[Add]Pépère, le rôle-play où l’on glande sévère.

Zérar fut contrarier que ses symboles sacrée furent découvert et surtout à cause de la laisse mais, d’un coté purement professionnel bien sur, il nota l’efficacité de ces poisons drow, pour une personne qui, comme lui, avait prit l’habitude de les subirent.

*Il faudra le prendre en compte.*

Peut être que les drow s’attendaient à le voire grogner ou grimacer de douleur mais il n’en fut rien, le carreau s’était à peine suffisamment planté dans sa chaire et le fait que l’elfe noir le retire brutalement ne le fit même pas sourciller.
Le demi élémentaire bien qu’un peut renfrogné ne put que constater la beauté de Menzoberenzan, et son visage trahis presque son admiration pour une telle cité, sa vision dans le noir lui fut profitable devant out cela mais il se souvint rapidement de la ou il était et avec qui il était, il prit donc une posture légèrement prostré, le visage sombre, comme un esclave mécontent de sa situation.

Cayn n’était plus qu’un gamin perdue dans un monde qu’il ne connaissait pas. Du moins en apparence. Mentalement, même s’il avait du mal à pensait comme un adulte, Cayn gardait en tête son but le plus urgent : reprendre sa forme normale.
Une nouvelle petite tape. Depuis le début, un drow chargé de le surveillait ne cessait de l’importuner. Durant un instant, Cayn reprit totalement le contrôle et fixa le drow d’un regard assassin, faisant un geste de sa main vampirique le signe de la mort de son monde. Puis il redevint juvénile.

-J’ai froid.

Hrp: venant des escapades

Dans l’Underdark, plusieurs choix s’offraient aux êtres extérieurs à ce monde.
En premier tenter vainement de passer discret, ce qui était pour Sekhmet un antonyme même à sa personnalité.
En second, se faire extrêmement remarquer, ce qui était synonyme aux yeux des Ilythiirien de folie profonde, donc dangereuse, ou de puissance extrême ce qui engendrait souvent la folie profonde chez l’individu concerné, ce qui revenait au même sauf que cette folie pouvait se propager dans l’entourage proche.
De ce fait, tout Drow censé, se tenait soigneusement éloigné du fou, puissant ou pas, concerné au cas où cette folie serait contagieuse.
Notons que cette consigne ne peut s’appliquer à Varloth, car tous à chacun savent qu’il n’est pas censé !

Armée de son bagout et de son aura de démone « bizarre » qui lui donnait une certaine valeur aux yeux des mages et autres prêtresses en vrac de la civilisation des Elfes sombres.
Vêtue d’une veste cintrée, brune foncé, presque noire, et longue; fermée par une double rangée de boutons dorés sur le devant formant un gracieux col enserrant la gorge; ouverte à partir de la taille pour se retrousser au dessus une masse froufroutante de jupons qui laissaient, par une fente, apparaître ses jambes enserrées dans de gracieuses cuissardes de vinyle, à talon aiguilles, assorties à la veste.
La démone arborait un air de cavalière de compétition équestre ou de dominatrice sadique que le chapeau haut de forme, avec une fine voilette qui recouvrait ses cheveux en chignon négligée, venait compléter parfaitement.
Sekhmet se transporta, car elle ne se téléportait pas vraiment - bien que ses oreilles pointues eurent pu lui donner un air de famille Spok’ienne- à Narbondel, au beau milieu des toits, endroit les moins fréquenté, bien qu’un soldat appartenant à la Maison en resta coi… momentanément, comme tout bon Drow.

Battant la mesure en tapotant sa propre épaule de sa cravache Sekhmet regarda du coin de l’œil le Drow et lui dit en Ilythiiri:
-Et bien? Tu n’as jamais vu de démone, Gamin?
Avant de regarder à nouveau les chatoiement de la grotte.
Il ne lui serait pas facile de retrouver Zérar surtout qu'il n'avait plus la "Laisse" en sa posséssion.

Et le soldat lui répondit :

Si, mais pas là. Ni maintenant et encore moins ici. Jolie tenue au fait. Et qu'est-ce qui amène une dame aussi distinguée que vous dans le bas quartier du Narbondelyn?

-Ho, seulement mon abruti de Maître qui a dû se frotter aux rôdeurs des tunnels, histoire de se faire capturer et de m'obliger à venir le sauver.

Répondit-elle, les yeux toujours tournés vers la cité, avant de continuer sur un ton monocorde et respirant la lassitude :

Auriez-vous vu quelque chose d’inhabituel? Avec ce renseignement, ça m’éviterait de devoir tailler une pipe au nabot de Jarlaxle pour qu’il se décide à m’aider à retrouver mon crétin de Propriétaire….

Rôdeur des tunnels? Crétin? Maître?

Hum...

Le "soldat" grimaça après un très court instant de réflexion.

"Crétin"+rôdeur des tunnels = "Crétin" est dans les geôles de bregan en ce moment même. Ça je l'ai appris juste avant de venir ici.
"Crétin" = Zérar.
Donc Zérar+rôdeur des tunnels = Zérar est dans les geôles de Bregan.
Je me demandais pourquoi Jarlaxle me faisait un sourire plus narquois que d'habitude.

Équation résolue, soupira le "soldat", visiblement las. Mais las. Tellement las qu'il était même là. (Et pour ce calembour je vais me faire virer du syndicat des narrateurs).

Zérar... Et Cay... Ah merde je me disais que le gamin me disais quelque chose. Il faut toujours que je tombe sur eux. Remarque j'ai bien aimé quand il a fait un caprice pour avoir une glace, héhéhé.

Content de te voir ici. Au moins ce crétin est utile à quelque chose de temps en temps. Quoi de neuf à part ça? Maître? fit le "soldat" soupçoneux et curieux.

Et pendant ce temps... Des choses terrrrribles se préparrrrent!

Zérar et Cayn étaient maintenant dans une salle sans lumière, tout deux enfermé, par mesure de sécurité... Et un individu de type Drow mâle crâne rasé chapeau à plume n'allait pas tarder à entrer pour questionnaire usuel.

Hrp : puisque Sekhmet n’a point reconnu Varloth, il lui faut une raison… tu vas t’en mordre les doigts héhéhéhé….

