[Add]Pépère, le rôle-play où l’on glande sévère.

Essoufflé, Cayn s’arrêta de courir. Ils étaient désormais à l’abri dans une sombre ruelle comme seule en ont les vielles villes remplis d’histoires glauques et sordides. C'est-à-dire presque toutes les villes humaines dépassant le demie millier d’âmes.
Puis, reprennent un minimum de sérieux il se tourna vers Varloth et pointa un doigt accusateur sur le voleur.

-C’est quoi ce truc ?

-Chuis personne!
-Tu te tais ou je te tais?
-...
-Brave bête. Ça se voit pas très bien, parce qu'il est encore en robe à crinoline, et qu'il est tout rouge...

Varloth le frappa avec un sac vide qui traînait par là, et le curry s'envola dans la ruelle. Lui même s'épousseta, ôta le queue de pie et le chapeau haut de forme (qui était par dessus son autre chapeau!). Mais il était bon pour un bain, sous peine de ressembler à un boudin au safran géant à patte pour les prochaines heures...

Keuf! Keuf!

-... Mais ce n'est rien d'autre que notre homme de tout à l'heure!
-C'...
-Tûtutut! Qu'est-ce que j'ai dis?
-...
-Bon, donnes la dadague.

Le voleur tendis vivement la dague du génasi, dont Varoth s'empara prestement.

-Bien, pour m'avoir restitué ma propriété, je te laisse la vie sauve...
le voleur soupira de soulagement.
-Mais tu vas rester avec moi et m'obéir pendant une semaine...
Avant de gémir de plus belle.
-Si tu ne veux pas que je t'offre à mon ami ici présent qui manque de cobaye ces derniers temps...
Et de déglutir avec difficulté.

Cayn le regarda avec ses yeux d’enfant à qui ont refuse un caprice.

-Quoi. Mais j’ai moi aussi des droits sur ce pouilleux.

Il attrapa le bras du malheureux qui n’osa rien dire.

-On peut sentir qu’il a des carences en glucose. Or une théorie que j’aimerais vérifier dit que qu’un sang appauvrit en glucose, mélangé à de la mélanine donne un excellent stimulant pour troll. Ledit stimulant augmentant les chances de garder le troll en vie durant l’opération.

Les yeux de Cayn se firent implorant. Ceux du voleur aussi mais pas pour la même raison.

Le guerrier les avait suivit, tout le long, un peu a l'arriere. Au passage il regarder un peu le marché. Puis il les vit rentrer dans une ruelle, avec quelqu'un d'autre, apres tout le rafut qu'ils avaient fait.
le guerrier se mit face a la foula apeurée, dos a la ruelle, la bouchant a tout regard exterieur.
Groullier vous, ya la milice qui arrive.

Varloth leva les yeux au ciel en soupirant.

Ben tiens!

Suprenant... Il y a une grosse brute qui se campe miltairement devant une ruelle insignifiante. Là, c'est sûr, on se demande où ils sont partis les fauteurs de trouble!
Varloth se releva, et trouva une endroit approprié où ranger sa nouvelle dague.

Hum... Il eut l'air pensif. Il avait affaire à un voleur. Avec un peu de chance...

Bon, suivez moi, dit-il, se dirigeant par un chemin détourné vers le seul endroit où trouver encore une baignoire et une chambre à peu près sûr et discrète, c'est à dire au Horny Horse. Et à la reflexion...

Passe devant, dit-il au voleur. Mais pas de plaisanteries, tu ne courrais pas assez vite pour te rappeler quelle était ta forme dix minutes après.

Il jeta un regard significatif à Cayn. Il n'avait pas l'intention de lui laisser le voleur en pâture ainsi, ça manquait de subtilité... mais en attendant ça ne coûtais rien de le lui faire croire...

Celui-ci se releva en déglutissant.

-B... Bien seigneur.

Le demi élémentaire atterrie lourdement sur le planché de sa chambre.

"Ouch ! Faudra que je m’y face à ça …"

Il se releva et s’épousseta un instant et examina la laisse, elle avait visiblement beaucoup plus d’enchantement qu’il ne le croyais, il faudra qu’il demande à Sekhmet quoi exactement … si elle voulait bien lui adresser la parole encore.
Finalement il sortit se souvenant qu’il ne portait plus sa fameuse dague.

"Baste ! Plus le temps et puis je la retrouverais toujours."

Il s’engagea dans diverses ruelles, évitant chaque coin dit « payant » tournant pour éviter les éventuel personne qui le suivrait, bref déployant toutes ses connaissances de Luskan.

Varloth et Cayn était désormais au horny Horse, après avoir fait un détour par la garde, histoire de livrer le voleur.

De quoi payer un bon séjour à l'établissement aux activitées sportives discrètes.
Quoique pour Varloth, cela ne se résumait qu'à un bon bain dans l'une des baignoire réservées au clients normalement accompagné.

