[RP]Pépère, le rôle-play où l’on glande sévère.

Vous connaissez vous aussi ce sort ? C’est très intéressant.

Il sourit en voyant l’expression corporelle de Varloth.
Il marcha donc vers la porte et l’ouvrit. Il commença à la franchir mais s’arrêta.
Se retournant, il jeta un anneau noir à Varloth qui l’attrapa au vol.

Ceci est un anneau permettant d’être reconnue comme appartenant à la guilde de maître Wasthem. Si jamais vous changez d’avis et que nous faisant affaire, elle pourrait vous être utile. Je vous la donne. Donc ne la perdez pas. Cela risque d’être considéré comme une désertion et vous seriez alors maudit.
Il vaudrait mieux que vous la mettiez à votre doigt immédiatement. Juste au cas. Ces bagues sont parfois très susceptibles.

Cayn sortie alors de la chambre et fit un signe de la main droite ou l’on pouvait voir un anneau identique. Puis il se retourna pour refermer doucement la porte comme s’il voulait ne pas réveillez Sekhmet par un bruit trop brusque.

Quand Varloth regarda l’anneau, il remarqua que son nom s’y était inscrit en rouge

(HRP : Xen, si tu es contre l’idée, tu peux jeter l’anneau et on considère que ce qu’à dit Cayn n’était que du vent. Si l’idée t’intéresse, l’anneau t’est désormais lié et tu dois le mettre et éviter de le perdre sous peine d’une malédiction à déterminé. Ça pourras peut être joué plus tard dans le RP ou pour un autre. C’est toi qui vois.)

HRP : L'idée de la malédiction, j'aime pas... Et je préfère pas affilier mon personnage à quelque chose que lui même ne connais pas...
(d'autre part, pour les futurs RP j'ai déjà assez d'idées pour ce perso^^ mais merci de ta proposition!)
Edit : sur les conseil de Zok... J'ai édité mon message en conséquence^^

Varloth soupira, en jetant l'anneau. Il n'avait strictement rien à faire : de faire affaire avec l'humain, et il n'avais pas besoin d'anneau susceptible quand il avait déjà Sekhmet.

En revanche... L'objet pouvait intéresser Vhaeraun. Un objet magique, doué en plus d'une conscience limitée, voilà qui allait rûdement l'intéresser!

Varloth fit disparaître l'anneau en murmurant quelque chose.

Vhaeraun allait être content. En souriant, il se recoucha.

Les cris ne cessaient de raisonner dans la salle de torture du génasi, les corps des deux pauvres hommes était si mutilé que l’on aurait pus savoir si il s’agissait bien d’humain, et maintenant peut de chose les distingués même des femmes …(rhaaa je me dégoûte presque bon …)

"Bien … j’en ai fini avec vous … et non je ne vais pas vous achevez."

Zérar avait perçut une lueur d’espoir dans les yeux des captifs et l’avait éteinte avec son sourire carnassier.

"Vous mourrez dans quelques semaines d’une lente agonie très douloureuse et qui sais … peut être que je reviendrais de temps en temps …"

Sur ces mots le demi élémentaire sortit de la pièce et re monta dans ses appartements, la il jeta ses affaires qui puait le sang, elles atterrirent mollement dans un coin de la pièce et disparurent dans une trappe laissant le soin au serviteurs d’arranger cela.
Maintenant tors nue on constata l’ampleur des scarification de son corps si bien que ça peaux remplaçait maintenant une chemise de maille, il ne l’a portait plus que pour la forme mais il avait affaire avec quelqu’un de moins impressionnable par les armures magiques.
Il prit un bain rapide avec quelques sel parfument agréable dans le bain, presque indétectable en dehors.
Ressortant de l’eau il examina ses chaînes pendus au mur.

"Ha mes belles vous êtes presque à nue, je vais arranger ça."

Enfilant un nouveau pantalon il prit ses chaînes et commença à replacer de nouveaux barbillon sans jamais se blesser, non pas qu’il faisait attention mais sa peau était trop habituer à tout ceci depuis longtemps.
Il sortit une nouvelle tenue de ses placards dans le même style mais plus fine, avec quelques signe caché dans le tissus, sa tenue la plus enchanté, offrant des protections magiques importante et quelques atout supplémentaire, prenant ses objets magique les plus précieux ainsi qu’un certain nombres d’armes supplémentaire, il ne les exhibaient pourtant pas le rendant en fait à peine différent d’avant.
Il ne portait plus de chemise de maille montrerait tout ses talents maintenant … Il avait un petit compte à rendre à un certain drow mais surtout une fierté blessé à restauré face à une démone, elle voulait être dominé ? Elle le sera pour ses petits plaisirs …
Zérar réfléchie, comment cerner une personnalité si complexe ? Et comment ne pas y laisser des plumes ? Ce qui est sur c’est qu’un certain temps s’était déjà écoulé.