-Hum ? Ainsi tu es un agent de Bregan…

Vive et agressive, Sekhmet entama quelque passe d’arme et magique dans une étrange danse ou ballet meurtrier qui ne dura qu’une seconde son curriculum vitae aidant.
En premier, elle enveloppa sa victime d’une bulle de loi, réduisant sa magie au 1/10eme.
En second, elle feinta de vouloir saisir l’arme de l’Elfe, sachant pertinemment que celui-ci l’en empêcherait de son avant bras. Avant bras qu’elle saisit au poignet pour lui faire une clef de bras.
Et là, au lieu d’appuyer sur l’arrière des genoux pour les faire plier en avant, elle força, d’un violant coup de pied sur ceux-ci, à se plier dans le sens inverse, les brisant sur le coup et immobilisant le drow au sol, face contre terre.
Au dessus de lui, le saisissant par les cheveux, l’obligeant à rester sur ses genoux qui diffusait l’horrible douleur de la fracture, Sekhmet susurra non sans satisfaction.
Et maintenant, jeune enfant, tu seras ma monnaie d’échange. Si Jalaxle ne me rends mon Maître, toi, je te livre aux Prêtresses.

Ho, tu dois penser que je suis l’un de ces prétentieux méchant vilain pas beau qui déclame leur plan avant de perdre. Mais je te rassure, je déclare mes projets seulement pour que l’agent, ou mieux Jarlaxle, se presse de transmettre le message ou d’accéder à ma requête…

A son autre main, la cravache devin fleuret, arme blanche légère, rapide et si on sait la manier la plus meurtrière car seule sa fine lame savait passer dans les interstices des mailles d’une côte de mithril.

Varloth en avais plus qu'assez d'être le dindon de la farce ces derniers temps. Il n'avais sur le coup plus du tout envie de voir quiconque il n'était pas sensé tuer. Et encore, malchanceux comme il était, un de ces jours un fantôme amateur de cliché du genre draps blanc et boulets, viendrait lui casser les nouilles.

C'est là que je suis sensé applaudir le génie de ton plan je suppose. Tu m'excuseras, mais avec une main je ne peux faire qu'applau", alors avec aucune...

Tiens au fait quicétidonc l'agent? demanda Varloth, avec son ton coutumier, c'est à dire enjoué et légèrement ironique.
Non, sérieusement, c'est qui? Ce n'est pas que je n'apprécie pas le contacte de ta peau, mais dans cette position avec deux genoux en compote, le temps va vite devenir long. Sauf si c'est une position qui... Stimule... Humhumhum. un grand sourire innocent barra le visage de Varloth. Même si de toute façon, Sekhmet ne devait pas le voir.

Se tordant le coup pour tenter de voir ce que Sekhmet faisait, il ne réussit qu'à voir un bout de la rapière.

Très jolie rapière au fait. Mais je préférais la cravache.

Il y avait des jours où Sekhmet avait la diplomatie d'un bulldozer lancé sans frein dans une descente à 45% et les manières d'un G.I -ou l'inverse, ce qui n'offrait pas beaucoup de difference sauf qu'un Bulldozer n'est pas traité en héros lorsqu'il détruit une maison- malheureusement, pour ce drow, c'était l'un de ses jours là.

-Je n’ai pas besoin de tes applaudissements vu que je ne disais mon plan qu’au cas où des oreilles attentives venaient par un terrible et coutumier hasard nous écouter. Mais à première vue, ce n’est le cas.

Alors, mon jeune ami qui trouvera sûrement le moyen de se déplacer, si tu veux m'amadouer, vas donc porter le message suivant à ton « patron »:

Jarlaxle, vous avez un Nouveau Message:
"Sekhmet est là, et désire récupérer son Maître entier et en bonne santé au sens large du terme."
Et, si Sir Jarlaxle désire savoir qui je suis, qu’il s’adresse à mon aimé Varloth, il lui expliquera. Sur ce…

La pression sur la clef de bras se relâcha et d’un bond Sekhmet, qui n’avait pas du tout reconnue Varloth, -du moins prenait Varloth pour un autre ou s’imaginait Varloth être un autre- sauta sur un le toit voisin, avant de rejoindre les chemins entre les bâtiments pour se joindre à la populace ….

Au fur à mesure qu’elle s’éloignait, la bulle de Loi se dissipait.

L’enfant que devenait Cayn avait peur. Et il y avait de quoi. Prisonnier, en caleçon dans une geôle sombre et humide. Sans aucun repaire familier. Avec un grand monsieur tout rouge qui plus est.
Mais cela permettait à Cayn de reprendre un peu le contrôle. Un peu.

Dit monsieur. Elle est où Charlotte ? Quand est ce que les autres monsieur vont nous laisser partir ? On est où ? J’ai faim ! J’ai froid ! Je suis fatigué ! Si j’attrape Varloth, il va passer un mauvais quart d’heure ! Pourquoi t’es tout rouge ? T’as trop chaud ?

Varloth était à la fois étonné...

Et très très suspicieux quand à ce qui venait de se passer.

Oui, donc là ça ne me dit vraiment rien de bon tout ça. Je sais pas pourquoi, mais... Je sens que ça va pas me plaire. Ça sent mauvais tout ça...

Intermède : à des millions d'années burosses de là, dans un vaisseau spatial, un cuisinier susceptible s'écria : Qu'est-ce qu'y sens mauvais?! Avec un fort accent pied noir et des vapeurs de cuisine à l'huile autour de lui.

Varloth remis cette réflexion à plus tard. Ou plus tôt, à juste après qu'il se soit soigné les genoux. Parce que bon, quand même, c'est pas confortable.

Après avoir ingéré quelques potions de soins, craquements et douleurs supplémentaire, Varloth se releva, s'assurant de bien tenir sur ses jambes.

Bon c'est bien gentil ça, "mon aimé Varloth, il lui expliquera..." Mais ça veux surtout dire que je dois me démerder tout seul à convaincre Jarlaxle de se débarrasser d'un artefact permettant de te contrôler chère Sekhy... Bon une chose à la fois. Déjà : Zérar...

