[Add]Pépère, le rôle-play où l’on glande sévère.

Varloth sourit au génasi, et fit un vague signe de la tête vers son autre main, sans quitter Zérar des yeux.

Celui-ci put voir une arbalète de poing chargée...

Et pendant que Zérar remarquait l'arbalète, Varloth lui donna un violent coup de pieds dans les bijoux de famille.

Puis il recula en disant : pour le principe. Si tu veux quelque chose, demandes. C'est la moindre des politesses pourtant.

Puis Varloth jeta négligement la dague près de Zérar.

De toute façon, une dague capable de déceler le mensonge ne me sert à rien ici, fit-il en jetant un regard à Jarlaxle.

Celui-ci eut un grand sourire, évitant toutefois de révéler ce qui lui passait en ce moment même par la tête. Il rabaissa également la main, qu'il avait levé quand le génasi avait fait mine de s'en prendre à son lieutenant.

Varloth, lui, s'en fut chercher une démone.

-Je vous suggère de ne plus faire le moindre petit geste brusque. Sans mon excès soudain de bonté, c'est à votre cadavre que mon ami aurait rendu votre dague.

Jarlaxle se retourna, en ordonnant à Zérar de le suivre.

-C'est que mes agents sont très zélés...

Et si Zérar était à l'écoute, il put entendre une demi-dizaines de petits cliquetis caractéristiques...

-Mais allons dans mon bureau, nous y seront mieux!

Après une demie heure d’interrogatoire particulièrement inutile ou tout ce que pus apprendre avec certitude le mage était que Charlotte n’était pas de la famille de Cayn et qu’elle avait des jolis seins. Vraiment rien qui fasse avancer le schmilblik. Aussi décida t’il de prendre un peu l’air long de Cayn quelques minutes, le laissant dans le noir. (Dans le but cruel, vil et somme toute très Drowique, de lui faire encore plus peur.)

Dés que le mage referma la porte et tourna la serrure, Cayn retira la corde qui lui liait les mains et qui manquait de fermeté. Puis il regarda tout autour de lui et se cogna contre la première table venue, renversant plusieurs flacons.

Aïeuuhhhh. La table elle m’attaque.

Suivit d’un coup de poing sur ladite table de sa main vampirique, ce qui eu pour effet de la briser. Puis Cayn s’approcha d’une étagère pleine de fioles aux noms étranges, de grimoires vachement anciens dont encore avec le prix écrit dessus (A ces marchants qui ne respectent rien.) d’objets cabalistiques comme des crânes et autres trucs qui donnent un coté très professionnel à la pièce.
C’est là que le mage entra, constata les dégâts et se mit à jurer très fort en drow. Il s’approcha alors de Cayn, d’autant plus difficilement que celui ci lui jetait tout ce qui lui passait sous la main.

Enfin arrivé au niveau du vilain chenapan (Hum.), le mage le prit par les épaules.

-Maintenant, tu vas te tenir tranquille, sinon ça va aller très mal.

-Nan !
Ce mot, admirable langage qui permet à tout jeune enfant de faire très facilement ~~ch*** son monde~~ savoir son opinion sur une décision prise par l’autorité dictatorial d’un adulte, fut suivit d’un coup de pied fort adroit et d’aucun dirait, lâche.
Cayn en profita pour franchir à toute jambes la porte ouverte en craint à tu tête.

Cayn, lui, n'entendais aucun cliquetis caractéristiques, et ce pour au moins deux raison : la première, c'est qu'il était un enfant qui courrait dans un endroit sombre en caleçon (digne des plus horribles cauchemard enfantin me direz vous!) et que les drows qui surveillaient l'antre du Bregan était bien trop ahuri en le voyant pour réagir...

En tout cas, Cayn, se retrouva rapidement dans la cantine de l'organisation, où les quelques assassins qui mangeaient le regardèrent avec des yeux ronds, le tout dans un bruit de fourchette que l'on fait tomber :

*Tiiing*

-Qu'est-ce que c'est que ça??
-Une plaisanterie de Jarlaxle peut-être?
-Oui enfin là ça va un peu loin!
-C'est pas faux...
-C'est vraiment pas sérieux en ce moment... Nos collègues qui se font trucider dans la ville, et maintenant ce...Gamin... Bizzare...
-En caleçon.
-Ouais, en caleçon.
-D'où il vient d'abord?