Là, il était seul, et c'était un pur moment de paix et de relaxation. Le bain parfumé le détendait et allait faire partir cette odeur d'épice de son corp. Il en profitait pour réfléchir à ce qu'il allait faire après ça.

Aujourd’hui, découvrez le vrai visage, (façon de parler) de Cayn. Vous allez comprendre pourquoi il fait partie des pas gentils.

Cayn empocha sa part de la récompense pour le bandit et se prit une petite chambre, pas loin de celle de Varloth. Il chercha quelque chose à faire mais eut vite fait de s’ennuyer. Et comme chaque fois qu’il s’ennuyait, son bras gauche se rappelait a lui. Douleur lancinante, se propageant peu à peu à tout son corps. Puis se fut la faim qui arriva.

-Tsss. J’ai trop tardé on dirait.

Les pensées de Cayn commencèrent à se brouiller. Il sentit ses dents se modifier, sa peau se tirer légèrement.
Il sortie de sa chambre et entra dans celle d’en face. Là, une femme d’âge moyen, était installée sur son lit. Elle se releva, s’apprêtant à protesté mais Cayn, dans sa peau de petit garçon, se tenait douloureusement la tête.

-ça va petit ?

Cayn s’approcha d’elle et leva son visage enfantin sillonné de larmes.

-ça fait mal.

La femme s’approcha de lui afin de l’examiner dans l’optique de l’aider. Quand elle posa sa main sur l’épaule de Cayn, il lui attrapa fermement le bras.

-Aidez moi.

Effrayé par la force de Cayn, elle tenta de se dégager, mais il maintint ferment sa prise. Il lui flanqua un violent coup du bras gauche. Un coup bien trop puissant pour un simple humain.
La femme eut l’impression de suffoquer. L’instant d’après, Cayn la lâcha et la frappa à de sa main droite à la tête, l’envoyant boulet contre son lit.
Ouvrant difficilement les yeux, un cri de terreur se coinça dans sa gorge. Le visage de Cayn était blême. Ses yeux injectés de sang et deux canines proéminentes dépassaient légèrement de ses lèvres. Des larmes coulaient sur ses joues pales. Tout cela contrastait avec ses traits juvéniles. Ses yeux étaient écarquillés, comme s’il n’arrivait pas à croire se qu’il était en train de faire.
Quand il parla, sa voix fut celle d’un adulte. Grave et inquiétante.

-ça fait tellement mal vous savez. Il me faut votre sang pour reprendre le contrôle. Sinon, il prendra possession de moi. La femme regarda Cayn défaire son gant, dévoilant un bras flétris, gris comme la cendre. Depuis qu’on m’a greffé son bras, ce vampire essaye de prendre le contrôle. Et il n’y a que votre sang qui puisse le calmer.

A une vitesse incroyable, il plaqua sa main sur la bouche, l’empêchant de hurler. Puis il enfonça ses crocs dans la chair.
Progressivement, la douleur reflua pour finalement disparaître. Quand il le lâcha, le corps bascula sur le coté. Le sang coulant sur son menton et tombait par à goutte sur le sol.
Il s’essuya avec le drap et remit son gant en place autour du bras gauche.
Il sentit ses muscles pleins d’une nouvelle force et cracha sur le corps. Il avait horreur de boire du sang. Mais s’il ne le faisait pas, le vampire prendrait possession de son corps. Il n’arrivait toujours pas à comprendre comment le vampire pouvait continuait à survivre alors qu’on ne lui avait greffer que son bras gauche.
Haussant les épaules, Cayn ferma doucement la porte et rentra dans sa chambre. Depuis toutes ces années, il n’avait toujours pas la réponse. Inutile donc d’y perdre encore du temps.
Il s’installa prêt de la fenêtre et commença à chantonner une comptine de quand il était petit.

Varloth inspecta la salle de bain, afin d'être sûr qu'il n'oubliait rien. Epoussetant son piwafwi, il le revêtit.
Décidément, ce bain lui avait fait le plus grand bien. Désormais, il se sentait mieux : moins fatigué, et les idées claires.

Seule ombre au tableau, et encore, plutôt pénombre qu'ombre : il devait retourner en Ombre-Terre, suite à un ultimatum de Vhaeraun.

D'un côté cela le ravissait. Jouer la comédie de l'ensorceleur raté lui tapait désormais plus que sur les nerfs. Ca lui faisait l'impression d'une mouche électrique tournoyant autour de chacun des neurones qui lui composaient la cervelle. Et il en avait son compte pour un moment de ça!
Heureusement, songeait-il, Jarlaxle et consort, assortit de savoureux contrats d'assassinats, lui ferais oublier telle décovenue.

Mais d'un autre côté, il avait jouït, paradoxalement pour un drow, d'une liberté de mouvement, et d'une sécurité qu'il ne connaîtrait plus en Ombre-Terre.