Puis Varloth, avec une foule d'hypothèse, de question, de soupçon divers et variés, et un semblant d'inquiétude quant à la suite des évènements (Qu'est-ce qu'il va ENCORE me tomber dessus...), se dirigea vers la planque de Bregan d'Aerthe. Certes il aurait put se téléporter, mais ainsi il avait un peu de temps pour réfléchir.

Finalement, devant le bureau de Jarlaxle, il conclut par un :

Fait chier. Vivement que ma vie devienne ennuyeuse...

2 ombres se faufilaient, discrètes et agiles dans les rues de la ville.
Chose commune ?
Oui, car les Ilythiirien sont des êtres discrets par nature, tellement discrets qu’au lieu d’être albinos, comme cela devrait l'être pour un être privé de lumière donc incapable de synthétiser la mélanine. Ils arboraient une peau d’ébène qui se fond plus facilement dans l’obscurité* de l’Underdark, surtout qu’ils se sont loupés pour les cheveux d’une blancheur plus normale. A moins que la noirceur de la peau soit volontaire pour éviter qu’on les confonde avec les Banshees?? Mais nous nous égarons loin des sentiers de la simple malédiction d'une race pour aller sur l'autoroute de Darwin…
*traduisible par « en dessous du sombre », nom évocateur de l’obscurité qui y règne

Bref, ces Elfes étaient discrets, mais ils n’intéressaient pas Sekhmet, car tous les Drows aiment montrer qu’ils sont les meilleurs dans tous les domaines, même dans la discrétion -ce qui était idiot car comment passer pour le meilleur si on passe inaperçu-, donc ces discrets là n’étaient que des m’as-tu vu inutiles.
Non, ceux qui intéressaient la Féline étaient ceux qui faisaient des efforts pour être banals, du moins pour ne pas être discrets excessivement, ni prouver qu’ils sont les meilleurs, ce afin de ne pas éveiller les soupçons. C’était le cas des 3 guignols qui marchaient tranquillement au détour des rues adjacentes, preuve qu’ils sont :

-… De Bregan d’Aerthe, n’est-ce pas ?

Les « touristes » virent à peine une véritable tornade fondre sur eux. Avant qu’ils ne puissent réagir, le fleuret frappa à plusieurs reprises, se jouant des cottes de mailles, mais sans tuer, juste neutraliser en perforant épaules et genoux.

5 hommes à terre plus tard, 2 s’étant joint à la partie, confirmant qu’il s’agissait de Bregan d’Aerthe, car la solidarité Ilythiiri n’existe que chez les assassins, d’ailleurs tout le monde sait qu’il n’y a pas plus humain et conciliateur qu’un assassin Drow... dumoins... chez les Elfes Noirs.

La démone se rapprocha d’eux d’une démarche lente, gracieuse et provocatrice, qui ne surprit nullement les Elfes Noirs, habitués à fréquenter les femelles de leurs races -pour les choquer, il aurait fallu que Sekhmet sautille, une sucette à la bouche et une corde à sauter en main- mais déjà qu’ils s’étaient fait tordre sans être proprement exécuté, il ne fallait pas les traumatiser davantage:

-Alors, messieurs, j’aimerai avoir une petite discussion avec votre chef mais…
Sa voix se fit suave quand elle s’accroupit pour soulever de la pointe de son arme le menton du premier…
..j’ai perdu l’adresse. Auriez-vous l’obligeance de me l’indiquer ? Vous seriez choux…

Salut Dragn’ !
Lança-t-elle, joviale, au mage qui passait et qui pressa brusquement le pas.
Non pas qu’il fallait mieux ne rien voir dans les cités Drow, mais le souvenir des ennuis que l’on rencontre lorsqu’on invoque CETTE démone-ci a tendance à marquer les esprits… et aussi la libido! Dragn’ s’était découvert un attrait étrange pour les membres de son propre sexe après avoir été épuisé par les « exigences » de la nympho qui le saluait.

-Bon, alors ? Cette adresse ? Quelqu’un aurait l’obligeance de me guider, il sera charmant !

-Euh, M’dame, on ne sait plus marcher…

-Pfff ! Les hommes… tous des tire-au-flanc ! Goujats.
La pointe insista sur la gorge.
Allons, pour moi.
Fit-elle avec un air triste.

-On… on veux bien faire l’effort mais…
Fit l’homme.

Sekhmet sourit de toutes ses dents.
-ha me voilà rassurée, je croyais que mon charme n’avait plus d’effet.
Fit-elle en battant des cils. Elle se releva et s’apprêta à partir quand un Elfe, surprit de cette réaction demanda :

-Et nous? Enfin ? Vous ne voulez pas que l’on vous guide, ou nous tuer ??
-Wouais, au moins quoi… pour la forme ! Renchéri un autre.
-Mais c’est quoi ce cirque ? Rajouta un suivant.

-Ce cirque ? Simple, mes chéris. Répondit-elle. Je n’ai pas l’intention d’aller plus en avant sur les terres de vôtre maître, donc, je vais vous laisser ici. Si je croise une Prêtresse, je lui dirai où vous êtes. Pendant ce temps, je continuerai à estropier tous vos petits camarades. Au bout d’une cinquantaine d’hommes en pièces et dans les geôles de Loth, votre sir viendra à moi, j’en suis persuadée. Bonne chance, soignez-vous vite car j’entends déjà les Prêtresse !

Sekhmet put entendre en bruit de fond :
-J’sais pas pour vous, mais moi, j’ai tout de même mal.
…..
-Ca craint son arme, c’était quoi ? Ca passe à travers les cottes de mailles.
-Je ne dirais pas au travers mais dans les inter..
-Ta gueule. L’un de vous sait soigner ?
-Nan
- J’sais tuer mais pas..
-non plus
-pas moi
-On est mal, là tout de même.
-J’me demande ce qu’était son arme
-Tu n’as vraiment pas autre chose à penser ?
-…. Qu’on est mal.
-heu.. oui, pensons à cette … épée…
-Elle est bien cette épée.
-J’aimerai avoir la même.
Aie... J'ai mal tout de même

Sans le savoir, la démone venait de lancer la mode du fleuret dans Bregan.
Mais elle n’en avait cure, trop occupée à chantonner une chanson de son cru, rythme militaire soutenue d’une poésie toute particulière qui pouvait échappé à maintes personnes.