Cayn jugea qu’il parviendrait sûrement à faire des affaires avec le drow. Il suffisait d’être patient.
Il allait redescendre quand il vit une femme de chambre monter le escalier et examiner les restes de la chambre dévastée. Il allait continuer son chemin quand quel que chose chez elle le fit s’arrêter. Il s’arrêta donc et la regarda fouiller la chambre, soulever des débris. La jeune femme ne devait pas avoir plus de 16 ans. Et il emanait d’elle une aura particulière. Une faible aura magique.
L’esprit de Cayn fonctionna à tout allure et il prit finalement sa décision. S’il voulait devenir l’égal de son maître, il lui fallait des apprenties. Et il décida que cette jeune fille serait la première d’entre eux.
Quand celle-ci passa devant lui pour aller toquer à la porte de Varloth, il lui sourit et scella définitivement sa décision.

Le prêtre sirotait son hydromel sans guère se soucier de ce qui l'entourait. Il semblait calme et posé, et se délassait tranquillement.
Le tableau était cocasse : Imaginez un chevalier noir oisivement installé dans une auberge bondée, buvant une consommation au lieu d'étriper toute cette joyeuse marmaille.
L'aura sinistre qui l'entourait semblait même s'atténuer légèrement et les conversations semblaient reprendre bon train.

Soudain, il fut pris d'une quinte de toux. Celle ci lui fit recrâcher sa boisson qui avait pris une teinte légèrement rougeâtre alors qu'un rictus lui tordait le visage. Il exhala un râle inquiétant et rauque tandis que l'assemblée, atérée et ne sachant pas comment réagir se contentait de frémir de peur dans un silence pesant.

"Amaelith... *kof kof*... Ce n'est pas le *Kof* moment..." murmura Jer'len qui s'effondrait presque sur la table.

Comme en réponse à cette dernière phrase, la crise s'intensifia si bien qu'on pouvait se demander si le prêtre n'allait pas bientôt recracher ses boyaux. Certains visages se révulsèrent de terreur alors que le médaillon de l'homme commençait à scintiller de reflets pourpes et que ses yeux s'injectaient de sang.

"Maître..." marmonna t'il faiblement, de façon quasi inaudible.

Soudain, comme tranporté par une vigueur renouvelée, il se leva brusquement, la respiration saccadée, s'empara de son épée et attrapa un badaud à proximité immédiate en le soulevant par le col... L'aura qui émanait de lui avait alors pris une ampleur considérable et chacun aurait préféré se trouver dans les Limbes plutot que d'affronter l'ire du Templier Noir.

"Toi tu viens avec moi" annonça t'il froidement au paysan pétrifié de terreur.

Il s'élança alors vers la sortie de l'établissement et claqua ensuite la porte d'un coup sec, arrachant du même coup un de ses gonds...

Ceux qui avaient l'ouïe fine purent entendre (mais ce n'était pas si difficile que ça finalement, étant donné le silence de mort qui régnait dans la salle commune) un hennissement bestial et sourd, doublé d'un bruit de sabot semblable aux cendres qui crépitent dans l'âtre... et après une courte chevauchée, un vif brassage d'air faisant penser à des ailes de chauve-souris qui se déploient sèchement se fit entendre... Un cri de terreur se perdant dans le lointain... Et puis le silence complet.

Banni Nombre de messages : 158 Date d'inscription : 28/06/2006

Dans la vie, il y a 3 sortes de méchants : les brutes qui se complaisent à détruire tout ce qui bouge et qui manquent de prévoyance, les machiavéliques, selon eux, qui montent des plans dignes des plus grands stratèges et qui voient leurs efforts ruinés par le petit détail qu’ils n’ont jamais prévu… et ceux qui savent s’amuser, reconnaissables par le sourire qui illumine souvent leurs visages. Seldnaufein était de la dernière catégorie.
Suite au départ impromptu du Cyriciste, le Nécromant resta silencieux, mais doté de son sourire de méchant charismatique. D’un geste de la main, il empêcha la serveuse de débarrasser le verre du client. Puis, il sortit de sa besace une sorte de fiole métallique où il versa le contenu du verre. Il referma le récipient et le rangea dans sa cape puis, satisfait, il s’adossa confortablement pour réfléchir.
Tout d’abord, séparer le sang de l’alcool : facile, l’alcool s’évapore plus vite que le sang et les ferments sont isolables aussi. Ensuite, que faire de ce sang ? Un rituel pour contrôler ce guerrier ? Un objet de lien ? Pas compliqué mais… tellement ennuyeux, tellement classique… Non… quelque chose de plus amusant… Voyons… et pourquoi pas… ?