S'étirant, il sortit dans le couloir.

Où il croisa la patronne/matronne du horny horse.

-Moitié prix...
-Comme convenue! l'interrompit Varloth. Vous croyiez que j'allais partir à l'elfe de lune?
-Vous êtes un elfe noir que je sache! rétorqua Hildegarde (un bon nom, robuste et solide pour une matronne, non?)
-Certes! j'avoue que vous marquez un point. Mais vous savez, on ne survis pas longtemps en allongeant sa liste de dettes auprès de personnes comme vous, fit Varloth.

La patronne se rengorgea, visiblement flattée, et cessa toute conversation, au grand soulagement de Varloth, qui n'attendait que ça.

-Tenez! Voici votre paiement!

Puis le drow s'empressa de s'en aller, par la porte de derrière.

De là, il se téléporta en Ombre-Terre.

Il contempla le paysage, impressionant, bien que dévasté, de sa cité natale.

Puis, comme il n'était guère enclin à la nostalgie, il tourna le dos au panorama pour qui, n'importe quel peintre adolescent en mal d'identité, broyant constament du noir, aurait donné son âme.

Il s'enfonça dans une des dangereuse galerie d'Ombre-Terre.

Direction Menzoberranzan.

Le génasi arriva enfin à l’endroit de la réception, deux gardes lui barrèrent la route alors qu’il s’âpreté à entré dans le palais de Luskan.

Votre invitation je vous pris.

Je suis le Conte Vindermark, et voici mon invitation.

Zérar donna le bout de papier avec un certain dédain, le garde l’examina longuement, puis le luis rendit.
Sans un mot il laissa passé le demi élémentaire qui entra sans hésitation.
Il arriva rapidement à un couloir richement décoré qui menait à la salle principale, la porte à double battant étant largement ouverte on pouvait admirer la grande salle spécialement décoré pour l’occasion, deux énorme lustre de cristal baignait l’endroit de lumière, de larges tapisseries ornant les murs de scènes passés.
De nombreuses table croulait sous les mets les plus délicats allant du saumon fumé de qualité aux friandise chocolaté ainsi qu’aux fruits de mer.
L’assassin poussa un soupire et murmura quelques paroles à lui même alors qu’il était encore à bonne distance de la porte.

"C’est dommage, cette mission aurait pus vraiment être amusante avec elle …Bon après tout je suis la pour tuer quelqu’un autant le faire …"

Il toucha la laisse, sachant très bien qu’il pouvait obliger Sekhmet à faire tout ce qu’il voulait … mais non ça ne lui disait vraiment rien.

De son côté, Varloth était aux anges.

Il avait croisé deux molosses d'ombres, trois glabrezus, et un gnome des profondeurs passablement... Eméché.
Pour l'heure, assis sur un rocher, il écoutait le gnome fantasque débiter sa curieuse histoire. Les cadavres des créatures précitées gisant un peu plus loin.

Assurément, un drow assis en face d'un gnome des roches, n'essayant pas de le torturer, tuer piller, et autre joyeuseté du même genre, ce n'est pas courant! Quoiqu'avouons le, Varloth n'est définitivement un drow pas commun...
D'ailleurs, un gnome des roches discutant paisiblement avec un drow, qui n'essaie pas de l'étriper, cogner, esbigner et autre joyeuseté, ce n'est pas courant! Quoiqu'avouons le, ce n'était pas franchement non plus un gnome commun...

-Et donc, quand le ressort s'est détendu, le bouclier fut projeté sur la créature!
-Formidable!
-Et je me suis retrouvé encastré dans un mur, un peu plus loin.
-Vous n'étiez pas en forêt?
-Hein?
-Vous n'étiez pas en ville?
-Mais non, voyons, j'étais en raze-campagne. En réalité le mur était un mur en ruine.
-Comment vous êtes vous retrouvé encastré dans ce mur s'il était en ruine?
-Il était solide!
-Entier?
-Non, solide!
-Un mur en ruine, il n'est pas entier, expliqua patiemment Varloth. Le plus souvent, il est par terre.
-A bon?
-Comme je vous le dis.
-Formidable!
-Oui oui. Et donc?
-Donc quoi?
-Et bien, ensuite?
-Ah! Et bien ensuite j'ai mis deux heures pour me désencastré du mur.
-Et après?
-Oh et bien je suis rentré, j'ai pris un bon bain et j'ai mangé. Je suis allé aux toilettes aussi.
-D'ac-cord...
-C'était un ancien mur d'auberge.
-Tout ça pour ça, soupira-t-il.
-Comment?
-Non rien.
-Et vous?
-En gros... Pareille, avec moins de bouclier, moins de ressort, autant de braguette pour ainsi dire, et hum... Non, un seul mur. Mais je suis tombé du deuxième étage d'une fenêtre de l'auberge.
-Vraiment?
-Enfin, plus juste de dire que j'ai sauté.
-Vous vouliez essayer de voler?
-Hum?
-C'est que quand je suis saoûl, j'essaie de voler voyez.
-Ici aussi??
-Oui.
-C'est donc pour ça, la mousse sur le casque.
-En effet. En tout cas, je suis presque certain de ma théorie.
-En tout cas pour deux personnes, elle se tient.
-C'est tout ce dont à besoin d'une théorie!
-N'empêche, à l'avenir je regarderais les tavernes de la surface d'un autre oeil.
-Oh! la magnifique créature!

