[RP]Pépère, le rôle-play où l’on glande sévère.

Cayn était un peu déçus que Charlotte donne plus d’importances au mariage avec un inconnu qu’à la magie. Mais il ne pouvait pas vraiment l’en blâmer.

-Des que possible. Je te le promets. Et si c’est vraiment ce que tu veux. Mais je ne voudrais surtout pas te forcer. Le fait de devenir mon élève t’assure de ne plus mener une existence de femme de ménage.

L'idée de se marier ne dérangeait pas spécialement Cayn. Il aurait juste préférer une façon moins radicale d'être sur que Charlotte reste avec lui.

En Ville

Sekhmet savait à présent la direction que le gamin avait prise : la sortie sud de la ville.
Certes, il avait pu s’arrêter avant, mais elle l’imaginait mal faire des emplettes en ville, alors qu’il avait sur son dos une 10 aines de personnes, entre autres : 2 génasis, 1drow1/2, une démone, un elfe louche, un nabot explosif et 3 ou 4 humains pas nets.

Un sourire et une œillade, aux gardiens des portes, plus tard, la démone se retrouvait dehors avec la direction qu’avait prise l’elfe roussit comme elle l’avait désignée aux portes. Décidément, il n’était pas très discret.
Elle remonta donc la trace, enfin, le chemin pour ce coup-ci, espérant qu’il n’avait pas coupé aux travers des bois qui s’étendait de part et d’autre de la route.

Tous se passa alors très rapidement.
Un hurlement, un drow qui déboule des fourrées en courant pour traverser la route et rentrer dans d’autres fourrées, ceux d’en face.
Et, d’autres cris, plus nombreux et hargneux, ainsi que des paysans, armées de fourches et de flambeaux, on ne changent pas une équipe qui gagne, qui sortirent eux aussi des fourrées et traversèrent la route pour rentrer dans les bois d’en face.

Bon. A défaut de traverser les bois, il a traversé la route. Soupira Sekhmet, à peine surprise.


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Dans l'auberge

Votre élève ? Mais je n’ai jamais dit que je voulais devenir votre élève !
Dit-en bougonnant.
Et puis, on est l’élève d’un vieux sage pas d’un jeunot dans votre genre… Enfin … sans vouloir vous vexer.

-Oh. Et que comptes tu faire une fois que tu sera devenue ma femme ? T’occuper de nos enfants et faire le ménage. Quand a l’âge. Sache qu’il importe peu dans la magie. Surtout dans la nécromancie. Mon esprit est plus vieux que mon corps.

Il fallait absolument que Cayn trouve le moyen de faire changer Charlotte d’avis.

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Yazston cru voir Sekhmet sur la route. Mais comme il était pressé, il n’en était pas sur.
Continuant de courir, il esquiva une branche basse. S’il continuait comme ça, il finirait bien par les semer. Mais il fallait admettre qu’ils couraient vite pour des humains.
Ils arriva sur une zone déboisée et pila net. Devant lui se massait une vingtaine de fermiers aussi armée et furieux que le groupe le poursuivant. En fait le groupe chargé de fouiller cette zone ci de la forêt.
Allertés par les cris de leurs camarades arrivant, ils commencèrent à engager Yazston qui fit demis tour, fonçant contre ses anciens poursuivants.
Il profita de leur surprise pour passer entre leurs rangs. Zigzaguant, sautant par-dessus les têtes, feintant esquivant. Finalement, il parvint à échapper au dernier de ses opposants et reprit sa course, désormais coursé par une cinquantaine de paysans en colère
Après quelques instants, il se retrouva à nouveau sur la route.

En forêt

Sur la route où, une Sekhmet attendait un peu perplexe :
A ce que je vois, petit, tu t’es fais un tas de nouveaux amis, hum ?
Demanda patiement la Démone.

A combien estimes-tu la valeur de ta vie? De combien d’années es-tu prêt à t’endetter ?

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Dans l'auberge

Un rictus de dégoût s’afficha sur ses lèvres et hésitante elle questionna :

Vous êtes un… vieux? Erk! Mais la nécromancie? C'est quoi au juste? J'espére que c'est pas un machin avec des trucs pas vivants!!

-La nécromancie ne recouvre pas que les machins pas vivants. Et de toute façon, en ce qui me concerne, je n’utilise pas la nécromancie pour lever une armée de morts vivants. Mais comme support à des recherches d’hybridation. Et quand à mon âge. Il vaut mieux que tu laisses tomber. Est-ce que j’ai l’air vieux ?

Cette petite était presque vexante dans ses questions. La marque d’un grand trait de caractère sûrement. Ce qui conforta Cayn dans son choix.