-Ca…. ça fera 5 pièces d’Argent. Fit la serveuse, hésitante, se demandant si la personne à qui elle s’adressait était plus fréquentable que le fou furieux de tout à l’heure qui était parti avec un client sous le bras.
-Plait-il ?
-L’hydromel… C’est 5 pièces d’Argent ! Insista-t-elle. Votre... ami n’a pas payé… et la famille réclame aussi 1 pièce d’Or… pour le client que… votre ami a emporté.
-J’ai horreur d’être interrompu quand je réfléchit à un plan machiavélique digne des conquérants du monde. Enfin…Il fit un geste de la main vers la serveuse, relativement discret :
-Cette consommation a déjà été réglée.
-Cette consommation a déjà été réglée. Répéta la serveuse, comme si elle remarquait tout juste le détail.
-Vous avez oublié de débarrasser le verre. Quelle sotte vous êtes !
-J’ai oublié de débarrasser le verre. Quelle sotte je suis !
-Vous êtes désolée, vous allez enlever ceci.
-Je suis désolée, je vais enlever ceci. Acheva-t-elle en s’exécutant.
-Et pour le dédommagement, vous direz ce que vous pensez à cette famille : ils n’ont qu’à le réclamer au ravisseur !
-Et pour le… déménagement, ne vous en faîtes pas, je m’en vais dire ce que je pense à cette famille : ils n’ont qu’à le recaler à la sœur ravie ! Fit-elle, déterminée, en partant

Seldnaufein regarda la fille partir d’un œil circonspect. Il comprenait pourquoi il fallait faire attention au choix des mots quand on domine les simplets de la campagne. Il est clair que la force… des armes, était nécessaire avec des individus qui ne comprendraient qu’un mot sur 8 d’une tractation diplomatique.

Dans le couloir, une jeune femme profita de la sortie de Cayn pour voir que l'occupant de la chambre était eveillé.
Varloth venait de se recoucher, mais il pu à peine savourer le contacte du matelat une petite seconde avant qu'un :
Toc toc toc!
Se fasse entendre.

Varloth soupira, et ne répondit pas, dans l'espoir que le quidam se découragerait!
Grave erreur!
Car c'était visiblement à quoi s'attendait ce, ou plutôt cette, quidam!

Une jeune fille entra en effet dans la chambre, les bras chargé de dras. Elle referma la porte du pieds, avant de se retourner dans un :
Service d'étage! Je viens pour changer le lit!

Varloth, qui en avait marre d'être dérangé, explosa :
Mais c'est pas possible!? Il n'y a donc pas moyen d'être tranquille? De dormir tranquille?
S'énervant, il poursuivit :
Avouez que vous l'avez fait exprès! Ce n'est pas possible autrement! Vous vous êtes donnés le mot!

Mais... Vous ne dormez pas, je peux changer le lit... ! Remarquant Sekhmet : Et de toute façon, vous pouvez toujours en changer! Mais moi, il faut que je le change ce lit...

Vous ne manquez pas de culot! Vous voyez bien qu'elle dort! Vous pouvez attendre non? Ca ne va pas être la fin du monde si vous ne le faites pas maintenant!
Par contre ça risque de l'être pour vous si vous insistez!

La serveuse sembla ignorer Varloth, ce qui l'énerva d'autant plus. Elle se dirigea vers le litrs, avec la ferme intention de le refaire, dormeuse ou non dedans!

Laissant la parole de côté, Varloth agit : Il saisit la serveuse par les épaules et la fit sortir de la chambre de force. Puis il lui claqua la porte au nez, laissant la serveuse surprise dans le couloir.

Ah, ça ne se passera pas comme ça! dit-elle.
Puis elle se dirigea vers les cuisines, furieuse, afin d'aller chercher du renfort!

HRP : comme je tient à finir le vaudeville avant mon départ en vacance, et que personne ne poste... Je double-poste, tant pis pour ceux qu'étaient pas là... Neutral

La jeune fille descendit dans les escalier, puis se dirigea vers la cuisine.

En bas, les clients de l'auberge purent entendre une voie féminine au fort tempérament s'écrier :

De quoi? Ah, ça ne va pas se passer comme ça!

Avant de voir une silouhette féminine à forte personnalité sortir en trombe de la cuisine, armée d'une grande poële, suivie de près par sa fille.