Un félin éclipsant venait d'apparaître, et se repaissait des cadavres, en lorgnant prudement les deux vivants.

-Hum... Un choix de terminologie intéressant. Ce n'est pas celui que j'aurais choisi en premier.
-Délicieux?
-Hmnon.
-Transcedant?
-Non plus. Ca commence par un "D". Ah zut.
-Doublement magnifique? Dichotomique? fit le gnome en désespoir de cause.
-Dangereux! Voilà, c'était ce mot là.
-Oh.
-Bon, c'était divertissant, mais là je dois y aller.
-Ah? Le gnome regarda un petit objet à son poigné. Oups! Déjà dix-huit heures! Je vais me faire ramoner par la darone moi! Le gnome illusioniste disparu alors, dans un nuage de fumé.

Le félin, toujours aux aguets, sursauta. A son regard curieux, et malfaisant, Varloth répondit :
-Quoi? J'y peux rien s'il est fou.

Varloth haussa les épaules.

-Bon bon bon. C'est vrai qu'il se fait tard. Il continua son chemin, à pieds, jusqu'à Ched Nasad. Au passage, il tapota la tête du félin, en disant : brave chat... Et en esquivant la réplique de la bête.

On entendit alors un peu plus loin le rire du drow, s'éloigner rapidement, avant que retombe le silence en ombre terre.

Le tueur entra d’un pas assuré au cœur de la fête, il salua le beau monde comme le voulait la coutume, rit à des blagues qui frôlait les pâquerettes pour finalement trouver le fameux capitaine suppléant, un homme plutôt jeune au nez cassé mais avec un sourire mielleux dégoulinant.

"Messire, je tenais à vous présentez mes plus sincère félicitation pour votre promotion !"

"Merci à vous messire … messire ?"

"Garic Vindermark enchanté."

Il serra la main du capitaine avec entrain et pendant une fraction de seconde Zérar dégagea le petit sachet qu’il avait dans sa manche pour le laisser saupoudrer sa main d’un poison des plus vicieux, extrêmement fin il ne se voyait presque pas à l’œil nue et n’avait aucune odeur, la main du capitaine fut donc rapidement induite de se produit mortel.

"C’est vraiment une chance pour vous, surtout à cause de tout ces problèmes qu’il y a eu pour la succession, vous n’avez pas peur des représailles ?"

"Ho non je suis bien à l’abri de tout cela."

"Ha bon ? Je suis heureux de vous voir si confiant, d’autant que le ricaneur serait de retours."

"Pardons ?"

"Oui vous savez cette assassin qui rit comme un dément après chacun de ses meurtres."

"Ho et bien … non je ne pense pas qu’il pose problème."

Sur ses mots il se frotta vigoureusement le nez, son tic quand il était stressé.

*Et voilà c’est fini…*

Une petite explosion eu lieux.

"Qu’est-ce que ceci ?"

"Ho rien juste un gnome adepte de Gond qui nous présente l’une de ses inventions."

"A vraiment ?"

"Ouiiii hahahahahahahaha ! Elle est vivaaaaante heuuu elle marche je veut dire !"

Sur ces mots des plus détonnant le capitaine et Zérar s’approchèrent d’une étrange machine, une sorte d’anneau géant avec un gros cadrant devant doté d’un immense bouton rouge au centre.

"ADMIRE LA FANTASTIQUE MACHINE A VOYAGER AU TRAVERS DES PLANS !"

Sur ces mots il activa plusieurs symbole, la roue se mettant à tourner avec une vague d’eau qui sortie, la un petit groupe militaire apparut.

"Heu … Major je crois qu’ils se sont planté dans l’adresse …"

"En effet …"

"Ce doit sûrement être un problème de distorsion du continuomme espace temps de la porte…"

"Haaa ! Stop pas un mot de plus … Bon on rentre comment maintenant ?"

"Heuu et bien on pourrait déja discuter avec ces gens qui nous fixe aux lieux de les ignorés non ?"

"Heu … Ouais … allais y faite leurs votre baratin."

Finalement plusieurs heures plus tard Féerun venait officiellement d’être l’une des planètes à éviter, s’ensuivit une invasion d’Apophis (et oui encore lui) qui avait fusionné avec les réplicateu … *PAN*
La chaînes rp du disque monde vous prit de nous excuser de ce petit contre temps, tout de suite la suite de votre poste.