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Dans la forêt.
La femme de tout à l’heure était bien Sekhmet. En chaire et en os. Du moins à ce qu’il en savait.

-Je ne sais pas. Est-ce que vous croyez que dans 5 ans je les aurais semé ?

En forêt.

Avec ce que je vais faire pour t’enfoncer dans les ennuis, non.

HIIIIIIIiiiiii UN DROW ! UN DROW !
Fit Sekhmet en imitant une jeune fille innocente se promenant dans les bois, comme toute jeune fille inconsciente et affolée.

C’EST UN ELFE NOIR ! UN ASSASSIN DE L’UNDERDARK ! HIIIIIiiiii !

Reprenant une voix normale et posée :
J’espère pour toi que tu cours vite ?

HHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

Elle enfila le torque qui lui donna l’apparence de la dernière jeune fille qu’elle pu observer de près, entre autre d’une certaine Charlotte, juste à temps car les paysans déboulaient sur la route.

Sekhmet/Charlotte regarda apeurée le Drow et, dans un acte théâtrale, elle posa son poignet sur le front, elle feint l’évanouissement en prenant soin de tomber de telle façon qu’elle ne pouvait se blesser, laissant le pauvre Yaszton a ses nouveaux ennuis.

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Dans l'auberge

Elle tendit un doigt accusateur vers Cayn :
Alors c’est bien le truc avec les morts, la Nécromachin ! ERk Erk Erk ! Nan ! Je ne veux pas apprendre ça !

Elle se leva comme affolé par un gros rat, gros rat au doux nom de Nécro… machin !

Yazston n’arrivait à en croire ses yeux. Il ne s’attendait pas à être aidé. Mais pas à être enfoncé. Il avait espérer semer quelque uns des paysans qui seraient parties sur une fausse piste au cas ou. Mais c’était exclu désormais.

Il mit son pied sur la tête de Sekhmet et sortie son poignard.

-Pas un pas de plus où je la tue.

Tous les paysans s’arrêtèrent et Yazston sourit. Peu être avait il une chance.

-Merci « mademoiselle » chuchota t’il.


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Dans l'hotêl

-Tu vas te calmer oui ? Est-ce que j’ai dit que je m’intéressais aux morts ? J’ai parlé d’une branche de la nécromancie. Pas de fabriquer des zombies ou des goules. C’est machins sont trop stupides.
Cependant, j’aimerai te poser une question. Qu’espère tu devenir en me suivant et en m’épousant ?

En forêt.

La main que les paysans ne voyaient pas signa : #t’es un malin, toi# en langue gestuelle des Drows

Sekhmet n’avait pas prévu que ce jeune Drow qui avait l’air si pataud, fasse cela.
Venant de Seldnaufein, cet acte aurait été naturel, quand on connaît la personne qui l’a élevé. Venant de Varloth, cet acte aurait été étonnant. Mais, venant de ce gamin, cet acte était tout bonnement surréaliste.

Elle l’adorait et en était presque à ouvrir son fan club, du moins dés qu’elle ne serait plus évanouie, même si elle faisait semblant.


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Dans l'auberge.

Vous épousez ?? Ho non non non !!!
Vous êtes un romancien !

Charlotte était une jeune fille de village, sans prétention, ni éducation autre que celle nécessaire. Elle savait cuisinier, coudre et différencier une bière naine d’une bière humaine, ce qui n’était pas donné à tout le monde. Par contre, différencier un nécromancien d’un romancien… qui devrait être d’ailleurs un romancier… ça elle ne savait pas le faire.

Yezston remarqua les signes de Sekhmet et renonça à appuyer plus fort du pied.
Il s’adressa à la foule devant lui et qui commençait une manœuvre d’encerclement.

-Vous feriez mieux de vous montrer coopératif. Sinon il y a des parents qui ne reverront plus jamais le visage de leur jolie petite fille.

Le drow leur adressa le sourire le plus sadique qu’il avait en magasin.

-Alors vous allez tous laisser tomber vos armes, vous retourner et courir très loin. Vous avez vingt secondes pour vous exécuter.

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Cayn sentie la moutarde lui chatoyer le nez.

-Je ne suis PAS un nécromancien. Ne me compare pas à mon ancien maître. Bon écoute ce que je te propose. Deviens mon apprentie et dans un premier temps, je t’apprendrai à lire et à écrire. Ainsi qu’une solide base en culture générale. A moins que tu ne préfère croupir dans cet hôtel jusqu’à épousé un quelconque garçon de ferme, à t’occuper de son repas et des vos enfants. Après tout, je ne te force pas à me suivre.