Le magma c’est bon, c’est chaud !
Le magma ça colle à la peau !
Quand dans la forêt, je me croise un p’tit Elfe
A coup de pompes j’lui éclate la tête !

Une famille humaine dans sa maison est planquée
Maman donne le sein à bébé.
L’industrie chimique n’en a rien à cirer !
Le napalm va les réchauffer !

J'ai enfoncé mon épée dans la peau d'un humain
J'ai trouvé dans les fourrés un orteil de nain
J'crois que j'vais les collectionner pour en faire un collier
A mon cou se sera du plus bel effet !

Varloth allait rentrer dans le bureau lorsqu'un assassin de passage précisa :

-Il est allé voir la vieille peau.

Matrone Baenre, traduisit Varloth par déduction. Bon. Il entraîna le soldat à l'exterieur des tunnels de Bregan d'Aerthe, par téléportation. Se retrouvant directement à Chaulssin, il put entamer une conversation plus privée.

-Il n'a pas indiqué pour quelle raison évidemment.
-Il a bien dit qu'il était là-bas concernant un être venu des plans inférieurs.
-Et... ?
-Qu'il fallait que cela reste secret, bien sûr, fit le soldat en souriant.
-Bien sûr bien sûr. Et les prisonniers ils sont où?
Le soldat le regarda avec de grands yeux et un sourire moqueur.
-Le génasi et le gamin.
-Il m'a dis qu'il fallait que j'en parle à tout le monde. Par contre il n'a pas dis "où" ils étaient.
-Oula. Il est de bonne humeur.
-En effet.
-C'est mauvais.
-Ça l'est?
-Plutôt oui.
-Hum...
-Mil'Garn?
-Oui?
-Arrange moi un contact avec la maison Agrach'Dyrr. Dès que j'aurais vu Jarlaxle, je dois contacter l'autorité de la maison. En ces termes.
-Vous désirez un entretient avec "l'autorité de la maison?"
-Parfaitement.
-La mère matrone vous voulez dire? demanda le soldat, perplexe.
-Contentes-toi de transmettre le message, c'est clair? De la part du seigneur Aenen'Dyrr.
-A vos ordres. Ah au fait... Vous êtes l'un des lieutenants de Jarlaxle...
-Et donc?
-Nos patrouilles se font trucider au travers la ville. L'une d'elle, dans le Brearyn*, s'est faites... Attaquée, puis tuée par les autochtones. On ne sait pas qui est l'agresseur. Ou les agresseurs évidemment.
-J'avertirais Jarlaxle.
-Avez vous une idée de qui cela pourrait bien être?
-Pas encore, mentit Varloth.
-Pour avertir nos soldats, argua le drow.
-Inutile. Pas un mot à Jarlaxle de ce qui se trame, avertit Varloth. Je m'en occupe.
-À vos ordres.
-Une dernière chose : sait-on si le mage de la maison Shub'nuggurath est là?
-Hum... Nos espions n'ont rien signalé.
-Des nouvelles de... ? Demanda Varloth, pointant le pouce vers le bas.
-Rien ne nous est parvenu du temple ces derniers temps. C'est le calme plat.
-Et de Ssri'Tessin?
-La dernière fois que je l'ai vu, il se frottait les mains. Comme à l'accoutumée.
-Quand?
-Il y a un peu moins d'une dizaine je dirais. C'était aux abords de Chaulssin.
-Hum... Je commence à comprendre pourquoi Jarlaxle est de si bonne humeur ces derniers temps.
-Une toile... ?
-S'il n'y en avais qu'une, soupira Varloth. Je suis en train de penser : arrange moi une entrevue avec un O'bblodra. Mâle de préférence. Et pour finir une avec le mage attitré des Xorlarrin.
-Donc une visite à la demeure Agrach'Dyrr, une avec un mage O'bblodra, et une à Sorcere.
-Parfais. Je peux compter sur toi, fit Varloth.
-Bien sûr. Beau temps à la surface?
-Humide et nuageux. il ne va sans doute pas tarder à pleuvoir.
-Sinon l'économie marche?
-Les transactions se font. Elles vont... Elles viennent... Comme d'habitude.
-j'ai entendu dire que nous avions reperdu le fort dans la lisière du Cormanthor.
-Bof, tu sais ce que sais. Si ça se trouve, on l'a déjà reconquéris.
-Les humains et les elfes de cette régions sont de véritables gamins, renchérit Mil'Garn. Et les échanges avec les surfacins?
-Difficiles comme d'habitude. Mais on devrais pouvoir jouer sur quelques facteurs intéressant. Au fait, habille toi avec un uniforme de Sorcere. Et n'hésite pas sur la magnificence.
-Ce n'est pas très prudent...
-Justement, personne n'ira penser que tu es un agent du Bregan. Regarde Jarlaxle, avec ses bijoux qui font du bruit.

Le soldat réfléchit brièvement, avant d'acquiescer. l'une des première expèrience d'un agent de Bregan d'Aerthe, c'était de médire sur la tenue extravagante de Jarlaxle, pour s'apercevoir avec horreur que celui-ci est dans son dos et qu'il sourit à s'en décrocher la machoire.

L'entrevue finie, Varloth ramena le soldat de Bregan, vous l'aurez compris, fidèle de Vhaeraun, et membre du réseau d'espion naissant d'un certain élu. Tellement naissant que c'était l'unique à ce jour... Il lui lança, avant de rentrer dans le bureau du chef mercenaire :

-Le bonjour à ta femme et à tes gosses...

S'attirant ainsi un regard médusé de l'espion, qui se demanda s'il avait correctement entendu ses derniers propos...

Pendant ce temps là... Un mage entra dans la cellule de Zérar et Cayn, et sans un mot d'explication, entraîna ce dernier dans une autre pièce, aidé par deux autres drows, laissant Zérar seul. Pour le moment.