A ce moment, le mage (essoufflé, ce qui prouve qu'un enfant avec de petites jambes peut courir vite...) arriva dans la salle et s'écria :

-Te voilà saleté!

S'attirant un regard encore plus étonné des mercenaires...

-Heu... C'est une expérience... J'expérimente...
-oula oula! On veut pas savoir! s'écrièrent quelque drows, peu désireux visiblement de seulement imaginer ce que faisait ce mage avec un... Enfant... En caleçon...

le mage tenta alors de ramener Cayn : maintenant suit moi toi!

Prouvant ainsi qu'il n'avait pas compris qu'il ne s'y prenait toujours pas de la bonne façon...

Nan, je veux pas.

Hurla Cayn en allant se réfugier sous une table armé d'un couteau qu'un des assassins avait laissé choir.

T'es qu'un sale mage qui veux me faire mal. Comme le monsieur liche de Morhzon.

La prononciation de la ville était prononcé bien trop rapidement pour être exact, mais pour les drows de la salle, cela ne pouvais qu'ajouter à leur ettonement. Et pour courroner le tout, Cayn lanca un sort de lévitation sur une chaise qu'il envoya en direction du mage.
Immédiatement, il sortie de son refuge en hurlant un cri de guerre/d'intimidation/de je-sais-pas-ou-je-suis-au-secours-Charlotte-j'suis-perdu et continua sa folle course dans le premier nouveau couloir venu, loin de son tortionnaire.

-Ah ouais. On voit pas ça tout les jours. Rien que pour ça ça vaut le coup de s'être engagé!
-Tu l'as dis! ressert moi du vin.

Le mage tenta de se contenir, mais ne put pas s'empêcher de lâcher un :

SALE PETIT ******* DE *****!!!

-Il en perds son illythiirien dis donc.

-ET VOUS LA FERME!

-Moi ce que j'en dis... fit l'agent qui repris son repas.
-Rongntudju d'rongntudju! je vais me le faire ce sale gosse!

Et alors que le mage ressortait à grandes enjambée, l'un des soldats déclara, repoussant son assiette :

-Les mages sont tous timbrés...
-J'avais pourtant dis que je voulais pas savoir, soupira un drow.

A ce moment, le mage apparut à nouveau dans l'encadrement de la porte :
-Oh vous, VOUS... Mpf... Respire... Hum!

Avant de repartir...

-J'espère que le chef ne va pas avoir l'idée de nous faire payer le spectacle.

Malheuresement pour le mage, Cayn sentant qu'il avait public des assassins en train de manger, il fit demi tour à toute berzingue vers le mage qu'il poussa de son bras à la puissance vampirique fraichement repus. Le mage heurta douloureseument le mur le plus proche tandis que Cayn s'approcha du premier drow en vue.

Dis, tu sais ou elle est Charlotte ?

Le drow se pencha vers Cayn en disant : je te le dis si tu me rends un petit service avant d'accord?

Fait moi plaisir, débrouille toi comme tu veux...

Il montra le mage.

Mais rends le fou, murmura-t-il.

Ses comparses, du moins ceux qui l'avait entendu, rièrent sous cape.

Vous, vous pourriez m'aider! Au lieu de vous moquer! Continuez et je vous transforme en LAPIN!

Pendant ce temps, Varloth vaquait à ses occupations... C'est à dire rejoindre et ramener Sekhmet dans le bureau de Jarlaxle. Enfin. Lui dire que Jarlaxle l'attends. il avait une mauvaise impression quand à ce qui allait arriver quand même. Il avait donc fait un crochet par sa chambre pour prendre une autre potion de soin.

Sekhmet, quant à elle, poireautait visiblement toujours devant la boutique, dans son globe de ténèbre.

Lorsque SOUDAIN...

*GniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiIIIIIIIIIIIIIIIII*

La porte de la boutique s'ouvrit dans un impressionant grincement qui en aurait rendu verte de jalousie plus d'une sorcière soucieuse des apparences. Preuve encore une fois que Jarlaxle ne négligeait pas le moindre détail!

une silhouette apparut dans l'encadrement de la porte... Et vint à la lumière. Nul vieille femme, nul vieux bonhomme mystérieux cependant. il ne s'agissait bel et bien que de Varloth.

Et oui! Malgré tout ce que l'on pouvait penser, la boutique était bien une des entrées du réseau de tunnels et d'appartement de Bregan d'Aerthe! Varloth déclara :

-Rebonjour... Madame est attendu dans le bureau de Jarlaxle. Il désirerais avoir un entretient avec vous. Il me fait préciser qu'à l'occasion vous pourriez y récupérer une ou deux choses...

Lapin !!!!

Cayn eu un sourire et commença rapidement un incanter d'une façon tel que seul une entrainement rigoureux de plusieurs années aurait pus le laisser possible.
L'index de sa main intact commença à saigner et il traça un pantacle sur le sol d'ou commença à surgir des lapins albinos qui se dirigérent tous vers le mage. Sous les applaudissements frénétiques des assassins présents.

-je reviens, jeune homme, il faut que je récupére autre chose qui semble en danger.
Répondit Sekhmet au Drow qui lui était parfaitement inconnu.

Sekhmet avait abandonné sciemment Zérar.
Elle avait senti, au travers de ma Laisse -qui lui servait de lien empathique entre elle et son porteur-, la présence d’un drow, a l’esprit complexe et qui semblait désirer la rencontrer, cette description ressemblait à celle que Varloth faisait de Jarlaxle, peut-être était-ce lui, si c'était le cas... il fallait mieux qu'elle soit dans les conditions optimales pour négocier.

La réalité …
-Qu’est-ce que la réalité ? Seulement des lois physiques immuables qui nous relient à un environnement physique, donc qui nous permettent de toucher des objets et de nous créer notre propre réalité.
-Et qu’est-ce que des objets ? Seulement un amas de molécules liées entre elles par un champ magnétique et une fréquence énergétique.
-Maintenant voyons tout cela par rapport aux dimensions parallèles.
Les dimensions parallèles sont des dimensions coexistantes sur la même dimension, mais qui ont une fréquence énergétique différente.
De ce fait, la personne qui voyage entre les mondes, les plans et les dimensions peu modifier sa charge énergétique et modifier sa fréquence.
-Donc, en variant un tout petit peu ta charge, tu deviens une créature éthérée qui peut se mouvoir au travers du monde sans être bloquée par des liens physique

Ce n’est pas de la magie, mais de la Science, l’être humain utilise moins de 20 pourcents des capacités de son cerveau, considère que moi j’utilise un plus gros pourcentage.
C’est en ces mots que Sekhmet aurait expliqués à un élève le phénomène étrange auquel certains Drows, d’une cantine, purent assister.

Comme éthéré, une dame -aux yeux de fauve qui ressortaient sur sa peau sombre, ses cheveux noirs bleutés étaient attachés en un chignon complexe surmonté d’un chapeau haut de forme avec une voilette et ses vêtements n’étaient pas…normaux.
Une veste cintrée, longue et fermée de deux rangées de boutons. Des jupons à froufrous et de hautes bottes de vinyle à talons aiguille. Bref, un accoutrement anormal.- passa au travers des murs, en marchant, et arriva dans la cantine pour s’y matérialiser.

Alors Sekhmet était venu dans la cantine pour chercher Cayn dont elle avait repéré l’aura magique tandis qu’il incantait et qu’elle ne fut pas sa surprise de voir un enfant ! Encore un sale coup d’un mage Drow !!

-Cayn? Mon enfant, viens voir maman et arrêtes d'embêter les messieurs avec tes lapins!

Dit-elle en tendant les bras et fléchissant les genoux comme pour inviter l’enfant à venir se réfugier dans ses bras.

Varloth se renfrogna, constatant qu'il n'y avais plus personne.