Dans la forêt.

Hum, La démone jugea que l’affaire était trop simple et qu’il fallait passer à la vitesse supérieure.
Sekhmet/Charlotte, allongée sur le sol, ouvrit brusquement les yeux, un regard empreint de malice.
Elle encercla aussitôt, de ses petits bras, la jambe du Drow dont le pied était posé sur elle et le fit basculer en même temps qu’elle se roulait sur elle-même.

Les paysans se ruèrent aussitôt sur le vil assaillant en force numérique supérieur (- ??) en beuglant : PENDONS LE !

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Dans l'auberge

Vous n’arrêtez pas de parler de N-E-C-R-O-M-E-N-C-I-E
Hurla-t-elle à son tour en prononçant à l’excès le dernier mot.

Et vous m’avez proposé de me l’apprendre ! Vous êtes un ROMANCIEN !
Insista-t-elle dans son ignorance en martelant d'un oreiller la tête du magicien.

Sortez! Sortez! Sortez! Sale ROMANCIEN!

Yazston tomba par terre et entendit très distinctement.

-QU’ON LE PENDE !

Et jugea la situation dangereuse. Sekhmet tenait son pied et il était prés à parier qu’il n’aurait pas la force de la faire lâcher.
Menaçant toujours la « gamine » de son poignard il hurla.

-Très bien. Ainsi, nous mourrons tous.

Et Yazston commença à prononcer des phrases sans queue ni tête en langage drow et faisant de grands signes dans les airs. Le tout avec une voix guttural à souhait. (Je laisse la réaction des paysans à tes soins.)


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Cayn arracha l’oreiller des mains de la jeune fille et lui en asséna un violent coup sur la tête.

-Suffit.

Dans la main droite, une petite boule de feu apparu.

-Auriez vous l’obligeance de vous calmer mademoiselle ? Voila ce que nous allons faire. Je vous propose de devenir mon apprentie. En échange de quoi, je jure de vous apprendre tout ce que je sais. C'est-à-dire que durant les vingt prochaines années, vous serez sous mon autorité. Après ces vingt ans, vous serez libre d’usez de ce que vous aurez appris comme vous l’entendez. Et je ne parle pas de faire de vous une nécromancienne. Mais une vraie magicienne. Avec tout le prestige et la liberté d’action que cela implique. C'est-à-dire usage de sorts de bataille, fabrication de potions et objets magiques, plus quelques autres petits choses. Maintenant, je vous demande de répondre à cette proposition par un oui ou un non. En cas de refus, je ne vous referai jamais cette proposition de votre vie.

Cayn la regarda avec serieux. Essayant de lui faire comprendre qu’elle jouait son avenir.
Puis il lui demanda avec calme.

-Que décidez vous ?

Tous dessus avant qu’il finisse ses trucs bizarres !
OUAiis !

Une loi Pratchienne dit que : Le QI d’une populace est égale au QI de l’élément le plus crétin divisé par le nombre de participants.
Cette loi s’avéra exacte car tous les paysans sautèrent en masse sur le Drow se bloquant entre eux et se blessant mutuellement de leur fourche.

Sekhmet en profita pour s’éclipser à coup de grandes flammes avec le jeune Drow, rôtissant quelques gaillards de la campagne au passage.
Ils réapparurent dans une chambre, bien rangée, signature évidente du passage d’un certain Cyriciste, couchés au sol, l’un sur l’autre, ou, plus exactement la Démone sur le Drow.
Celle-ci lui faisant remarquer qu’il était sexy les vêtements brûlées, le tout accompagné d’un sourire digne d’une prêtresse de Shar’ess en manque et qu’il faudrait aussi éteindre le début d’incendie qui se déclarait dans la chambre…

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Dans l'auberge

Charlotte déglutie bruyamment. Elle venait de se rendre compte qu’elle était seule en compagnie d’un être des plus douteux. Seule, dans une annexe de l’auberge qui servait de résidence aux propriétaires. Seule, dans un endroit peu fréquenté…
Elle déglutie à nouveau.

-Désolé, mais je ne peux rien faire. Vous êtes en train de m’écraser et je crains mettre trop de temps à me dégager d’une tel masse pour éteindre quoi que ce soit.

Yazston n’était pas fâché d’avoir échappé à la masse humaine. Même si celle à qui il devait la vie avait presque faillit le faire tuer.

-Vous savez que j’aurais pu m’en sortir tout seul ?