On emmena Cayn dans une pièce bourrée de parchemins, d'objets divers et variés, tous en vrac. un alambic trônait dans un coin, et un petit diablotin, sur un perchoir, attendait patiemment son maître. bref, l'antre du mage. Du mage participant à l'expédition d'ailleurs. Il attacha solidement Cayn à une chaise, ignorant les protestations du gamin. puis il examina le bras. Le bras qui détonnait avec le reste de la personne de Cayn.

Bien bien bien. Voyons voir ce que nous avons là... Ou alors tu peux me dire pourquoi ton bras il est bizarre? sussura le mage. Je te détacherais et je te donnerais une glace. Et même, si tu es sage, je te ramènerais à Charlotte. D'accord?

*Le brearyn : bas quartier où les drows les plus pauvres habitent. On peut également y trouver les "sous races", et divers établissement recquierant une certaine discretion, comme par exemple un bordel, oui, le seul bordel de Menzoberranzan, ou les mâles de la cité peuvent venir se défouler sur des prêtresses de Lolth déchues, capturées lors de raids et que le patron à réussit à soustraire aux prêtresses de Lolth. (je retrouve le nom du bordel et du patron quand j'ai 5 minutes)

L’avantage avec une Sekhmet d’humeur massacrante donc joyeuse, c’est que le guerrier prend le pas sur le félin, de ce fait, la discrétion de Sekhmet laissait à désirer et permettait aux membres de Bregan d’Aerthe de battre en retraite dés qu’ils la voyaient car quant ils l’entendaient venir de loin car elle chantait de sa voix « douce » et « tendre » :

-En passant par la Lorién avec mes nabots
En passant par la Lorién avec mes nabots
J’ai violé Galadriel avec mes nabots dondaine
Ho ho ho Avec mes nabots !
Car je suis le capitaine de la neuvième légion naine
Ho ho ho avec mes nabots

Elle semblait plutôt sympathique.

Mais l’ennui, c’est que de près on voyait qu’elle avait un fleuret à la main, ce qui n’est pas très effrayant pour des drows entraînés, ce qui effrayaient vraiment les Elfes noirs et les déstabilisaient, c’était la boule de feu qui trônait sagement dans son autre main.

Un quartier pauvre plus loin et quelques blessés en plus, Sekhmet se retrouvait dans l’une des artères majeures de la ville.
De grandioses palais montraient leurs façades et rivalisaient les uns avec les autres en exhibant un faste démesuré qui démontrait une fois de plus la mégalomanie latente des familles Ilythiirien.
Dans les alcôves des façades, des mâles veillaient au grain comme les parfaits petits subalterne qu’ils étaient, et quelque mètre en contrebat :

-Alors, tu appliques une première couche juste sur le bord, là, tu vois. Tu attends une minute, histoire que ça sèche et enfin tu appliques la seconde couche en couvrant l’intégralité.
-Ho. Et ça tiendra ?
-Oui, jusqu’au prochain combat, ce qui n’est déjà pas mal.
-Tu nous sauves la vie
-Tu n’exagères pas légèrement un peu… En parlant de ça, vous n’auriez pas un blanc ?
- Non, j’ai un rouge et un bordeaux…
-Pourquoi blanc ?
-C’est ce qui m’irait le mieux au teint.
Sekhmet, dans son corps presque neuf de Bête Eclipsante, faisait une pause dans son "nettoyage" pour discuter avec deux anciennes «copines », guerrières pour ne pas dire championne de Loth, de manucure….

Plus le temps passait et plus Cayn avançait à la catastrophe. La nécromancie était décidément une magie peu fiable. Maintenant qu’il avait fait rajeunir son corps, la magie en faisait de même avec son esprit. Et bien que son maître eu trouvé amusant d’éduquer un enfant de 12 ans disposant d’un pouvoir obtenue au prix de temps d’année, Cayn trouvait qu’il était temps d’y mettre fin. Et le problème, car une catastrophe démarre toujours à partir d’un problème, Cayn était dans l’incapacité d’annuler le processus. D’abords par ce que ses mouvements étaient entravé, parce que ça demander du temps, beaucoup de temps, et surtout du calme.
Cayn devait donc lutter pour que le processus ne s’achève pas, lui permettant ainsi de survivre. Ce qui lui donnait terriblement mal à la tête. Et d’ailleurs, il avait horreur qu’on lui parle comme un gamin.

-C’est un coup de soleil qu’un mage à mal soigné. Mais en aurait il été autrement de quelqu’un qui s’imagine médecin ? C’est gens là, toujours en train détaler leur science aussi vite qu’ils talent leur nouvelle pommade inventé juste pour vous, dés fois que ce soit la bonne. Charlotte elle dit que c’est pas bon à manger les pommades. Et pour cause, eux même ne savent pas vraiment ce qu’ils utilisent.

Cayn du interrompre son exposé sur le développement des pommades à cause d’un violent mal de tête.

-ça fait mal. J’aime pas être ici, je veux rentrer.

Zérar quand à luis marchait doucement le long des murs étudiant attentivement chaque interstices, chaque fissure du mur, qui était inexistante en vue du fait que la pièce était tout bonnement creusé dans la roche et il examina même la porte elle même, en réalité il notait tout autre chose, les espaces des couloirs, les très faibles bruits de pas qui lui parvenait, la qualité de l’endroit dans la quel il se trouvait, il chercha même un instant à repérer ou été ses chaînes, et bien qu’il ne les détecta pas il sut que son lien de maître des chaînes lié au fait qu’elles soit vivante lui donnerait peut être un avantage.
Enfin le demi élémentaire fit augmenter la température autours de lui, seul critère manquant pour se faire un petit nid douillet.
Et c’est donc un génasi de feus torse nue, et couvert de scarification, qui s’assit au milieux de sa cellule pour réfléchire à deux choses.

*Comment récupérer la laisse ? Et comment profiter de la situation ?*

Varloth fut accueilli par un rire clair et franc de la part de l'occupant du bureau.