Un client : Eh ben... Elle rigole pas la Hildegarde! (hrp : je pouvais pas passer à côté^^)

-Ha! Elfe noir ou pas, je m'en vais m'occuper de lui! C'est pas des manières! vociféra-t-elle.

En haut, Varloth s'apprêta finalement à se recoucher, soupirant. Mais une soudaine cavalcade suivi de près par un coup de poële l'en dissuadèrent.

-AïïïHEUUUU! Il tomba sur son séant, sonné mais pas inconscient.

-Et alors, qu'est-ce que c'est que c'est manière d'hurler sur une pauvre jeune fille d'auberge hein, boudiou d'elfe noir à la mort-moi-l'noeud?!

De quoi?!

Bing! Un nouveau coup de poële, mais moins fort.

Comment ça de quoi?? Elle montra sa jeune fille, en (fausse) larmes. Et ça hein?

Et bien?

Bing!

Je vais vous remettre les idées en place moi!

hrp : si quelqu'un veux intervenir, qu'il se manifeste!^^ Pitié... ?

Cayn profita de l’agitation pour entrer à nouveau dans la pièce et s’approcher de la jeune fille qui sanglotait. Il lança un petit sort de détection qui lui permit de constater qu’elle était effectivement réceptive à la magie. Mais tout ne ce passa comme prévue. La jeune fille était TROP réceptive. Son subconscient tenta de s’opposer au sort et cela eu pour résultat de faire apparaître d’étranges arabesques mouvant sur le corps de la jeune fille.
Celle-ci cria et la matrone se retourna et cria à son tour quand elle vie sa fille. Aussitôt elle fusilla Cayn du regard puis s’approcha de lui, tenant sa poêle de façon clairement hostile.

Cayn recula et jeta un coup d’œil à Varloth en quête d’une éventuelle aide. Mais le drow semblait trop heureux de s’en tirer à si bon compte. Cayn l’interpella.

- Varloth, auriez vous l’obligeance de faire disparaître ces marques, je croit que votre sort n’as pas eu l’effet escompté.

-Quel sortilège?? Fit Varloth.

-Grr... Fit la matrone. Dans le doute... !

Bing!

Bong!

-Aouch! Au moins j'ai pas sonné creux! fit-il à Cayn.

-Faites quelque chose pour ma fille ou je vous en remets une tournée!

-Moi j'ai rien fait!

-Vous pouvez faire quelque chose?!

-Heu non, seul le lance...

-Vous! Là! Oui vous! Fit-elle à Cayn. C'est vous qui avez fait ça hein?? Arrangez moi ça et au trôt! Et d'abord pourquoi vous avez lancé un sort sur ma fille hein??

-C'est vrai ç...

-Vous la ferme!

-Oh.

-Snif, j'ai l'air horrible! Maman! fit la jeune fille.

La matrone fixa méchament Cayn. Où l'on constatait que parfois une matrone de taverne était plus menaçante qu'un dragon couvant son trésor...

Si l’y avait bien une catégorie de personne contre laquelle on était sans défense, c’était bien les matrones à poêle.
Tant bien que mal, Cayn bredouilla une excuse.

-Heu, c'est-à-dire que cet effet n’était pas comprit dans le sort. Hum. Je suis dans le regret de, Heu, vous informer que seul le temps pourra l’estomper. Aïe ! Ouch !

Cayn, essayant d’esquiver la poêle se cogna contre la porte avant de se prendre finalement l’objet de cuisine sur le crâne.

-Je vous jure que ce n’était qu’un affreux accident. De plus, j’ai une nouvelle afin de me faire pardonner. Votre fille est douée de magie. Et je me propose de la prendre comme assistante.
Je suis sur qu’elle se révélera extrêmement douée.

Cayn ne su pas comment prendre le regard de la matrone à sa poêle et sourit pour tenter d’appuyer sa proposition.

HRP: couleur #bb5555 (mère) Violet (fille) Ok?

-MA fille ?
Jeteuse de sort, tourneuse de table et autre faribole ??
Mais je vais me le ….
La groOosse Dame arma sa poêle pour infliger au prétentieux une correction digne d’un prétendant de petite condition ayant demandé la main de sa fille !

Pendant ce temps, la jeune fille ; qui comme toutes les jeunes filles de son âge étaient attirées irrésistiblement par les hommes « ténébreux » ; décida d'accrocher l'attention du Drow avec un grand sourire charmeur, profitant de la distraction de sa mère.
Car après tout, si toutes les légendes sur les Drows sont vraies, et bien un Drow s’en retrouve vachement ténébreux pour un Elfe.