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Cayn eut un petit sourire malgré lui. Cette gamine commençait à comprendre qu’il n’était prudent de se jeter sur le premier inconnu venu. En fin de compte, elle avait eu de la chance de tomber sur lui. Elle aurait pu s’enticher follement de Varloth ou, pire, de Seldnaufein.
Cependant il fallait qu’elle prenne sa décision. S’il elle refusait de le suivre pour la seule raison qu’il était un « romencien » alors elle n’en valait pas le coup. Et puis il pourrait toujours se venger plus tard.

Il s’écarta d’elle. Lui laissant même la possibilité de s’enfuir. La regardant le plus humainement possible, il attendit sa réponse.

Dans l'auberge

Une telle masse ?
Tu me traites de grosse ?
SBAF ! (violente giffle)

S’il y avait bien un sujet qui pouvait fâcher une femme, c’était son âge et son poids.
Chez Sekhmet, c’était surtout son poids. Pour son âge, tout le monde visait une dizaine de siècle en dessous.

Mais son poids… Face aux petits elfes toutes fluets, elle se sentait grosse, bien que ses rondeurs étaient aux bons endroits et qu'elle avait la taille fine. A vrai dire, avec son physique, Sekhmet pouvait se livrer à du harcèlement sexuel rien qu’en restant tranquillement assise dans la pièce voisine.
Mais malgré tout cela Sekhmet se sentait grosse et sentait, aussi, en elle bouillir son sang alors qu’elle se relevait.

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Dans l'auberge

La différence notable entre un aventurier et une personne normale tient dans la taille de la vessie et les muscles qui la maintienne fermée.
On n’a jamais vu un aventurier se pisser dessus ou faire des poses pipi tandis qu’il voyageait vers de nouvelles et héroïques aventures mais les gens normaux…

Charlotte détalla en hurlant : JE DOIS FAIRE PIPI !
Une trop forte angoisse menait souvent à ce genre de désagrément.

Yazston se releva lui aussi en se massant la joue meurtri. Il eu été plus prudent de s’excuser ou tout du moins de se faire pardonner. Mais le drow ne pouvait pas se le permettre. Son honneur de drow renégat était en jeu. De plus, elle l’avait humilié en le sauvant d’une situation critique qu’elle avait elle-même provoquée. Enfin la partie final tout du moins.
De plus, il n’y avait aucun déshonneur à mourir des mains d’une démone.

-Vous croyez que c’est parce que vous avez une poitrine plus importante que la moyenne que ça vous donne le droit de m’étouffer avec ?

C’est pas comme ça que tu va sauvé ta peau l’avertie une partie de son cerveau.

-J’ai rien trouvé de mieux. Pensa t’il.

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Cayn soupira.

-Il suffisait de dire non. Dit il dans le vide.

Un peu dépité, il s’assit sur le lit puis s’y allongea finalement. C’était vraiment dommage.

Elle se tu, serrant ses poings jusqu’au sang en éteignant du plat du pied les flammèches qui léchaient le plancher. Sekhmet reprenait de la distance avec les événements.

-Tu me dois deux vies, l’une quand je t’ai sauvé de l’explosion de la demeure, l’autre pour t’avoir transporté jusqu’ici. Tu me dois donc deux vies, débrouille toi pour me les rembourser.

D’un léger coup de pied, elle tourna le fauteuil vers les flammes pour s’y installer.
Une longue pipe droite se forma dans sa main gauche, un Kiseru, et elle l’alluma nonchalamment du bout d’un doigt

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Charlotte traversa la cours en courant pour atteindre la cabane au fond du jardin où elle s'y soulagea.

-J’aurais du lui écraser la tête songea t’il.

Que pouvait il faire ? Rien. Et il détestait ce sentiment.

-Je ne sais pas. Vous pouvez toujours proposer quelque chose, et je verrai si c’est dans mes moyens.

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Très vite Cayn se redressa. Il ne pouvait pas abandonner aussi facilement. Cette fille avait du talent. Il été hors de question qu’il la laisse à un vulgaire prêtre de passage.
De plus, elle ne lui avait pas répondue.

Il sortie donc de la chambre et attendit son retour.

Auberge, chambre du Cyriciste.

Je n’en ai rien à faire. Autant de ta vie que de ta dette.

Un proverbe dit qui sème le vent récolte la tempête, chez Sekhmet ce proverbe donnait : qui brandit la lance, se retrouve avec une ogive nucléaire sur le coin de la tête.
Et ce Drow avait vexé la Démone et celle-ci allait lui rendre.

Mais espère seulement que ton remboursement sera suffisant pour me satisfaire, Sale petit mâle inférieur.

Oui, elle allait le lui rendre, en lui rappelant le goût exquis de la domination féminine que les matrones Drow exercées sur les mâles.