Jarlaxle, les pieds sur le bureau (toujours), les mains derrière la tête, déclara à son lieutenant (on peut définir un lieutenant de Bregan par quelqu'un qui se fait entuber plus souvent mais qui est, relativement, mieux payé. Et est exempté des tâches les plus ingrates... Et encore, pas toujours)

-Bien joué mais, en tant que lieutenant, tu devrais éviter de jouer à des jeux auxquels moi, je joue avec mes hommes, sinon, tu n’auras plus grand-chose à commander.
-Bah... Varloth haussa les épaules, et s'assit en face du mercenaire. En une parodie de celui-ci, il mit également les jambes sur le bureau.
-Ts ts, ce n'est pas beau de copier sur son voisin!
Varloth sourit et haussa les épaules. Avant d'enlever ses jambes.
-Et en plus je vais finir par avoir mal au dos.
-C'est parce que tu n'es pas moi.
-Ça non! J'ai encore des cheveux. Au fait, j'ai appris que tu possédais un artefact Vhaeraunite...
-Ah non je regrette...
-Que tu avais à ta disposition un artefact Vhaeraunite... Corrigea Varloth.
-C'est fort possible. J'ai tellement d'artefact à ma disposition.
-... Avec marqué Vhaeraun dessus...
-Ah, oui, concéda Jarlaxle. Celui-là. Et donc?
-... J'aimerais le récupérer...
-En échange de... ?
-... Avant que Vhaeraun ne se déplace en personne, ce qui n'est pas bon pour la santé. Surtout la mienne. Et la tienne. En général quand il se déplace il ne fait pas dans le détail.
-Vhaeraun est la seule déité que je connaisse qui marque ainsi les artefacts qui lui appartiennent, fit Jarlaxle.
-J'ai déjà vérifié si j'avais quelque chose au derrière, Jarlaxle, et si tu veux mon avis, il ne m'a pas encore marqué, coupa Varloth. Pas là en tout cas.
-Ho. Je ne pensais pas à cette zone du corps eflique, bien que d'un autre point de vue, c'est au même niveau...
-Garde tes conceptions douteuses de la sexualité pour toi s'il te plaît. Et puis je pense qu'il marquerait plutôt mon cerveau ou quelque ch... NON Jarlaxle, ne le dis pas! Et change de point de vue en vitesse.
-Je ne l'ai même pas pensé! Protesta Jarlaxle. Belle lucidité, ajouta-t-il.
-Pas lucidité, habitude. Répliqua Varloth.
-Ah ? La voix de la majorité?
-Humpf... Varloth s'avoua vaincu : bref. L'artefact.
-On peut négocier?
-Hum... Tu as déjà négocié avec un golem de fer furieux?
-Un golem ne ressent pas d'émotion...
-Bon d'accord, l'image est mauvaise. (hrp péripatéticiennes de mixeurs, pourquoi ils n'existent pas dans ce monde? rhâââ!)
-Un piège à lame tournantes multiples modèles 345DTF(dans ta face)600?
-Tu le désamorcerais, répliqua Varloth.
-huhum... Accompagna-t-il d’un signe négatif de la tête.
-Tu le ferais désamorcer, corrigea-t-il. Non. Bon bref, as-tu déjà tenté négocier avec Baine croisé Tempus et Shar en rogne?
-Non. Mais, heureusement pour moi, Vhaeraun n’est pas un Baine croisé avec Tempus et Shar en rogne il sait négocier, lui. Et, de plus, il serait contraire à ses préceptes que je donne un objet précieux sans envisager … une rétribution correcte, je dirai que ce serait même l’insulter que de me comporter comme on se comporte avec Loth. Donc… qu’a-t-il à payer en échange de ceci ?
Il montra la laisse, suspendue à son index, la balançant légèrement.
Au fait, tant que nous y sommes, et en parlant de Tempus croisé Baine métissé Shar j’ai plusieurs hommes qui se sont fait massacrer et d’autres qui sont entrain. La responsable est une démone et vu les renseignements qui me sont venus aux oreilles, je crois que la gente dame est très connue du Génasi qui avait cette laisse, de toi également, plusieurs de mes « yeux » t’on déjà vu en sa compagnie, et donc de Vhaeraun.
Alors? Dis moi un peu comment fonctionne cette laisse qui est censée la contrôler ?
Le chef de Bregan d’Aerthe sourit de manière narquoise.
Voyons, un artefact aussi peu commun une laisse, signé Vhaeraun! Autant Loviatar, je l’imagine avoir une laisse… autant Vhaeraun et le sado-masochisme… Il était normal que je me renseigne auprès des mages. L’inverse n’aurait été mon style.
-Parfais! Je me demandais quand tu cesserais de tourner autour du pot, répliqua Varloth. Quels mages?
-Allons je ne vais pas divulguer mes sources! Pour qui me prends-tu?
-Jarlaxle?
-Oui?
-Non je voulais dire... Hum, laisse tomber. Pourquoi Loviatar en particulier?
-Déesse de la souffrance mon cher...
-Mouais. tu m'aurais dis Kiarransalee, pourquoi pas. Elle t'as dis quoi de beau la vieille?
-Varloth.
-C'est bien moi.
-Varloth, Varloth... Réponds à ma question s'il te plait.
-Une information d'une telle valeur, la divulguer sans négociations... Ce serait insulter Vhaeraun, propriétaire de la laisse! Qu'offreras-tu pour l'avoir?

Pendant ce temps, alors que jarlaxle et Varloth parlait de tout, de rien (surtout de rien) et se chamaillait gentilment (et que Varloth retardait Jarlaxle dans son but de le rouler), Cayn était toujours en compagnie du mage, qui déclara suite au dernière paroles de Cayn :

Tu veux jouer au petit malin hein? siffla le mage. Très bien. Dans ce cas...

Et le mage planta Cayn dans son laboratoire, toujours attaché.

hrp : Max, ce mage fait très mal les noeuds (c'est un mage), donc... je compte sur toi pour foutre un max de bordel...^^

P.S mise en couleur plus tard parce que là...

Sekhmet, démone certes, mais ex-déesse de la destruction, de la guerre, du désert et d’autres trucs aussi réjouissants, jadis l’œil destructeur de Ra, était sensible à la chaleur.
Les flammes, les déserts, les volcans l’attiraient constamment.