Cayn se sentit vexé que l’on puisse comparer ses futurs apprentis à de vulgaires tourneurs de tables.

-Je n’ai nullement l’intention de faire de votre fille un charlatan. Mais bien une véritable magicienne. Capable de faire pleuvoir le feu ou maîtriser cette sombre branche qu’est la nécromancie. C’est avenir brillant que je lui promets. Vous pouvez me croire.

-Et en quoi une fille f’sant pleuvoir du feu et s’habillant en noir avec des p’tit crânes en guises de ceinture m’s’ra utile pour servir dans ma taverne ??
Demanda la cuisinière en posant ses poings sur sa taille.
Hein ? En quoi c’te va mettre utile ! Hein ?

Pendant ce temps la fille, ne voyant pas de réaction probante de l’Elfe, décida d’interpréter cela comme une manifestation voulue pour conserver sa ténébritude-attitude et de ce fait, c’était à elle de faire le premier pas.
Je m’appelle Charlotte. Je suis désolée si…

Ça s’annonçait mal partie. Cayn n’avait pas prévue devoir convaincre la mère d’abords. Il chercha d’imaginer différentes manières de lui présenter la chose. Puis son esprit très mercantile lui souffla ce qui lui apparue comme une bonne idée.

-Ecoutez. Quand votre fille aura acquis assez de connaissances, elle sera en mesure de vous envoyer suffisamment d’argent pour que vous n’ayez même plus à travailler. Si vous êtes toujours en vie d’ici là. Pensa t’il. De plus, je suis prêt à vous offrir une sorte de salaire compensatoire qui vous permettra de supporter le trou financier que risquerai de créer son absence. C’est honnête. De plus, si je puis me permettre, l’utilisation de noir et de crânes par certains confrères n’est qu’un pur effet de style vestimentaire. Que je déplore puisqu’ils entachent la profession de rumeurs plus idiotes les unes que les autres.

Invité

Autre part …
Dans une cité Drow se trouvaient sur une plate-forme 2 créatures, la première était un « humain » d’environ 3m habillé de manière simple mais élégante, tenant entre ses mains un bâton à sa taille, ce dernier était finement sculpté et diffusait une douce lumière rougeoyante, si on excepte sa taille, cet « humain » semblait être tout à fait normal, à un détail près : ses « yeux » était d’une noirceur absolue, c’est-à-dire, il n’avait pas de blanc d’œil.
L’autre protagoniste était une mère-matronne drow visiblement en colère :
Chien de mâle ! Pourquoi les avez vous tous massacré ? Même ma famille ?!
Son interlocuteur répliqua dans un grand sourire :
Face de charbon! Le pacte était très clair : je supprime toute personne risquant de se mettre en travers du chemin de votre maison, et tout traître à cette dernière… or, comme vous devriez le savoir, Un drow normal qui vie un tant soit peu longtemps trahira forcement un jour sa maison ou la maison régnante, dans cette optique j’ai été obligé par notre pacte de devoir tous les éliminer, même les membres de votre famille.
A quoi sert d’être matronne d’une maison sans occupant, dans une cités sans vie ?
Je ne le sais pas plus que vous, je n’ai fait qu’honorer ma part de notre marché !
Que les crocs de la reine araignée arrache votre cœur ! C’est bien la dernière fois que je fais affaire avec un diable !
Vous savez un Démon se serait dit que vous êtes aussi capable de trahir votre maison …
S’en n’était trop pour la mère matronne :
Veldriss! Tuez le !
8 Veldriss apparu du plan éthéré, prêt à « occire » le diable
Il est dommage que vous le preniez ainsi…
Alors que les Veldriss s’avancèrent pour attaquer « l’humain », ce dernier fit un grand bond en arrière et tomba par delà la plate-forme, pendant sa chute il prononça quelques mots et disparut.
Il s’est échappé ! Traquez le !
Encore autre part :
L’humain réapparu,
Bien ! Elles n’auront pas trop de problème à déterminer que je suis arrivé dans le plan des ombres, à partir d’ici je vais vers cette dimension alternatif…
Et de manière aléatoire ! elles ne seront jamais capable de déterminer où je suis réapparu
Il incanta de nouveau et re-disparu…

Pas si loin d’une fameuse auberge
Toujours le même « humain » réaparu environ 50 mètres audessus de l’auberge :
? Je tombe ? je dois être dans le plan élémentaire de l’air, hop d’une simple pensées..
il se rendit imédiatement compte qu’il n’était pas dans le plan élémentaire de l’air… Mais il était trop tard ! Instinctivement il se roula en boule autour de son bâton