Allez, hors de ma vue, Iblith. (Cf drow : une merde)

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La porte de la cabane au fond du jardin (qui est un charmant petit coin, en passant) s’ouvrit doucement. Une tête blonde dépassa par l’interstice, elle regarda à droite, puis à gauche. Charlotte sorti, s’avançant prudemment hors de la cabane (au fond du jardin où l’on y va quant on a besoin)
A pas de loup, elle prit la direction de la cuisine, traversant la cours en diagonale.

Yazston serra le poing. Etait ce cela son avenir. Devenir le perpétuel sujet de moquerie d’une démone ? Il n’en était pas question.

–Qu’espériez vous en me sauvant ? Avoir un gentil animal de compagnie ? Je préfère m’en remettre aux dieux.

L’instant d’après, il se mit à courir vers la fenêtre et sauta, percutant la vitre qui vola en éclat.

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Pendant ce temps, Cayn essaya de savoir si une tentative de fuite pouvait être compté comme un refus. Pour ce faire, il se calla confortablement contre la porte de la chambre

-Tu payeras ta dette en temps et en heure, même les dieux te la rappelleront
Elle ne bougea pas d’un pouce, fumant et se disant qu’il était temps qu’elle change d’auberge car celle-ci devenait une ruine.

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HRP Je mets le rp de Charlotte demain.

Sekhmet aurait pu être surprise par la brusque apparition du nécromant et sursauter en envoyant tout balader et lâcher sa pipe et pousser des hauts cris mais, d’abord, elle n’était pas une pucelle paysanne effarouchée, ensuite, pas une pucelle non plus, et, ici, avec cette bande de thaumaturges exhibitionnistes jouant les « coucou, la voila, ma grosse magie » en ouvrant tout grand leurs capes de sorciers, ce genre d’apparition engendrait plus de fatigue mentale que de réelle surprise.
-Ah ? Seldnaufein. Tu t’y connais en magie de guérison, non ?

-Bien sur. Es tu blessée ?
Bien tiens, elle, blessée, réclamant de l’aide à un spécialiste en pactes démoniaques. Elle avait certes des goûts exotiques, mais le masochisme de l’endettement sur 100 ans n’en faisait sûrement pas partie.

-Non. Je suis en parfaite santé. C’est pour un Drow écrasé en bas et qui aurait besoin de soins.

-Varloth est revenu ? Demanda le demi-Drow, comme si le retour du jeune assassin en piteux état était d’une logique implacable, écrite. Vous avez fêté ça ou quoi ?

-Crois-tu vraiment que je t’appellerai pour soigner Varloth ? Je préfère nettement le voir souffrir, et puis, je le soignerai moi-même. Fit-elle d’une voix décontractée, soufflant tranquillement sa fumée issue d’un mélange qui n’était pas constitué que de tabac. La fumée, comme Sekhmet le disait souvent, était comme les boissons : les cocktails sont toujours meilleurs que l’alcool seul.

Seldnaufein releva un sourcil suspicieux :
-Depuis quand sais-tu soigner, toi ?

-Justement. Elle eut un sourire qui voulait tout dire, enfin, tout dire, c’est une expression, un sourire ne veut pas tout dire, en réalité, il exprime juste un sous-entendu, une intention… Enfin, nous ne sommes pas là pour parler rhétorique.
Non, c’est pour un Drow qu’on a sauvé d’une explosion provoquée par un Génasi jongleur de Gnome mais, c’est une longue histoire. Fit-elle avant de se plonger dans son tabac à la culture interdite.

-Je savais que ce Génasi était bizarre et dangereux. Et où est mon patient ?

-C’était un autre Génasi. En bas, tu le verras par la fenêtre. A propos de fenêtre, tu ne trouves pas qu’il y a de plus en plus de courants d’air, dans cette auberge ?

-Il y en a plusieurs ? Ca vit en bande ? J’avais raison de dire que c’était du bas de gamme, ici. Qui a détruit cette fenêtre ?

-Il n’y en a que deux… pour l’instant. Et bien, les fenêtres sont très rares dans l’Underdark, répondit-elle presque blasée, de ce fait, les Drows les confondent avec les portes. Des fenêtres, dans des grottes, ça a du mal à révéler leur utilité. J’ai déjà eu le même problème avec Varloth, c’est comme cela qu’il s’est cassé la cheville… Elle huma l’air. Hummm ! Ca sent bon ce que tu tiens. Le regard qu’elle lança était typique des félins. Celui qui était expert dans le langage visuel des chats pouvait comprendre : « montre ce que c’est. Si ça m’intéresse, je le prends parce que je suis le plus fort. », celui qui ne comprenait pas était en réel danger.