Bon. Maintenant ça suffit.

Et Varloth, bien loin de s'en retourner dans l'antre de Bregan d'Aerthe, interpella un drow qui était en train de surveiller l'entrée :

-Mil'Garn!
-Me voici. Un problème?
-Ça dépends. Tu a arrangé les rendez-vous?
-Seulement avec la maison Agrach'Dyrr. Puis j'ai été appelé par Jarlaxle pour remplacer un de nos hommes.
-Absolument parfais, fit Varloth avec satisfaction. tu peux vaquer à tes occupations, mon abbil.

Le-dit Drow sourit.
-Votre confiance m'honore.
-Fait en sorte que cela continue alors.
-Bien sûr! Tant que vous servir me sert...
-Bien bien. J'y vais. Vendui'
-Vendui'

Varloth se dirigea donc ensuite vers la maison Agrach'Dyrr. Il allait pouvoir poser maintes question sur un sujet troublant. Du moins pour Varloth.

Loviathan : personne sadomasochiste pour la très grande majorité, qui prennent souvent plaisir à infligé et à recevoir des souffrances diverse et varier, comme marcher sur des charbons ardent … (bon d’accord des glaçons dans le cas présent), faire du saut à la corde en cherchant délibérément à se prendre les pieds dans la corde, jouer à cloche pied avec les genoux ou d’autre joyeuseté de ce genre.
Bref tout cela pour dire que Zérar souffla un instant et récupéra rapidement du coup et se redressa dépassant le drow étrangement affublé de plus de deux tête, bien qu’il savait que cela ne l’intimiderait en rien.
Il ramassa sa dague avant de suivre Jarlaxle et il écouta attentivement le bruit caractéristique des arbalètes.

"Hummm vous avez pas mal d’homme, je peut compter déjà trois cliquetis supplémentaire à la moyenne des rue de Luskan, un si on compare au Calimshan, je présume qu’il doit y en avoir qui n’ont pas armé leurs arbalètes pour ne pas trahire leurs position ?
Cela me fait poser une question, ce que je sais des drow c’est que se sont les femmes qui commandes, hors vous les commandez, voilà qui n’est pas habituel."

Le demi élémentaire se demanda bien ce qu’il trouverait en ces lieux.

Cayn se tourna vers Sekhmet et s’élança vers la protection maternelle qu’elle lui offrait. Car une dame plus âgée qui se met à genoux en tendant les bras ne peux que suggérer qu’elle à un lieu d’appartenance avec vous. Si en plus elle se présente comme votre maman, vous appel « mon enfant » et vous dit calmement d’arrêter vos conneries, alors il est très grossier de refuser de vous réfugier dans la chaleur réconfortante de sa poitrine. (CQFD !)
Les lapins retournèrent au milieu du pentacle ou ils disparurent avec plein de « pouf ! » super marrant pour un gosse de 8 ans.
Car la catastrophe était en cour. Cayn, en sans son gant pour contrôler les pouvoirs du vampire, continuait de rajeunir, inexorablement.
Mais pour le moment, il faut bien avoué qu’il en à rien à cirer.

Le gros défaut de Sekhmet, enfin l’un des nombreux gros et immenses défauts de Sekhmet, c’était que face à un enfant, la puissante et destructrice lionne devenait une mère. La démone, aussi surprenant que cela puisse l’être, avait un amour maternel débordant, tel une tigresse pour son petit.
Ce qui maintes fois avait posé des problèmes comme le massacre d’une famille pour s’accaparer un enfant qui lui plaisait, Seldnaufein en avait fait l’expérience, et l’envie irrépressible de trucider le premier fou qui tentait de toucher à son enfant.

Une fois Cayn dans ses bras, Sekhmet l’enlaça, se releva, et toisant le magicien :

-Mais que lui avez-vous fait?

Prononça-t-elle calmement avec cette voix qui ne suggérait rien de bon pour qui connaissait un minimum ce genre de femelle proche de la nounou tyrannique.