*Cracclangpifspratch*
Il traversa dans un bruit suffisant pour faire sursauter un mort dans sa tombe, toit, grenier, chambre, et entrée, il se trouvait dans la cave ; se rendant compte qu’il devait être bêtement dans le plan matériel de cette dimension, il changea sa taille pour la mettre à un niveau plus raisonnable, une fois enfoncés dans la cave il se mit à jurer en infernal, ceci pendant 12 secondes le temps que sa régénération agisse

Bon, j'ai traversé une chambre et je suis dans une cave, à l'odeur du vomi et d'alcool que j'ai senti aux niveau de "l'entrée », sa doit être une auberge
Bon, un p’tit bond !
Hurgolias sauta depuis le petit cratère qu’il avait formé et atterrit dans la salle principal
Pour ce qui était pour beaucoup des personnes présente dans l’auberge comme le« truc qui avait fait un gros trou » se montra être un bel homme d’1m80 d’une vingtaine d’année, des cheveux aussi noir qu’un trou noir, des yeux noirceur absolu, il tenait un baton finement ouvragé dans un métal inconnu, et très étonnamment, il n’avait l’air d’avoir absolument pas avoir traversé plusieurs sol/plafond (en fonction du référentiel choisi), ses vêtements était d’apparence simple, mais très propre, comme si il venait juste de les laver.

Il chercha des yeux l'aubergiste, mais ne trouva rien de ce qui pouvait correpondre et s'adressa aux habitués:
Salutation! Auriez vous l'extrème obligeance de me dire où se trouve l'aubergiste?

Varloth ne prêta guère attention à la jeune fille, car il était encore un peu sonné.

Charlotte oui tant mieux ravi de vous connaître ecaetera ecaetera... répondit-il distraitement.

il se releva pour voir si Sekhmet dormait encore. Soupir de soulagement. C'était le cas. Pour le moment.

La jeune serveuse ne se laissa pas démonter, car ainsi l'elfe noir paraissait encore plus mystérieux.

Vous savez, je suis désolée...

Sa mère intervint : Dis donc toi! Tu t'excuses maintenant? C'est lui qui doit s'excuser!

*Cracclangpifspratch*

La chambre d'à côté, déjà dévastée, fut encore plus dévastée après qu'un diable l'ai traversée de part en part.

Quoi encore?!

Qu'avez vous fait?! On ne peux pas vous quitter des yeux cinq minutes! accusa-t-elle en se tournant vers Cayn.

-Je regrette mais cette fois ci, il va vous falloir trouver un autre coupable. Je n’ai pas le pouvoir de faire tomber des enclumes. Et réfléchissez à mon offre.

Puis Cayn s’approcha de la serveuse afin de faire plus ample connaissance et de lui faire part de ses propositions.

Avec du retard.

HUurrwwrnnn gniimgniignvrrrr.
Soupira Sekhmet en se retournant dans les draps et plaquant un oreiller sur sa tête pour ne plus être dérangée par le bruit ; Bien que le doux son d’un diable, discutant avec la gravité, l’avait quelque peu réveillée.

HIIIIIIiiiiiIIIIIIIIII.
La pucelle, d’après sa mère, se jeta, volontairement, au cou de Drow.
Avec ce genre d’attitude on comprends nettement qu’elle n’était plus aussi pure qu’elle le prétendait au repas de famille.

Sekhmet ouvrit les yeux et se révéla, hésitante, pour voir Varloth profiter de la vie, enfin de son point de vue à elle.
Et bien ? On ne s’ennui guère, ici.
Dit-elle la voix encore pâteuse.

Dans l'esprit de Varloth, des bribes de pensées circulèrent, à la voie de Sekhmet qu'il avait entendue dans son dos :

Sekhmet réveillée+jeune folle humaine au coup=danger.

En même temps, surpris, il projeta la fille dans les bras de Cayn, dans un Eho! Allez voir ailleurs!

Eho! Doucement là! menaca-t-elle Varloth.

Bing!

Et vous lachez là! fit-elle à Cayn.

Bong!

Invité

Les habitués indiquèrent l'escalier

Merci !

il commença a monté les escaliers jusqu'a qu'il arriva dans un couloir où se dénoué une tragi-comédie

Une grosse humaine, une jeune humaine, un ? dueliste humain ? et… un… DROW ?!

Ceux qui furent attentif au nouvel arrivant purent voir qu’une de ses mains s’était transformer l’espace d’une seconde en une patte écailleuse et griffu, avant de reprendre son apparence normal instantanément.