Heureusement pour lui, Seldnaufein avait suffisamment côtoyé la Féline pour savoir ce qu’elle voulait. D’un geste qui ne manquait pas d’élégance (un maléfique doit toujours être charismatique, règle de survie numéro 1), il dévoila le grand plat plein de délicieux beignets et leur pot de sauce :
-Alors, ici, nous avons les beignets de lotte, ici, ceux de saumon, ici, les beignets de pinces de crabes, là, ceux aux crevettes, et là, les beignets de morue légèrement épicés.
J’espère que ça te plaira. Acheva-t-il avec un grand sourire.

Si faire rire certaines femmes était un bon début dans la séduction, nourrir une femme-chat, c’était la faire jouir. Après avoir poussé un soupir de plaisir, elle fit une petite moue et dit :
-Non, je ne peux pas en manger : il parait que je suis grosse.

Seldnaufein faillit en lâcher son plat, ce qui aurait été, aux yeux de Sekhmet, un crime lèse-majesté, un motif de rupture des relations diplomatiques, une déclaration de guerre, bref, on peut jouer avec la nourriture, mais surtout pas la jeter par terre… surtout si ce sont des beignets de poissons.
-Quel est le croisement réussit entre un consanguin et une taupe astigmate qui est l’auteur d’une pareille ineptie ?

-Le Drow en bas.

-Tu l’as balancé par la fenêtre, c’est ça ?

-Non, ce n’est pas ça. Il a préféré se jeter que de me parler. Je dois sûrement avoir un réel problème de poids : Varloth m’a fui, ce Génasi s’est intéressé à moi pour une histoire de pacte, c’est flagrant. Je dois me faire vieille, je dois commencer à avoir des rides. Sekhmet était dans un état où les femmes parlent des deux sujets les plus déprimants pour elles : le poids et l’âge. Une femme qui en arrive à se poser des questions sur les deux en même temps était un générateur d’idées suicidaires dans une pièce.

-Cesse de te focaliser sur les Drows et le Génasi, je te rassure : ce sont eux qui ont un problème de poids. Il leurs manque environ 1 kilo de cerveau.
Tu es parfaite, des rides, toi ? Tant que tu gardes cette forme de jouvencelle d’auberge oui, tu auras des rides. Avec ta forme normale, il faudrait être d’une patience fanatique pour trouver quelqu’un de mieux que toi.
Toi, grosse ? N’écoute pas ces Drow, ce sont des nécromants bien pires que moi. Si on les écoutait, on devrait coucher avec les locataires des caveaux et des cryptes. De toute façon, quand tu vois leurs prêtresses…

-Parlons-en, de leurs prêtresses, il parait que ce sont des canons de beauté.

-Si on aime les squelettes qui marchent, oui, ce sont des canons de beauté. Aucune forme, et un sex-appeal de machine de siège.

Sekhmet enleva le torque et retrouva apparence humaine… enfin, humaine, humano-féline.
-Et voilà, encore un monde où il faut être un squelette sur pattes, une planche à pain, pour avoir un minimum d’intérêt. Et de préférence, une planche à pain sans cervelle, qui glousse comme une dinde de Noël à la première blague d’un goût douteux et qui mange du yaourt à 0% de matière grasse… Je suis fatiguée, je crois que je vais prendre mes clics et mes claques et retourner auprès de Vhaeraun. J’ai un bon coussin qui m’attend, je l’écouterai ourdir ses plans contre Lolth et je ferai en sorte de perdre mes parties d'échec plus souvent.
Durant tout ce temps, elle fit fi des paroles du Génasi.
(HRP: ajoue de dernière minute, vivent les mails)

-Eh oh ! Voyons ! Tu ne vas pas tirer de conclusions hâtives parce que 2 Drows t’ont prouvés qu’ils étaient de la race des idiots. Pour ceux de la surface, tu n’es même pas un canon de beauté, tu es un fantasme incarné. Quant aux Drows, soit dit en passant, les définitions des canons de beauté sont définies par les dominants de la race. Or, qui domine, en bas ? Les femmes. Elles auraient l’air aux sommets de l’art difficile et noble de la stupidité si elles définissaient les goûts autrement de ce qu’elles sont en général. Sans compter que les mâles ne voient que les limandes, en terme de filles. Ils ont difficilement les moyens de définir autre chose comme beau après une vie entière à mater des asperges cruelles.
Et en plus, tu raterais ces superbes beignets.