Puis attendant la réponse du mage, sous le regard des assassins qui avaient dégainé leurs armes, la démone déporta son attention sur Cayn. Elle attrapa doucement le bout du nez de l’enfant pour lui pincer en secouant légèrement la tête du bambin :

Hooo… Mais qu’est-ce qui ton fait les vilains Elfes-trop-cuit ?

Dit-elle oubliant légèrement qu’elle avait à faire à un adulte, il y a quelque temps.

Mon choupinou ! En plus, ils ne t’ont pas donné de vêtements !

Ce qui fut aussitôt arrangé par le gorgerin.
Un pantalon beige, une chemise blanche, une rodingote brune très foncée et un tricorne, ainsi que des bottes hautes cirés, apparurent, le tout assortie à la tenue de sa maman adoptive du moment.

Maintenant bien à l’aise, Cayn entreprit de racontait sa journée à maman Sekhmet.

-Je voulais revoir Valos alors la madame de la maison ou il y a plein de chambres elle m’a accompagné pour que j’ai pas peur. Mais quand je suis arrivé, y’avait pas valos mais le monsieur rouge qui fait peur. (C’est bien connu, le rouge fait peur au gosse.) Et pis y’vait aussi le monsieur noir aux grandes oreilles avec pleins de monsieur noirs aux grandes oreilles. Y nous zont dit qu’on était prisonniers et y nous zont voler nos vêtements alors qui faisait froid. Y m’ont aussi prit le gant que m’avait donné monsieur liche de Morzon. Et puis ils nous ont emmené chez eux avec leur éclairage tout moche et puis ils ont emmené Monsieur zerar et moi dans une pièce et ils ont fermé à clef. Et puis après, le méchants monsieur aux grandes oreilles, il m’a emmené dans sa chambre pour me poser pleins de questions et pour me questionner sur c’est qui Charlotte. Et puis il m’a laissé dans le noir et je me suis cogné très fort contre une table alors pour me venger, j’ai lancé des trucs sur le méchant monsieur. Et puis il ma couru après et je suis arrivé ici ou un monsieur m’a dit qui m’aiderai si je faisait apparaître des lapins.

Après ce brillant exposé, Cayn se blotti un peu plus dans le cou de Sekhmet afin de me plaider sa cause grâce à un câlin, arme suprême de ce genre de créature qu’est l’enfant.

-Avec des lapins ?? Mais quel genre de pervers peut demander à un enfant de faire apparaître des lapins ?

Elle fusilla du regard le mage qui devait faire face, pour la première fois, à ce que les humains appelle : L’instinct maternel.

Vous allez lui rendre ET VITE FAIT ses affaires, j’ai rendez-vous chez Jarlaxle, il m’attend et il n’a pas que ça à faire. Moi non plus, d’ailleurs.

Sekhmet savait parfaitement que le mage tilterait sur le « rendez vous chez Jarlaxle » et cela accélérait drôlement les négociations.

Le mage savait quand il valait mieux obéire aux ordres. Il fit signe à un des drow apparement sous ses ordres qui courru chercher les affaires demandés. puis il entreprit d'ignorer Cayn qui lui tirait la langue.

"Allons allons, si je vous dit tout mes secret ce ne seront plus des secret, et puis ça me rappèle un proverbe : la curiosité est un vilain défaut *soupire* Et malheureusement j’ai des défauts.
Ensuite pour répondre à votre question qui n’en est pas une, chacun ses petites combines."
Le mercenaire nota quand même que de toute évidence la personne dans son dos savait une ou deux chose élémentaire pour un assassin.

Zérar plissa des yeux, ce drow avait une certaine facilité pour éluder les question, les négociation promettait d’être rude, surtout qu’il était loin d’être à son avantage dans son caleçons rouge en étoffe du calimshan.
Le drow ouvrit une porte après quelques minutes et y pénétra sans gêne alors que Zérar se demandait encore pourquoi un chef de mercenaire elfe noir se baladait avec autant de ferraille bruyante.