Jadis, elle s’était trouvée une charmante petite planque, le cratère d’un volcan, qu’elle avait aménagé en loft, jusqu'à ce qu’un crétin, se prenant pour un forgeron, l’en déloge pour forger une alliance unique… ou un anneau, elle ne s’en rappelait plus trop, et puis ? Quelle importance !!
Par la suite, dans son monde, ce fut un certain Docteur d’Enfer qui la dérangea, ce fut à partir de cette époque qu’elle décida de ne plus vivre dans les cratères volcaniques. Trop de conquérants mégalos venaient pour s’y installer ! Dans ces conditions comment vivre tranquillement ?

Mais là, ce subit pique de chaleur ne pouvait être que l’œuvre d’un Génasi…. Ou d’un magicien maladroit.
Dans les deux cas, il était intéressant d’aller vérifier.
Le premier cas permettait de retrouver Zérar, et le second offrait un rôti bien cuit.

Sekhmet quitta ainsi ses "copines" pour faire le déplacement arrivant… (HRp- Xen, je présume qu’il y a des protections magique ?)

HRP : Ou comment écrire : attention antre protégée par la magie, ya des drows mais faut pas le dire What a Face

...Arrivant devant une boutique à l'air délabrée, dans la vitrine trônant une quantité incroyable d'objet en tout genre :

Une guitare, un crocodile empaillé avec marqué dessus : -30% pour les mages de moins de 50 ans. Terriblement tendance dans un laboratoire. Mais aussi une corne de brume, un rouet, un soufflet, trois puzzles, deux pin's Elvis's collector (ne me demandez pas comment c'est arrivé là), une guitare électrique, une harpe, une flutte de pan, trois casus belli, et le dernier bouquins existant de la version AD&D de Donjons et Dragons. Et plein d'autre truc, mais je vais pas tout décrire.

Le rayonnement du possible Zérar possible barbecue semblant venir de derrière la boutique.

La boutique semblait ouverte. En tout cas, la pancarte ne disait pas le contraire, mais à l'intérieur, rien ne semblait bouger.

Sekhmet n’entra pas, mais elle regarda la guitare électrique et commenta:

YEs! Trop Fun! Je suis sûr que ça plaira à Elthenarion.

Sekhmet pensait, en toute logique, que ce "magasin" était un entrepôt permettant de stocker les objets magiques, et comme elle aussi était un objet magique, elle évita soigneusement d’y entrer de peur d’y rester enfermée.
Elle se contenta user de sa discrétion habituelle, en hurlant :

ZERAR ? SERAIS-TU DANS LE COIN ?

Jarlaxle souris aux paroles de son lieutenant.
-Je n'en espérais pas moins. Qu'ai-je à t'offrir?
-Oui.
-Hum... Un sort peut-être?
Varloth ne réagit pas.
-Non? Bon, un objet magique alors?
-Quel genre?
-Je te retourne la question.
-J'imagine qu'une laisse magique avec marqué Vhaeraun dessus est hors de question...
-En effet. Ce serait le serpent qui se mort la queue. Mais j'ai une meilleurs idée. Si tu me dis comment empêcher cette furie de massacrer mes hommes grâce à la laisse, alors je te la rendrais, puisque tu sembles tant y tenir, fit Jarlaxle en souriant de toutes ses dents.
Varloth prit le temps de la réflexion. Il n'avait aucune garantie bien sûr. mais Jarlaxle était assez respectueux des marchés. Dans son genre. Et puis...
-D'accord, fit Varloth.
-Ah! Qu'est-ce qui t'as convaincu? Mon charisme exceptionnel ou la voie de la raison subtilement distillée par mon cortex musclé?
-Commence pas à faire ton Seldnaufein, fit Varloth en souriant. Que paierais-tu pour le savoir?
-Héhéhé... On en discuteras plus tard. Alors cette réponse?
-Libère le génasi.
-Pourquoi donc?
-Simple, si tu le libère, Sekhmet se désintéressera de toi, et de Bregan du même coup.
-Je t'ai demandé...
-Tu m'as demandé comment empêcher Sekhmet de se déchaîner contre tes hommes non?
-En utilisant la laisse.
Varloth soupira.
-Allons, qui ne tente rien n'a rien! Au moins a tu eut le mérite d'essayer, le consola Jarlaxle.
-Le mérite ou la bêtise... ?
-la frontière est mince, mais elle existe, reconnu Jarlaxle.
-Encore faut-il que je sache de quel côté je me trouve.
-Varloth, fit Jarlaxle, de l'air du père qui réprimande un enfant faisant manque de concentration. Ce qu'en définitive était Varloth.

Varloth qui en arriva au dilemme suivant : il ne faisait pas vraiment parti de Bregan d'Aerthe, donc si Jarlaxle empêchait Sekhmet grâce à la laisse de nuire à ses agents, et à lui, elle en déduirait sûrement que Varloth avait vendu la mèche.
Et il ne serait pas protégé.

S'il arrivait à en sortir sans casse, se jura-t-il, il découvrirait un moyen pour mettre cette laisse hors de portée des mortels.

Finalement, il jugea plus prudent de conclure au plus tôt les "affaires" avec Jarlaxle, avant que les choses n'empirent encore.

Zérar aux aguets entendis une douce voix mélodieuse et qu’il trouva …

"J’adore cette voix décidément …"

Le demi élémentaire se leva et se dirigea vers la porte, il fit alors preuve d’une finesse dont seul Sekhmet pouvait se targuer de rivaliser.

"OUI JE SUIS LA !"

Le génasi avait un petit sourire en coin ça faisait plaisir une connaissance « amicale » dans un tel lieux.

Entendant faiblement le son de la voix de Zérar, Sekhmet répondit :

-Jusqu'à qu’elle température peux-tu monter ? Si tu peux élever fortement ta température, fais fondre les barreaux, les charnières, les verrous… crétins !

Rajouta-t-elle pour confirmer qu’elle était bien elle.

Suite du dernier RP, et Max n'oublie pas de réagir!^^

D'en finir avec ses négociations oui. Finalement, peut importait la réaction de Sekhmet. Vivre en essayant de se soutirer à la colère de son entourage, fut-il un dieu, ne lui ressemblait pas. Et partant du principe que ça pourrait être bien pire, il devrait se contenter de cela.