Les diverses roues se mirent à tourner à une vitesse folle, imitant à la perfection l’électron en colère.

"OUI ! OUI ! HO OUI ! ENCORE VAS YYYYY !"

"Heuu je le sens mal la .."

*VRAOUFE !*

Une explosion d’énergie magique se produisit, créant une sphère verte émeraude, le capitaine et Zérar furent happé en une fraction de seconde dans l’étrange flux.

Le silence revint peu à peu, la pièce à moitié dévasté.

"QUOI ?! JE N’AI FAIT QUE CA COMME DEGATS ?!"

Hurla un gnome outré par le potentiel destructeur de son invention qui aurait pourtant faire pâlire de jalousie une bombarde Thayen.

Le génasi et l’humain toussèrent en cœur alors qu’ils sortaient d’un nuage de fumé crée par la pulvérisation d’un rochet… à deux centimètre de Varloth.

[HRP] Aujourd’hui, pourrissons la vie de Varloth. ^^ [/HRP]

Pour dire vrai, Cayn ne se sentait pas très bien. En fait, son bras lui faisait mal. Comme la fois ou …
Il regarda son bras qui devenait de nouveau transparent. Et cela gagnait toujours plus de terrain. Jusqu’à le rendre transparent.
C’est à ce moment que rentra Hildegarde (la patronne) qui eu la bonne idée de se jeter sur Cayn qui commençait à devenir quelque peu vaporeux.

-Hé, Pas si vite mon petit bonhomme. On paye avant de partir !

Et Cayn plongea à nouveau dans un tourbillon de ténèbres avec l’idée en tête de casser la gueule à Varloth pour l’avoir lâché. Mais ça concentration était un peu limité par une autre douleur, celle d’un manque de plus en plus important d’air.
Au moment ou il voulu respiré pour échapper à l’asphyxie, les ténèbres disparurent un peu, il tomba sur son séant qui le fit immédiatement souffrir. En contrepartie, il put respirer.
Il ouvrit vivement la bouche ET les yeux qu’il avait fermés dans sa peur panique du noir. (Ceci peut paraître bizarre, mais un enfant quand il a peur, même du noir, ferme les yeux. Provoquant ainsi son propre noir. Et on est toujours mieux servit que par soit même d’abords.)

Il ouvrit les yeux donc. Et aussi la bouche. Pour respirer. Mais ce qui le fit voir et parler en même temps car il fut surprit de ce qu’il vit. Tout en respirant. Car il n’avait plus d’air. Sauf l’air étonné. Car il vit, non pas Varloth, mais Ralkor. Ralkor qui avait l’air lui aussi très étonné. Pas parce qu’il voyait Cayn, mais parce qu’il voyait Varloth qui se trouvait. Et bien sous Hildegarde. Qui avait lâché Cayn. Ce qui lui permettait actuellement de respire et de parler. Et en même temps, c’est pas facile, ce qui donna un.

-Raaaaaaaaaa . Pffff. Ralkor ?

HRP : autant le faire RP...

Le premier réflèxe de Varloth fut de créer une zone de ténèbre, et de dégainer arme, et pour ainsi dire, magie.
Une épée courte dans une main, l'autre main au dessus de la tête, qui serais auréolée d'une lueur Verte-Violette, prête à envoyer un sortilège au moindre danger.

Puis, entendant la voie de Zérard'abord, puis de Cayn, Varloth jura intérieurement.

Il avait envie d'être un tant soit peu tranquile. La routine et l'ennuie, ç'a parfois du bon, surtout pour les nerfs.

Il se téléporta à Menzoberranzan. Dans le bureau de Jarlaxle.

-Tiens?
-Oui?
-Si rapidement?
-Et pourquoi pas?
-Une raison?
-La routine?
-Ca t'es déjà arrivé souvent??
-Non. Juste pour la routine expliqua-t-il.

Jarlaxle, qui se targait de pouvoir lire les individus en les regardant ne vit que sincérité dans les propos de son nouvel associé, malgré ses raisons... Assez étranges. Car même si le travail de l'organisation qu'il dirigeait concernait surtout l'assassinat... On ne pouvait pas dire qu'il y avait routine.

-Et bien parfais... Je te conduis dans tes quartiers ou préfères-tu commencer tout de suite?
-Je vais déjà prendre mes aises, répondit Varloth.

Zérar toussa encore un instant ainsi que le pauvre capitaine.

"Mais ou suis-je ?!"

Le tueur toujours déguisé regarda autours de lui.

"Ho merde …"

Mais que se passe t’il conte ?

Le demi élémentaire tourna un regard plein de mépris vers l’homme.

"Et dire que j’ai utilisé l’un de mes meilleur poison sur vous ! Rha j’enrage de ce gaspillage !"