Jarlaxle s’assit dans son fauteuil et fit décrire un magnifique arc de cercle, mainte fois répété, à ses jambes pour qu’elles s’installe confortablement sur le bureau.
"Bien, maintenant que nous somme dans un endroit plus agréable nous pouvons discuter. Tout d’abord laissé moi me présenter, on m’appèle Jarlaxle, d’autres m’appèlent profiteur, ou encore opportuniste mais je trouve ces noms beaucoup moins agréable.
Le mercenaire arbora alors un petit sourire en coin, comme si la situation l’amusé beaucoup.
Asseyez vous je vous en pris."
Le mercenaire souriait de toute ses dents en indiquant une chaise devant le bureau.

Zérar lui n’avait pas bougé d’un pouce alors qu’il examinait la pièce, ce drow allait à l’encontre de tout ce qu’il savait sur cette race, joviale, polie cela cachait quelque chose.
"Pour ma part on m’appèle Zérar, d’autre m’appèle assassin, ou tueur mais je trouve que la musicalité de ces mots sont parfois trop rêche."
Le demi élémentaire s’amusa presque à de cette échange de politesse avec les fonctions de chacun dite à demi mot.
"Et non merci je préfère rester debout."

le drow haussa des épaules, indifférent à la réponse du génasi.
"Très bien comme il vous plaira, au fait, je vous prit de m’excuser pour les quelques problèmes dont vous avez fait l’objet mais après tout ce sont les risques du métier non ?"
Le petit sourire en coin fit une nouvelle fois son apparition.

Le demi élémentaire regarda Jarlaxle dans les yeux, décidément il avait un quelque chose de … différent.
"en effet, mais je présume que vous ne m’avez pas amené dans votre bureau afin que nous parlions de ça, sinon il aurait été inutile de laisser les gardes embusqués."

Le mercenaire prit un aire faussement dérangé devant la réplique de Zérar
"Embusqué, embusqué, tout de suite les grand mots, ils sont juste discret, et c’est beaucoup plus pratique quand les gobelins viennent passer le balaie au moins il n’y à personne qui gênera le nettoyage par ses tours de garde, surtout qu’il est plutôt difficile d’entretenir des bâtiments propres quand il y a t’en de déplacement. "

Zérar nota, le mercenaire venait tout bêtement de dire que c’était une personne influente dans l’ombre, mais avec un je-ne-sais-combien-de-tours-autours-du-pot.
"Bon alors pourquoi suis-je ici ?"

"Tout bêtement parce que j’ai quelque chose à vous demandez voilà tout, c’est aussi simple que ça…"

"A propos de ?"
Fit Zérar avant le drow ne reparte dans un énième tours.

"Voyons de soyez pas si pressé tout vient à point à qui sait attendre."

"Je préfère quand c’est bien cuit pour ma part."

Jarlaxle lâcha un petit ricanement, au moins la personne devant lui avait un minimume de répartie.
"Chacun ses goûts mais une bonne viande saignante hummmm il n’y à rien de meilleur."

"Vous voulez savoir quoi ?"
Fit un demi élémentaire un poile sur les nerfs

"Juste savoir comment ça marche."
Dit le mercenaire en faisant tournoyer la laisse autours de son doigts.

Zérar avait du mal à suivre le drow qui changeait de sujet de manière déroutante, il était doues.
"Il faut appuyer sur le petit bouton."

"Allons c’est vous qui tournez autours du pot maintenant …"

Attendant toujours le retour de l’envoyé du mage car le labo se trouvait à distance, Cayn ayant courut longtemps, en n’importe quel sens et loin.

-Cayn ! Ce n’est pas bien de tirer la langue, même à des inconnus,

Dit Maman-Sekhmet sur le ton de la réprimande sévère.

…surtout quand tu peux lui envoyer un sort ou une dague ! C’est bien compris? Et puisqu’il aime les lapins, affuble le d’un gros costume de lapin rose.

Cayn prit une voie triste pour répondre.

-Je sais pas faire.

Il commença cependant à incanter et une tache noire commença à apparaître sur la peau du mage. La forme évolua et s’étendit sur tout le corps du mage jusqu’à prendre l’apparence de tous les os du corps. Sauf la partie sur le nez qui devint ronde et prit une couleur rouge tomate. L’ensemble était des plus détonant.