Rahh, se contrôler ! ce drow n’est pas encore au menu de ce soir, pour l’instant je ne suis qu’un simple humain qui a fait une légère chute

Hum, salutation à vous honorable membre de cette assemblé, excusé moi de vous interrompre mais auriez vous l’extrême obligeance de me dire où se trouve l’aubergiste ?

Essayant de tout faire pour contrôler correctement sa transaction, Cayn commença à chercher à voir en le réveil de Sekhmet une bonne ou une mauvaise nouvelle.
Que sa future disciple veuille absolument coucher avec le premier drow venu le laissait indifférent. Mais ce qui lui fallait pour le moment, c’était du temps d’écoute. Aussi il fallait qu’il attire son attention, d’y manière ou d’une autre. Et accessoirement, qu’il la détourne de Varloth. Et bien sur, qu’il se débarrasse de la matrone. Tout en souhaitant que la personne qui venait de traverser la chambre d’à coté soit morte. Car dans le cas contraire, tout portait àa croire que ce ne serait que d’autre ennuis.
Il lâcha donc la fille et profita de l’occasion pour lui parler enfin.

-Votre mère possède un sacré tempérament. J’espère que comme elle, vous ne voyez pas les marques qui parcourent votre peau comme un mauvais présage. Cela montre juste que vous possédez les talents indispensables pour devenir une puissante magicienne. Et je peux justement vous y aider. Tout mage a eu un jour un maître, un professeur qui lui à tout appris. Je peux faire la même chose pour vous. Dit il tout en se massant le coin le plus douloureux de son crâne meurtri.

Maman ! Il vient de l’avouer ! C’est lui qui m’a jeté ce sort !
Dit-elle plaintive en montrant du doigt Cayn

-Attends répondit la matronne de l’auberge. Mon mari, vous d’mandez mon p’tit gars : il est en bas.

Et bien, Varloth ? Mon cher petit VarrRRRrloth ....
Commença à grommeler la démone ex-déesse à l’encontre de ce qu’elle considérait comme son futur repas, si Vhaeraun n’intervenait pas.
Tu sembles bien… bien… occupé, tu veux peut-être des indications sur les pratiques sexuelles des humaines ?

En entendant les paroles de la jeune fille et de Sekhmet, Cayn sentie qu’il allait avoir du mal à parvenir à ses fins. Un allier n’aurait pas été de refus dans cette entreprise mais Cayn n’avait personne sur qui compter dans ce monde.
Il ne lui restait plus qu’à lui donner envie d’apprendre la magie …. Et aussi à trouver comment lui transmettre cette envie.

Varloth qui ne s'était pas encore totalement retourné, pensa : là, chuis dans la merde, et pas qu'un peu.

Certe il était vulgaire, mais ça pouvait se comprendre. Quand on est un drow, on est d'ordinnaire poli en toutes circonstances, mais c'était plus difficile quand on avait une démone qui vous reluquait avec un apétit certain, tandis qu'on étais menacé par une matronne armé d'une poële... Surtout quand cet appétit certain relevait plus du culinaire qu'autre chose.

Il tenta toujours l'humour, au cas où... Mais vu le ton et l'humeur de Sekhmet, il doutait fort que ça allait marcher....

M'intéresse pas, fit-il, avec toutes la conviction et l'honnêteté dont il pouvait faire preuve, par contre je dis pas non à une recette de cuisine...

Sinon... Bien dormi... ?

L'entendant la jeune fille changea de cible, et se pendant cette fois-ci au cou de Cayn, dans un : IIIIii!

Bizzarement, elle préféra soudain que le drow reste comme il était : mystérieux.

QUOI???! explosa la matronne?

Bing!

Détraqué!

Aïe!

Bing!

Cannibal!

Aïe!!

On dit simplement Elfe Noir, Madame.
Commenta Sekhmet, en se levant de son lit et se dirigeant, l'allure menaçante vers la jeune Charlotte.
Dit moi, greluche ? Tu as osé poser tes pattes sur MON Drow.

Et toi tu te tais, Iblith.
Ordonna-t-elle à Varloth alors qu'il continuait à se faire frapper à coup de poêle.
Ce sera bientôt ton tour.

Cayn voulu parler, mais il fut interrompu pas le cris de la jeune femme. Dans un mouvement réflexe, il tourna sur lui-même, éloignant du même coup Sekhmet du champ de vision de l’être humain qui s’accrochait plus fort à son cou.
Puis le cri cessa. Cayn en profita pour tendre sa main droite vers la démone.

-Aucune raison de s’énerver. Je contrôle la situation. Varloth n’as plus rien à craindre d’elle. Puis, dans l’intention de se faire bien voir de la jeune humaine un poile pesante il ajouta. Et il n’est nul besoin de la traiter de greluche. D’autant plus que son geste était tout à fait innocent.

