : c'est vrai? je suis désolée! Venez nous allons vous offrir un bon repas! Et une chambre! Sans en plus se rendre compte que c'était bien la dernière chose à dire à un noble déchu de ce genre, vu leur fierté de roquet.

Lui ne s'était jamais avilie à ce point au moins. Les humains étaient si pathétiques...

Mais il n'avait pas envie de poireauter devant l'auberge!
Tiens la milice, dit-il seulement. Rentrons Lylou. Et il l'entraîna dans l'auberge. Il espéra que le noble ne suivrai pas, ainsi son manque d'assiduité lui mâcherait le travail.

Vraiment? J’en suis navrée pour vous!
Accepteriez vous que nous vous offrions un bon repas ? Et une chambre ?

Si vous refusez, je considérerai cela comme une insulte !
Insista-t-elle avant de pousser un : IIk !
Emporté de force, par le bras, dans la taverne, par Nyarla.

Subitement , la tête de la Démone se tourna vers la porte de l’auberge, ses rétines rétrécirent affinant sa vision sur un duo de jeunes gens qui venait d’entrer.

Sans quitter des yeux Nyarla et Lylou, Sekhmet prononça à voix basse.
- Il est temps pour moi de reprendre ma route.
Nous continuerons cette conversation à notre prochaine rencontre, paladin et prêtresse.

Son regard se posa de nouveau sur ses interlocuteurs.
Oui, nous nous recroiserons dans quelques années.
Alors ce n’est juste qu’un… au revoir.

Déjà debout, Sekhmet monta les marches de l’escalier rapidement et discrètement, arrivé à sa cime et hors de vue, elle s’éclipsa ne laissant que du sable sur le haut des marches.

Thorur fronça des sourcilles à la répliques de la féline, elle lui coupa la parole avant même qu’il ne la prenne et s’en alla.
Le paladin n’attendit pas qu’elle face trois pas vers les marches pour dire d’une voix sereine, suffisamment fort pour qu’elle entende alors qu’elle était juste à coté de lui mais suffisamment

"Sacher dame que je ne tien aucune arme, je n’ai donc pas à la ranger."

Il montra sa main qui était légèrement dissimulé un instant plus tôt, elle était vide.

Le couple de Tyrinite regarda disparaître la démone mais ce fut Thyria qui réagit la première en revenant sur les deux personnes qui venait d’entrer.
Pourquoi cette démone partait-elle ainsi en les voyants ? Quoi qu’il en soit l’homme semblait on ne peut plus … autoritaire.
Elle cacha ses mèches blanche et alla prendre place avec Thorur pour prendre enfin leurs petit déjeuné.

hrp : bwuaaaaa je suis long, mais j'arrivais pas à me décider^^

En un mouvement de cape, Nyarla était entré dans l’auberge et s’était installé à une table, tirant à sa suite la jeune Lylou. Nyarla n’appréciait pas les grandes entrée à la « vas-y-regarde-moi » c’était le meilleurs moyen de ne pas passer inaperçu voir pire, de paraître ridicule.

Il avait choisi sa table comme à l’accoutumée, dans l’angle mort de la porte et dans un coin sombre. Il est de notoriété publique que tous les méchants s’installent dans les coins sombres et que toutes les auberges contiennent au moins un coin sombre.

L'aubergiste passa prendre sa commande, puis celle de lylou. Ensuite, discrètement, Nyarla observa la salle. Il repéra bien vite le paladin, une véritable armoire à glace enfermé dans une boite de conserve, et une silhouette encapuchonnée... Qui ne pouvait être qu'une seule et unique personne.

Il se demanda comment aborder la chose, et eut un mince sourire au lèvre.

Valentine hésita. Ne n’était pas dans ses habitudes d’être invité par une dame. Et ce qu’elle lui proposait donnait l’impression qu’il n’était pas capable de se débrouiller seul. En même temps, il n’avait pas très envie de se retrouver à nouveau seul. Et il était vrai qu’il n’avait plus les moyens de s’offrir ce qu’on lui proposait. Mais n’avait t’elle pas dit qu’il l’insulterait s’il refusait ?
Il décida finalement d’accepter et remarqua qu’il était seul. Il marcha vite pour entrer à nouveau dans l’auberge. (Les nobles ne courts pas, il marchent vite. Ça fait mieux.)
Il fut soulagé quand il vit que la féline provocatrice n’était plus là. Il alla donc s’asseoir en face de Lilou.

-Oh. Mademoiselle Lilouminaï. J’ai un instant cru que je vous avais perdu.