-Je t'explique comment utiliser la laisse, mais tu devras quand même libérer le génasi, dit Varloth. Sinon ça ne te servira à rien.
-Du moment que la laisse fonctionne pour ce que je veux faire...
-... C'est à dire "l'empêcher de nuire à tes hommes du moment que ceux-ci ne se montre pas hostile" précisa Varloth.
-Oui voilà.
-Bien. Du moment que Sekhmet n'est pas dans une colère noire, tu peux la... "contrôler". Lui suggérer des ordres paraît plus exacte. Mais reste prudent. Elle ne pourra pas te nuire, tant que tu portes la laisse. Normalement.
-Es-tu en train de me dire que cet artefact à ses limites?
-Soit heureux qu'il existe, répliqua Varloth.
-Certes! Je dois donc le lui ordonner oralement?
-Ça me paraît évident...
-Très bien! Dans ce cas, une fois cela fait...
-Tu la rendras au génasi, coupa Varloth.
-Ah mais nos termes...
-Si tu me la donne, je la lui donnerais, alors de toute façon...
-Vraiment? Et pour quelle raison?
-Mon petit doigt me dit que tu t'en doutes, alors je ne vais pas te les confirmer.
-Mon petit doigt ne me dit jamais rien, tu en as de la chance!
-Oh la ferme.
-Héhéhéhé... ricana le mercenaire... Bon, allons donc voir notre génasi. Et cette démone.
-Elle est dans le coin?
-Devant la boutique.
-Ah oui quand même. Varloth ne demanda même pas comment Jarlaxle le savait. Ce ne serait qu'une perte de temps.

Zérar n’avait pas pensé à cette option mais lui même en vit rapidement les limites.

"JE SUIS PEUT ETRE UN GENASI MAIS JE NE PEUT PAS FAIRE CE QUE TU DIT."

Le demi élémentaire redevint silencieux, cherchent à écouter la réponse de la démone

-Alors, jeune imbécile, déformes mes propos pour les adapter à ta puissance!

Sekhmet soupira de contrariété en croisant les bras:

C'est pourtant facile! El'Couilloñ!Même si c'est du Mithril, tu crois qu'ils les ont forgé comment les barreaux?
Chauffe le métal pour le rendre malléable, et là, tu pourras écarter les barreaux!

Bha, Varloth est encore moins doué que lui, je ne peux rien lui reprocher. Conclut-elle pour elle même.
Ho, encore un détail, ici ta vision nyctalope ne te fait voir que certain détails, transforme une partie de ton énergie calorique en énergie luminescente, en plus, les Drows sont "allergique " à la lumière forte.

Zérar serra les dents, elle avait raison tout bêtement.
Le demi élémentaire appliqua sa main sur l’emplacement de la serrure et la fit chauffer le plus possible, bien que maîtrisant en partis le feus ce n’était pas un élémentaliste mais le métal ne sembla pas trop apprécier ce mauvais traitement.

*Et dire qu’elle veut que je déforme ses propos … *

Le génasi garda ce moment d’amusement pour lui et donna un violent coup de pied contre la porte qui trembla devant la force du guerrier tueur.

"CA RISQUE DE PRENDRE UN PEUT DE TEMPS QUAND MEME."

Zérar reprit ses assauts de plus belles contre la pauvre porte innocente de tout forfait.

[HRP] Je laisse le soin à Xen et Zokh pour me dire si la porte fini par céder vue que je n’y connais pas grand chose en architecture de porte drow ^^
Petite note un génasi n'est pas Nyctalope mais à vision dans le noir sur 18 mètre, oui je sais je voulais faire un clin d’œil pas drôle quand j'ai dit qu’il était comme l’elfe de Naheulbeuk.

HRp : comme je l'ai déjà dis, mais seulement à Ralkcor ya pas de barreaux...^^

-Et pourquoi ne rentre-t-elle pas? demanda Varloth.
-Comment veux-tu que je le sache...

Les deux Ilythiirien étaient sur le chemin de la cellule de Zérar quand ils entendirent :

C'est pourtant facile! El'Couilloñ!
Chauffe le métal pour le rendre maléable, et là, tu pourras écarter les barreaux!

-...
-Je me demande qui ça peut bien être!
-Et moi donc.
-Et je me demande également à qui elle peut bien parler.
-Arrêtes ta rétorique...

Les deux drows arrivèrent devant la cellule du génasi. Jarlaxle se saisit d'un trousseau de clé venant de nulle part et ouvrit la porte, qui commençait à faire un peu trop de bruit au goût de Jarlaxle. Tant bien que mal. heureusement, la serrure était en deux partie : une à l'intérieur, une à l'exterieur.

-Bien le bonjour! Inutile de vous fatiguer à chauffer des barreaux imaginaires, vous voyez, nous venons nous même vous chercher! Un petit interrogatoire de routine, et avec un peu de chance vous êtes libre, fit Jarlaxle avec un sourire narquois. quant à toi Varloth... je crois que tu as une mission non? Alors voilà : tu vas déjà dire à notre amie d'entrer, tu lui dis que je l'invite dans mon bureau, où on pourra discuter un peu, et après tu y vas, hum?
-Ai-je seulement le choix? fit Varloth en levant les yeux au plafond.

-TA GUEULE ET CHAUFFES LA PORTE.

Encouragea Sekhmet en s'asseyant et ouvrant un livre: La communication avec un adolescent. Auteur: Mireille Dumas.

Au fait, prépare toi à un acceuil chaleureux de l'autre côté de la porte, vu comment tu es discret.
Pour ma part, je suis en joue par une vingtaine d'arbalétes...
D'ailleurs...

Sekhmet usa des pouvoirs de la créature qu'elle occupait, une Bête Eclipsante, et s'envellopa d'une couche de ténébre.

Zérar ne se fatigua pas plus mais fut intrigué quand le drow au chapeau marquant lui fit part de barreau alors qu’il avait chauffé la serrure.

*Ils doivent se complaire à rabaisser les autres …*

Alors que Varloth levé les yeux au ciel le demi élémentaire nota une chose qui lui appartenait.
Il saisit sa dague alors à la ceinture du drow, ce dernier lui saisit la main comme pour le bloquer.

"Je te remercie de m’avoir récupéré ma dague mais elle m’appartiens toujours alors si tu pouvais juste me la rendre ça arrangera tout le monde."