-Mouii, c’est bien.
Mais il ne faut pas que tu te contentes seulement de ce que tu sais faire.

Commenta Sekhmet avant qu’un Drow passablement contrarié ne la coupe.

IL SUFFIT.

Fit le mage en rejetant le sort après une courte passe magique car nombreux sont ceux qui savent que les Elfes noirs sont parmi les meilleurs mages parmi les Elfes, enfin, quand ils vivent assez longtemps pour pousser leurs études avant qu’un poignard leur arrive accidentellement dans le dos.

Suivez moi, je vais vous conduire à Jarlaxle, vos affaires vous y rejoindront.

Peu adepte des politesses, le mage s’empressa en voyant les regards noirs de la chose passe muraille et du sale môme de rectifier sa fin de phrase par un : Je vous pris, suivez moi.

Zérar joué nerveusement avec sa dague, il était de plus en plus difficile de tenir tête au drow, finalement assit le demi élémentaire faisait tout son possible pour cacher sa détresse.
"Vous pourriez déjà me rendre mes affaires, ça prouverez votre bonne fois."

"Peut être mais bon nombre de prêtresse de Lotlh vous diront que je ne suis que rarement de bonne fois, d’ailleurs je ne fait jamais ma petite prière matinale."
Le drow lui joué avec la laisse mais était loin d’être nerveux.

"Mais que voulez vous faire e cette laisse, elle risque de vous attirez de gros ennuis."

Le mercenaire pouffa amusé de la réplique du génasi
"Mon cher je vie dans les gros ennuis."

"Et moi j’y suis jusqu’au coup !
Bon je peut vous proposez ma meilleur marchandise contre la laisse, mes talents. Certes je ne sais pas toutes les subtilités des drow mais j’apprend vite et je peux vous dire que je me débrouille suffisamment bien pour vous être utile."

"Hummmm cela mérite réflexion en effet."
Fit Jarlaxle en prenant une pause pensive digne des plus beaux tableau.
"Mais vous ne pourrez m’apporter ce que je veut de cette laisse."

Zérar étrécit les yeux légèrement soupçonneux.
"Et vous voulez quoi ?"

Le mercenaire se mit alors à agiter négligemment la laisse.
"Ho vous savez il est toujours utile de pouvoir compter sur une personne si puissante."

"Si vous cherchez à l’utiliser contre un autre groupe drow elle pourrait accepter juste pour le plaisir. Mais dans se cas je crois que le mieux c’est de l’attendre vous ne croyez pas ?"

Le drow sembla pensif.
"En effet, et bien nous n’avons qu’a attendre qu’elle se décide à enfin passer le pallier de la porte de mon bureau et nous reprendrons ensuite.
Entré donc ma chère il y a un siège à l’intérieure bien plus confortable que le dos de mon mage, désolé si il s’est montré incommodant."

Zérar haussa des sourcilles, ce mercenaire savait visiblement tout ce qui se passait chez lui.

Au lieu de la démone attendue, c’est un gamin bruyant qui franchit la porte et vint s’installer sur la chaise libre. Zerar réussit à reconnaître Cayn malgré ses nouveaux vêtements et le fait qu’il ait encore rajeunit.

-Ouais, il est trop confortable.

Dit t’il, le sourire jusqu’aux oreilles et en balançant ses jambes dans le vide.

Sekhmet se tenait encore dans l'encadrement de la porte lorsqu’un gamin, nommé Cayn, qui quelque instant plus tôt portait de magnifiques vêtements, se retrouvait en caleçon assit sur le fauteuil.

-Cayn, jeune crédule.
Gronda Sekhmet en entrant dans le bureau et en venant à côté de l’enfant, et ignorant superbement le Drow en chef.

Mon gorgerin ne vêtit que ce qui est à sa portée physique !
Donc loin de moi, tu te retrouves sans vêtements !! Tu t’en rends compte, jeune homme que si cette protection en était une magique qui te protége des flamme et que tu me fasses la même chose en plein milieu d’un volcan tu serais cuit comme une merguez !