Invité

Ah ? merci…

Ces ptits saligauds m’ont menti ?

Il n’avait guère fait attention à ses autres sens autre que la vue, depuis ce changement planaire, quand soudainement son sang se mit à bouillonner, il eu une furieuse envie de massacrer, de toute les méthodes possibles les êtres vivants se trouvant sur un rayon de 500 mètres

Calme ! Ce genre de sensation ne peut montrer qu’une seul chose : un démon se trouve à porter de lecture télépathique

Note : il met « ON » sa lecture télépathique sur tout les êtres vivants distant de moins de 30 m, en sachant que cela ne le gène nullement et qu’il filtre automatiquement tout ce qui ne pourrai pas être dans des pensées de démon

Bon, je vais d’abord voir l’aubergiste
Il redescendit les marches, donna un violent coup de bâton aux deux rigolo qui lui avait menti, Et donna un violent coup de poing sur le bar en hurlant:
« Aubergiste ! »

Ce dernier était en train de mesurer l’ampleur des dégâts quand il fut réveillé par le cri du nouveau venu

Heu ? Que puis-je pour vous ?

Je suis plus ou moins responsable de ce… ces trou.

Il sortit d’une poche une poignée de pièce

Voici 5 pièces d’or pur pour vous remboursez, je sais que c’est bien plus que nécessaire, mais j’aurais aussi besoin de quelque information

Et il dit en murmurant, de manière a n’être entendu que par le tavernier

Que les oreilles indiscrètes n’ont pas à entendre…

Sur sont lit Zérar réfléchit au moyen de ne plus ressentire cette blessure dans son orgueil, le génasi se redressa d’un coup.

"Attend je me casse la tête parce qu’un crétin de drow m’a dit coucouche panier ?! rhhhaaaa je vieillit le dernier qui m’a dit ça est mort, bon j’ai eu des problèmes avec une drow bizarre qui avait un immense chapeau mais au moins j’avais pas obéi …
Bon réfléchissons …. Sekhmet … j’ai du la vexer et quand on vexe une dame on luis offre un cadeau pour se faire pardonner … une boite de chocolat ? Du tabac ? Un …"

Le demi élémentaire ne dit plus rien et sortit en trombe, réactivant ses pièges d’un geste négligeable et se dirigea vers la boutique du vielle Aristide …
(j’étend le retours de Faustus car c’est un pnj à lui ^^)
Après des pourparlers et un échange de pièce d’or Zérar retourna chez lui, la pierre de téléportation ne marchant qu’ici, il se retéléporta donc dans le couloire de l’auberge.
Il entendit de suite une discutions animé qui venait d’une chambre non loin, ne voulant pas se faire voir il passa dans la chambre à coté et chuta un instant.

*Whoputain !*

Avant de se rattraper in extrémisme à un ultime bout de parqué encore intacte.

*Mais il s’est passé quoi ici ?*

Le demi élémentaire lança Agonie sur le bord de la fenêtre et s’en aida pour progresser vers celle-ci.
Pendant se temps la discutions allait bon train quand finalement il se retrouva sur le toit.
S’approchant de la chambre ou le pire resté à venir le génasi sortit la tête et regarda ce qu’il se passait.

*Moi qui croyais avoir tout vue …*

Zérar ne vit plus de raison d’être discret et descendit avec souplesse sur le balcon.

"Je m’absente un instant et voilà comment je vous retrouve …"

Le génasi était mi-amusé, mi-interloqué.

Zèrar ! Tu tombes bien ! J’avais à peine de dos tourné que ce… avec cette …

Sa voix se mua subitement pour se calmer, la déesse reprenait le pas sur le félin.

Bien, Cayn, je te laisse cette jeune demoiselle « innocente » pas tant que ça… Sa peau sent encore la sueur d’un jeune homme en bas.
Aaa, l’odorat félin.
Et aussi le foin et la … relation sexuelle.

La jeune fille passa au rouge pivoine

Et la mère au rouge furibond. QUOi ? Quoi ? quoi ?

Quand à toi, Varloth
dit-elle en s’approchant de celui-ci. Subitement son odorat rencontra un effluve qui lui était fort connu.
Pensée : formule chimique incompréhensible pour des êtres ne fréquentant pas des « Mondes de Loi »

VRrrr ? VrrrrrrrRRR ? Herrrrrbe à chat …
Elle commença à renifler de toute part Varloth comme un chat qui renifle le cadavre d’un jeune oisillon fraîchement tombé du nid et vraiment appétissant.[/i]