-Je ne peux pas, ça va me faire grossir… et puis, j’en ai marre d’être dans cette chambre. Je peux t’emprunter la tienne ? Je vais me coucher.

-D’accord. Mais, aussi loin que je me souvienne, je ne t’ai jamais vu prendre un kilo.

-Tu ne sais pas : tu ne me pèse pas.

-Je ne t’ai jamais vu grossir.

-Tu ne m’as jamais vu enceinte.

-La grossesse ne t’a pas porté préjudice, à ce niveau-là.

-Je ne t’ai jamais vu me critiquer ou porter un jugement négatif sur moi.

Seldnaufein marqua un temps d’arrêt. Elle avait raison : il ne l’avait jamais critiqué.Il posa son plateau sur une table, matérialisa un grand miroir sur un mur, s’empara de Sekhmet pour la coller devant son image.
-Et tu veux critiquer quoi là-dedans ? La poitrine parfaite ? La taille fine ? Les hanches sculpturales ? Les cheveux soyeux ? Les yeux superbes ? Les lèvres charnues ? On critique quoi dans tout cela ? Je ne trouve rien à critiquer. Maintenant, si des Drows ont toujours le fantasme inassouvi de la maîtresse d’école guindée et revêche qui torgnole les vilains garçons à coup de latte en bois mais qui finira vieille fille et pucelle à 70 ans, c’est leur problème. Toi, tu es parfaite, et eux, ils sont aveugles.

-Bien essayé... Mais là... pff… je suis claquée… fatiguée…

-hum ; je vois. Bon, je t’emmène à ma chambre et, ne t’inquiète pas, je ferai en sorte que personne ne t’embête et que les beignets resteront chauds.

-Et l’autre ? Il faut tout de même le soigner.

Seldnaufein regarda en bas et s'abstint de dire qu'il s'était enfuit. Il l'avait vu une fois, où qu’il puisse aller désormais, Seldnaufein l’avait vu une fois et pourrait le retrouver et le localiser systématiquement, il revint vers Sekhmet.
-Oh oui, je le soignerai, je m’occuperai bien de lui.

-euh ? Vivant, je préfère le récupérer vivant.

-Oh, il vivra, il sera juste suicidaire, quand j’en aurai fini avec lui.

-Il l’est déjà.

-Suicidaire à la Varloth ?

-Non, à la Sélëne.

-Qui est-ce ?

-Humph. Une longue histoire… mais je suis trop fatiguée pour te l’expliquer.

-Viens, je te conduis à ma chambre. Fit le Demi Drow avant de lancer un sort qui fit flotter le plat dans les airs afin qu’il les suive.

-Je sais où est ta chambre.

-Oui, mais je peux faire en sorte qu’on ne te dérange pas. Pour cela, je dois venir.

-Hum ! A quoi ça sert ? Qui voudrait déranger une vieille carne comme moi ?

-Des carnes comme toi, j’en rêve. Et je n’ai jamais été gérontophile. Les succubes sont des laideurs ambulantes à coté de toi. Pour le dérangement : des abrutis avides de pouvoirs et des crétins qui se complaisent à ennuyer les gens pour le plaisir. Je te conduis, je fais en sorte que personne ne puisse t’embêter, je soigne l’autre fou volant sans ailes et je reviens. Nous pourrons parler du bon vieux temps.

-Lequel donc, le temps où je t’ai élevé ou du temps où j’ai tué tes parents ?

-Ce temps et ce que sont devenus nos chemins ensuite.

Remarquant à peine la présence de Zérar, ils partirent à la chambre du demi-Drow qui posa le plateau sur la table ainsi que le vin. Il lança un sort sur le plateau, destiné à maintenir la nourriture toujours dans le même état qu’au lacement du sort, puis il en lança un autre dans la pièce, plus puissant, plus complexe. Il était impossible à quiconque de voir ou d’entendre ce qu’il se passait dans la pièce, même en usant de sorts de divination, il était impossible également de s’y téléporter ou d’user de passage entre les plans pour y pénétrer, quant à forcer le passage par la force physique (en détruisant la porte ou les murs…), c’était vouloir se déboîter un membre.

hrp: Avec l'aide d'Anubis, et c'est lui a fait le plus! Je n'ai donné que quelques idées par ci-par là, lui, il a mit en forme! J'ai d'la chance d'avoir un tel MJ à la maison

Charlotte traversa la cuisine comme une trombe (ce qui aurait pu être dangereux pour les ustensiles, si elle était réellement une trombe), manquant de marcher sur le chat, un félin grassouillet qui squattait fréquemment ici car, en fin connaisseur, il savait qu’il y trouverai bonne pitance dans les restes et que le civet de matou ne figurait pas au menu de l’établissement.
Elle se rua derrière le bar pour tirer la manche de son paternel, l’interrompant ainsi dans sa conférence, Ô combien importante, sur les bières des régions sud dont la meilleure qualité que celles du nord créait force polémique et arguments prononcés avec conviction.