"De … de qu…."

"Oui du poison un poison très virulent d’ailleurs … "

Que quoi ? Comment avez vous osé ! JE … Grrrr

"Les premiers symptôme sont des convulsions désagréables qui se déclenche dès que la personne est en colère, le cœur s’embale."

Que ARG !

"Puis le cœur bat tellement vite que la seul issue est …"

Ne Non …*boume*

"Le claquage musculaire … halala quel bon poison quand même."

Zérar porta alors son regard sur l’enfant qui l’avait appelé Ralkor …

"Qui est tu donc toi ?"

Cayn jeta un coup d’œil à Hildegarde et constata qu’elle s’était assommée.
Zerar et Cayn se retrouvaient donc seuls après la disparition brutale de Varloth.

-Moi ? Je suis Cayn. Et si vous le permettez, j’ai moi aussi une question. Où sommes nous ?

"Ha oui c’est vrais que vous aviez prit l’apparence d’un enfant … ça donne quand même un coté glauque.
Bon déjà me retirer se foutus maquillage."

Zérar entreprit donc de retirer son costume et de remettre ses vêtements d’origine, Cayn put largement remarquer les scarifications du demi élémentaire.

"Je pense que nous somme en Ombreterre, une zone extrêmement peut sur enfin à ce qu’on m’a dit …"

Le tueur regarda autours de lui, en noir et blanc à cause de sa vision, mais non pas parce que c’est un chien enfin … Oui on peut dire qu’il est Nyctalope par contre je vous déconseille de le traiter de salope.

*L’assassin gagne un niveau*
La petite voix se fit entendre un instant et tout redevint silencieux.

"Bon au moins j’aurait appris deux trois truc … par contre je ne sais pas du tout comment on vas se repérer ici … par hazard vous ne connaîtriez pas un sort qui permet de suivre les téléportation ?"

Je crains ne pas pouvoir vous aidé. Dans mon monde, les téléportation ne sont pas monnaie courante. Il faut bien 3h de préparation pour le pentacle. S’assurer qu’il n’y a pas d’erreur. Inscrire de nouveaux signes afin d’arriver à l’endroit souhaité. Donc, non. Impossible de savoir ou il est allé.

Cayn admira un instant les stalactites. Jamais il n’était allé sous terre et dans ses yeux enfantins miroitait le regard du touriste, état qui peut touché quiconque n’a pas vécu plus de 500 ans.

Heu, sinon, vous savez ou aller ?

Varloth venait de finir de s'installer dans ses quartiers. Confortables, élégants, mais simple. Il déplorait les fioritures inutiles garnissant d'ordinaire les chambre, et même les pièces des palais drows.

Sa chambre, elle, ne comportait rien d'inutile ou de tapageur, mais, l'agencement, et des choix judicieux apporté à la décoration rendait cette pièce vraiment luxueuse, même selon les standards drows.

On sentait en fait ici la "patte" de l'alchimiste qu'était Varloth.

En tout cas, aux yeux de Varloth, si la chambre ne rendait toujours pas grâce à ses yeux, au moins, elle lui paraissait familière. Il s'y sentait comme chez lui, ce qui était le principal.

Souriant, il sortit en prenant soin de ne pas verrouiller la porte. Pour se trouver peu après face à Jarlaxle, dans son bureau.

-Ah! Alors?
-Tout parfais.
-Bien bien bien! Commençons alors. J'ai ici... Il montra une personne, visiblement une prêtresse, assise en face de lui, Matrone Megala Ssri'Tessin, de la dixième maison...
Varloth eut un léger regard pour la prêtresse, s'assurant qu'elle ne l'avait pas identifié comme un fidèle de Vhaeraun, avant de se rappeler qu'il avait endossé le piwafwi "réglementaire" de Bregan d'Aerthe.
... Qui désire que nous nous occupions du cas d'une matrone d'une maison inférieur croyant bon de l'avoir insultée...

Et c'est parti, songea Varloth, se replongeant dans le bain des intrigues en tout genre et assassinats en cascade si familier aux siens... Ainsi qu'aux plans compliqués et savant si cher à Jarlaxle, et dont ils discuteraient sans aucun doute pendant les prochaines minutes... Voir heures...

HRP : pitit double post pour décoïncer nos deux boulets internationals geek

Alors que Zérar et Cayn comettaient l'erreur typique des nouveaux venu dans Ombre-terre, c'est à dire parler, à la périphérie de la vision de Zérar, plusieurs formes, furtives, bougèrent.

En réalité, dans les ombres, des assassins tentait de jeauger leurs proies.

Finalement, ils s'avancèrent jusqu'à devenir visible.

C'étaient des drows. Il y en avais une petites dizaines, sans doute une patrouille. Toutefois, chose curieuse, en tout cas pour Zérar, aucune prêtresse n'était présente, ce qui n'était pas en accord avec ce qu'il connaissait d'Ombre-Terre. Toutefois, il put reconaître un magicien.