Elle agrémenta sa leçon d’un tirage d’oreille de sale gamin dans les règles.

"Oula j’ai intérêt à tenir mes oreilles sous mon chapeau moi."
Fit un certain mercenaire le dit chapeau à la main en passant un doigts sur son crane rasé.

"Cayn ? Il doit vraiment aimer être un enfant pour n’avoir toujours pas reprit sa forme.
Ha au fait est-ce que l’on pourrait récupérer nos affaires maintenant que nous sommes plus des négociant que des prisonnier ?"

"Ma fois c’est une bonne remarque, il est vrais que cela peut gêner certain de négocier en caleçons."
Jarlaxle fit un signe de main et une ombre faisant visiblement partis du décor sortie silencieusement.
"Bien ma cher je crois que nous pouvons discuter de visu maintenant et non par massacre interposé, t’en mieux pour moi d’ailleurs sinon je serais en net désavantage, qu’en pensez-vous ?"
Le mercenaire adressa un large sourire à la démone.

Tout en se frottant l’oreille endolorie Cayn regarda le genasi.

Nan, j’aime pas être petit. Je veux redevenir grand.

Puis à l’adresse de Jarlaxle.

Dis, tu me prête ton chapeau s’il te plait ?

Mon chapeau n'est pas pour les enfants.
Interposa calmement mais rapidement le Drow au éxigence de l'ex-adulte

Sekhmet s’assit sur le bord du bureau et sortie d’une poche de sa veste, une paire de lunette rose qu’elle posa sur son nez.
-Désolé, mais l’aura de vos objets magiques, combinées à la votre, me donne la migraine.
Bon, négocions, vous leur rendez leur liberté et je ne vous extermine pas.
C’est un marché honnête ?
Conclut la démone.

-Ce n’est pas vraiment ce que j’appelle une négociation.
Répondit le mercenaire en relevant un sourcil.
En principe dans votre race vous êtes plus prompt au marché

-J’ai une tête de marchande ?
Sekhmet avait deux possibilités, celle d’être honnête et de se faire rouler ou celle de jouer la comédie et de se faire passer pour plus puissante qu’elle ne l’est en étant arrogante.
Et C’est pour argumenter suivant la dernière possibilité que la dame vint chatouiller, menacante, de sa cravache le dessous du menton du mercenaire.

Zérar admira le manège de l’ex-déesse, si son coup de bluff marché, bien des choses serait plus simple … mais après tout bluff t’elle vraiment ?
Le demi élémentaire laissa donc Sekhmet prendre les rênes de la négociation, se taire est parfois plus éloquent qu’une longue phrase, et puis si tout le monde se met à confirmer le fait qu’elle est aussi puissante qu’elle le prétend, cela pourrait mettre la puce à l’oreille à un certain drow qui risquait d’avoir du fil à retordre.

Pendant, ce temps, Cayn s’ennuyait ferme sur le genoux de Sekhmet. Aussi jouait t’il à écrire sur le bureau avec un de ses doigts vampirique qui s’était allongé et qui avait prit la consistance de la plus solide des dagues. Son écriture était maladroite et c’est à peine si l’on arrivait à lire « Celui qui lit ça est ...»

Jarlaxle sourit, de ce grand sourire qu'il arbore quand il lui passe quelque chose derrière la tête. Ou dessus. Ou devant. Ou derrière. Ou dessous. Allez savoir. Apercevant du coin de l'oeil le manège de Cayn, il songea combien il était regrettable que les prêtresses qui venaient de temps en temps lui rendre visite ne savaient sans doute pas lire le commun...

Certes non. une chose m'étonne toutefois : pourquoi êtes-vous ici à discuter avec moi, sachant que j'aime tourner autour du pot et mes associés dans la farine, en ce cas?

Je suis entrain de vous parler car justement, je ne suis pas une associée.

Souligna-t-elle en longeant les contours du visage d’ébène du mercenaire.

Cayn, va sur les genoux de papa Zérar.
Zérar, cache les yeux de cayn qu’il ne voit pas ce qui va suivre…