-Père ! Père ! Il y a un romancien qui veut faire de moi son apprentie. Pendant 20 ans, tu te rends compte ?

-Et bien quoi, fille ! Tu vois pas qu’je suis occupé ! Va aider ta mère au lieu de rester dans mes pattes.

-Mais, père… c’est un romancien...

Un client, vieil habitué des lieux, tellement habitué, en fait, qu’il connaissait par cœur la valeur de chaque cuvée et qu’on trouvait, sur lui, plus de poussières provenant de l’auberge que de sa propre maison, s’en méla.
-Un romancien ? Je connais, c’est des gars qui écrivent des livres qui, parait-il, font pleurer les petites nobles.

-Ca n’risque pas d’te faire pleurer, crétin, tu sais pas lire ! Fit le patron de l’auberge.

-Mais non ! S’irrita Charlotte. Un romancien, un type qui fait des choses bizarres avec les morts et qui dort dans les cimetières, et qui s’habille en noir en rigolant d’un air débile qui fait peur. Il veut que je sois son élève. Et pendant 20 ans.

-Oui, ça tu l’as déjà dit.

-Mais tu ne te rends pas compte ? Pendant 20 ans… J’aurai… euh ? Elle se mit à compter sur ses doigts. Certes, en tant que serveuse d’auberge, elle devait posséder les bases de l’arithmétique (mot dont elle ne comprenait pas très bien le sens, elle ne l’avait entendu qu’une fois et, après longue explication, avait à peu près retenu qu’il s’agissait de calcul, en plus compliqué), mais les consommations à 20 pièces d’argent étaient plutôt rares, dans la taverne, sinon, elle serait occupée à se pomponner et glousser avec des garçons plutôt que servir à table.
Ça fait… euh… 16… plus 20… 36 plus 1: 37 pièces d’argent… euh ? 37 ans. Oui, avec les radins qui traînaient dans les murs, il était nécessaire de compter les pourboires dans les prix : ce ne sont pas les claques au postérieur qui peuvent payer une nouvelle robe pour la nouvelle année.

-Non, ça, c’est un Nécromancien. Fit le client, très savant, c'est-à-dire, capable d’avoir des nouvelles qui viennent de plus de 50 kilomètres d’ici. C'est à dire de la grande ville la plus proche où il se rendait, 1 fois l'an, pour la foire aux bestiaux, événement exceptionnel qui lui valait un auditoire d'admirateurs à son retour, et plein de boissons gratuites tant qu'il racontait ce qui s'y passait (d'où son acharnement à se renseigner et son don pour les récits à rallonge)

-Oui, un Nécroromancien ! Acquiesça la jeune fille. C’est ce que j’ai dit : un gars qui parle de nécroromancie.

-C’est quoi encore cette histoire ? Fit le père, qui commençait à s’intéresser à ce que pouvait bien raconter sa fille, fait exceptionnel, ayant lieu environ 5 fois l’an et ne dépassant jamais guère 10 minutes. En général, cela concernait plutôt un quelconque joli-cœur qui tournait autour de sa fille, héritière unique d’une honorable taverne, et qu’il fallait rosser copieusement, exercice dans lequel l’homme, ancien garde de ville, excellait. Ses coups de poings casseurs de jeunes nez étaient légendes, dans le coin. Et il est où, ce romanichel-machin-truc ?

-Il est là haut ! Il a même endormi mère comme ça. Elle plissa les yeux, essayant d’imiter l’intense regard des thaumaturges concentrés sur l’application de leur art. Oui, comme ça, rien qu’en la regardant, et elle est tombée, comme une serpillière trempée, plaf sur le sol, et elle s’est fait une grosse bosse sur la tête. Elle en a lâché sa poêle ! Et oui, il valait mieux se couvrir.

Pour l’aubergiste, l’heure était grave : faire lâcher une poêle à sa femme, qui pouvait faire fuir un ours seulement avec une casserole et un couvercle de marmite, c’était un exploit grave. Il ramassa sa hache de bataille, surnommée affectueusement « Gigine la cesse-bataille » à cause du calme créé par sa seule vue lors des bagarres d’auberge et dit à sa fille :
-Amène-moi à ce gars, j’m’en vais lui toucher 2 mots et un découpage de lard en règle !