Aucun des drows présent ne portaient d'armes. Du moins... On n'en voyais aucune. Sans nulle doute, au moindre geste menaçant, le monde exploserait en une tornade de fer et d'acier.

L'un d'eux, pris la parole dans un commun hésitant :

Que voyez vous ça. Des voyageurs... égarés en plein dans les tunnels.. non sécurisés d'Ombre-terre. Et des voyageurs de la surface. Il cracha se dernier mot comme si c'était une insulte.

Puis il ricana, avant d'ajouter :

j'ai une... proposition à vous faire : suivez nous sans.. faire d'histoire, et nous n'aurons pas... besoin de vous tuer... Ne vous... inquiétez pas : nous vous retrouverons vite... La civilisation. En tant qu'esclaves... Ou mercenaire... Nous verrons... Bien.

Qu'en dites-vous?

Cayn fronça les sourcils.

Vous êtes des drows ?

Question un peu stupide, mais Cayn n’arrivais pas à croire qu’il soit en face de … plein de drows ! Mentalement, il prit note de prendre dix minutes pour reprendre sa forme normale. A trop rester dans sa forme enfantine, il finirait par retomber totalement en enfance. Ce rendant ainsi vulnérable au vampire qui n’attendait que le moment opportun.
Mais pour le moment, il ne pouvais s’empêcher de poser des questions mélange de sa curiosité scientifique et de son esprit enfantin. C'est-à-dire, beaucoup de questions !

Je veux dire. Des vrais ? Pas à moitié. Et pourquoi vous voulez qu’on vienne avec vous ? Pour allez ou ? Pour voir qui ? Combien de temps ? Pour quoi faire ?

Zérar n’aimait pas du tout qu’on le rabaisse mais c’était également un assassin accompli et donc avait, avec difficulté, appris à passer outre … parfois.
Il jaugea les drow, plus nombreux et mieux préparé, il se demanda un instant si Cayn arrivait au moins à voire leurs ombres dans les ténèbres d’ombreterre.
Le demi élémentaire fi un pas en avant ne montrant aucun geste menaçant.

"Comme vous l’avez dit cher drow," *il utilisa la même intonation que l’elfe noir avait utilisé pour les designers* "Nous n’avons visiblement pas le choix et pour m’a part je suis loin d’avoir envies de finire dans l’estomac d’une des bestioles du coins …"

Il s’approcha donc des drows prêt à les suivre.

A"u fait ou allons nous ?"

Ah! je savais que nous avions... affaire à des individus... raisonnable.

Toutefois... Le drow montra ses compagnons : Vous n'êtes pas... encore en mesure de... poser des questions.

A son côté, le magicien fit une petite série de gestes énervés, et le lieutenant se pencha pour l'écouter.

Il acquiesça, et le mage se mis alors à décrire de discrets arabesques, puis, satisfait, se retira dans l'ombre. Le lieutenant repris son discours, cette fois dans un commun parfais, avec un léger accent imaskarien.

Bien. Je disais donc que vous n'êtes pas encore en mesure de poser des questions.

Je vous dirait seulement que vous êtes mieux tombé que la plupart... Si vous savez vous tenir, vous constaterez que les profits mutuels seront très satisfaisant.

Maintenant suivez nous. En silence. Votre destination vous apparaîtra en temps utiles.

Cayn reprit un peu ses esprits. Il devait absolument rester adulte pour pouvoir gérer les éventuels problèmes.

Je vous suis messieurs.

Zérar prit son mal en patience et suivit donc les drow sans un bruit, il le cacha sur ses traits mais il fut heureux de noter que certain membre du groupe d’elfe noir se déplacé plus bruyamment que lui, ou en tout cas il n’avait pas à rougire (hum …) de ses capacités furtives.

Le petit groupe marcha durant à peut prés 2 heures avant que les drows ne s’arrêtent, forçant leurs prisonniers à en faire de même.

_On est arrivé ?

Fit Cayn d’une voie tout à fais enfantine. Il se mordit la lèvre, jurant presque. Il devait toujours plus se concentrer pour ne pas perdre le contrôle. Il ne parlait déjà plus qu’avec une voix d’enfant et commençait à perdre de vue ses objectifs.

Le drow, en chef de file, déclara :

Pas... exactement.

Le magicien, toujours à ses côtés, n'avait par ailleurs pas cessé d'observer l'enfant, du moins physiquement, qu'étais Cayn. Il signa quelque chose au chef, qui acquiesça.

Le mage relança un sort conférant le don des langues sur le meneur, qui en profita pour dire :

Jusqu'à nouvel ordre, vous êtes nos prisonniers. Vous allez nous remettre toutes vos armes éventuelles, ainsi que vos protection : armures, bracelets... Et tout votre équipement. Vous n'allez garder vos guètres.
Vous allez garder les yeux baissé jusqu'à ce que l'on vous donne un ordre contraire.
Pas de gestes de brusques. Et ayez l'air abatu.

Le premier qui n'obéit pas mourra, s'il a de la chance, sans trop de souffrance. (l'auteur n'est pas responsable des clichés utilisés jusqu'ici par le personnage. Nulle doute qu'il va bientôt demander si le génasi est marié à une humaine, pour pouvoir la consoler si jamais c'est le cas. Nulle doute par ailleurs qu'il va ricaner.)
Mais bah, si vous mourrez... Vous avez peut-être une amante humaine qui vous attends à la surface? Je pourrais aller la voir... Pour la consoler... Le drow ricana. Et le mage drow, qui avait suivi la conversation, leva les yeux au ciel, visiblement blasé...

Bref, des drows armèrent leurs arbalètes en direction des prisonniers, tandis que d'autre s'approchèrent prudement d'eux. Le reste commençait déjà à revêtir des piwafwi différents de ceux qu'on aurait éventuellement put voir, dans le noir complet d'Ombre-Terre...

Zérar ne trouvait pas que la situation s’arrangé bien au contraire, il ne nota pas le cliché tout bonnement rasoir du drow et retira donc une dague de sa botte, une autre de sa manche, encore une à sa ceinture et enfin il déboucla sa ceinture ou été fixé ses chaînes, et dans un cliquetis métallique tous purent constater que les chaînes été enroulé tout autours du corps du demi élémentaire.
Il retira ensuite l’un de ses anneaux visible et fit bien attention de cacher son symbole sacrée de Loviathar, ainsi que le second anneau lui aussi frapper du symbole de la déesse.

*La laisse !*

Le génasi fit également tout ce qu’il put pour cacher cet artefact.
Il sortie d’un sac à sa ceinture une trousse à maquillage, ….. une petite orbe …
*Une heure plus tard*
Et un miroir en acier.

"Bon voilà vous avez tout …"

Le tueur n’était visiblement pas enchanté du tout mais il se doutait que les drow ne mentait pas quitte à ne pas être inovant.

Cayn lui, mit moins de temps à s'exécuter. Mais plus de mauvaise volonter.

-Vous avez pas le droit. J'le dirait à Charlotte d'abords !

Bientôt, il fût uniquement en caleçon et les drows purent voir son bras à l'allure grisatre et malsaine, bien plus musclé que l'autre bras.

-J'ai froid !

La tentative d'escamotage de l'anneau et du symbole religieux n'échappa aucunement aux drows qui surveillaient l'oppération.

L'un deux lança un ordre en drow, que ni Cayn, ni Zérar ne comprit.

Mais ce dernier put sentir quelque chose s'enfoncer dans son omoplate (le droit, mais on s'en fout). Rapidement Zérar ne put plus bouger du tout. Après quelque secondes, durant lesquelles le tireur du carreau, car s'en était bien un, s'assurait que tout "allait bien", fit face à Zérar. Il tenait en main une arbalète de poing déchargée, et un carreau à l'aspect... Peu engageant.

Il lui dit en commun : le prochain ne sera pas seulement paralysant... Puis il fouilla Zérar pour en retirer l'anneau et le symbole de Loviatar. Il confia les deux objets ensuite au mage. Puis, en drow, à un de ses compères :

Enlève lui le carreau et donne lui l'antidote. Nous avons déjà perdu assez de temps.

Cette fois, Zérar sentit qu'on lui ôtait le carreau, sans aucun ménagement. Puis on le força à ouvrir la bouche, et à avaler un liquide visqueux. Aussitôt, il put reprendre le contrôle de ses muscles. Les drows le tenaient toujours en joue, par prudence.

Si vous avez fini vos enfantillages, nous allons pouvoir y aller.

Le mage ainsi que quelques drows surveillèrent étroitement Cayn, tandis que le chef et les autre surveillèrent le génasi. Puis, les forçant à avancer (sans pouvoir éviter les caprices de Cayn...), ils entrèrent, quelques minutes plus tard, dans une caverne aux dimensions infiniement plus grande que celles des tunnels d'ombre terre... Ce fut quasiment une explosion de couleur pour tout ceux qui s'était habitué au noir complet. de partout, milles et un feu féerique, mauve, vert pâle, bleu foncé, bordeaux, soulignait les contours des palais et construction drows. Partout, des fresques, des sculptures, des palais taillés dans d'immense complexe de stalagmite et stalactite... Et au centre de tout ceci, l'immense pilier-horloge de la cité, Narbondel, un pique obscure au mileu de la lumière. D'ici quelques instant, l'archimage de la cité rallumerais le feu au pieds de narbondel, indiquant qu'une nouvelle journée commençait à la surface, et ici par conséquent...