[RP]Pépère, le rôle-play où l’on glande sévère.

L'homme dévisagea un instant la capricieuse Sekhy en croisant les bras derrière le dos, et partit à nouveau s'asseoir dans son confortable fauteuil (après avoir discrètement rendu à la cordelette une taille plus "standard")

Une fois confortablement installé, il lança un sourire énigmatique à la féline, et son oppressante aura sembla s'intensifier par le silence pesant qui s'ensuivit pendant quelques secondes.

"La question est plutôt : Que pensez vous valoir qui puisse comporter un quelconque intéret pour l'Unique, et qu'espéreriez vous pouvoir tirer de ses faveurs si jamais votre nature nous intéresse et que vous vous montrez digne de lui, évidemment..."

Il avait énoncé cette dernière phrase avec un flemge empreint d'une certaine lassitude condescendante ce qui accentuait encore le coté dépréciatif que pouvait y voir la démone... l'orgueil appelait l'orgueil, il s'attendait à toute réaction de la plus vive à la plus glaciale, mais il espérait bien avoir atteint sa "cible" dans sa fierté.

Visiblement intéressée ou peut-être excessivement moqueuse, elle posa la question :
L’unique ? Vous êtes monothéiste ? A non… Vous êtes de Cyriciste, vous.

Elle ricana en continuant :
Moi, je suis autothéiste : je ne crois qu’en moi et j’ai déjà un patron… enfin, si la logique peut me permettre de l’appeler ainsi.

Nonchalamment, elle balança un pompon du lit et elle répondit au dénigrement par sa désinterressement.
Non. Je ne vaux rien qui puisse intéresser votre dieu, donc pourquoi vous dirais-je ma nature ? Et puis, je préfère Baine.

Et Olé ! Un coup de dague dans les côtes d’un adepte de Cyric, pensait-elle en se levant et en remettant ses vêtements en place.

Bon, je vais y aller. Je crois que notre conversation est close.

Un petit rire secoua le prêtre, il semblait plus que ravi d'engager la conversation avec Sekhmet, et ce quels qu'en soient les tenants et aboutissants. Il était engagé dans la partie et il voyait enfin un défi à sa hauteur dans l'attitude qu'adoptait la féline.

"Oh, le monothéisme est l'unique option envisageable, à moins de tomber dans les pièges grossiers tendus par de faux-dieux sans intéret. Il faut vraiment être stupide pour se fourvoyer d'une telle façon et se tromper de "patron"."

Il avait sciemment repris le terme utilisé par son interlocutrice, d'un ton neutre mais toujours imprégné d'une certaine acidité.

"Cependant, le fait de croire en soi n'est pas une tare, loin s'en faut... Cyric sait reconnaitre l'ambition, et il sait l'apprécier à sa juste valeur, et ce bien que cela ne soit pas suffisant pour suivre la bonne route"

Il marqua une courte pause.

"C'est pourquoi, je m'efforce de rassembler les brebis égarées... Ou bien d'en faire un apétissant méchoui, c'est selon leurs convictions et l'obstination que certains portent à vouloir persévérer dans l'adoration inutile de personnes puissantes qui ne pensent qu'à leur propre profit et se servent illégitimement de leurs pauvres "fidèles"..."

Il soupira à l'évocation de Baine, restant cependant étonnament calme et loin de s'emporter... Il hocha la tête négativement et morigéna la démone.

"Il en est qui se complaisent dans la médiocrité, je n'ai jamais compris pourquoi... Alors qu'il suffit de viser plus haut, de sortir de l'Ombre pour obtenir tout ce qui nous fait défaut... L'Unique sait récompenser ses fidèles à leur juste valeur, songez-y..."

Lorsque la démone annonça son intention de s'en aller, il ne fit pas le moindre mouvement pour la retenir, annonçant simplement :

"A votre guise très chère... Au plaisir de vous revoir. Par où désirez vous sortir ?"

Sekhmet répondit tout naturellement :
Par la porte de préférence, je déteste me fatiguer pour des raisons inutiles. Donc si votre rune pouvait disparaître.

En croisant les adeptes des autres dieux, elle se rendait compte ô combien elle était chanceuse de travailler pour Vhaeraun. Même si il était orgueilleux, lui ne l’avait pas accueillit de la sorte.
Souvent chat se fit à sa première impression et celle que lui laissait cet individu ne durerait guère longtemps, tant elle avait envie de l’oublier. D’ailleurs, elle ne pût s’empêcher de la partager en ces mots:

Non. Nous n’allons plus nous revoir.
Vous êtes à l’image que je me faisais de vous.
Vous essayez désespérément de manipuler les autres d’une manière plus ou moins efficace. Vous êtes morne comme une nature morte et, vu les pouvoirs que je sens en vous, vous devez être un favori et souvent les favoris sont à l’image de leur dieu, donc Cyric doit être ennuyeux. Alors très peu pour moi, je suis du côté du méchoui, berger, ou peut-être du côté des loups, allez savoir.

Etendant un cris très … Elthennien le génasi se dirigea vers la fenêtre et vit avec plaisir l’elfe se prendre non pas une mais deux tuile sur le coin de la tête ! Zérar eu du mal à se retenir de rire.

"Je crois qu’il vas pleuvoir les tuiles voles bas. Au fait Varloth que pense tu de ma proposition de tout à l'heure?"

Il ne cessera de m'étonner, dit Varloth en parlant d'Elthen, avec un grand sourire.

Qui se porte volontaire pour aller le chercher? demanda-t-il.

Puis il se tourna vers Zérar en disant : quand nous aurons du temps, nous verrons, en attendant, je pense qu'il y a mieux à faire!

Sekhmet bailla, s'appuyant contre le mur et soupira:

Quand vous le sentez pour la porte! J'ai tout mon temps.
Qu'est-ce que c'est lent à la détente un Cyriciste. Ronchonna-t-elle.

Marak en voyant le pauvre bougre au sol avec deux tuiles casser a coter de lui ne put s'empecher d'utiliser le peu d'intelligence qu'il avait pour sortir une blague qu'il pensait drole :
C'est la tuile ca hé! Et sur ceux il explosa de rire puis commenca par sauter de la fenetre pour aller porter secour au blesser de guerre.

Se levant doucement de son fauteuil, le prêtre sembla légèrement déçu, sans néanmoins que cela semble vraiment le troubler. Il fit une moue furtive et s'approcha de la porte sur laquelle il plaça le plat de sa main... Le bois commença à scintiller quelque peu, alors que la rune sembla être peu à peu "absorbée" par l'amulette qu'il portait au cou.

"Vous êtes lunatique, très chère... Deux parts, et peut être même plus qui forment une entité... Mais est-ce là vraiment une intégrité totale ? Permettez moi d'en douter... Je sens autre chose "

Il y'avait quelquechose de conciliant dans sa voix, proche de la pitié (autant qu'un être tel que lui pût en ressentir)

Un sourire énigmatique vint se fixer sur ses lêvres alors qu'il déverroullait la porte en quelques gestes vifs... Quelques secondes après, l'huis s'ouvrait en grinçant.

"Je vous en prie, après vous"

Il accorda à la féline une courtoise révérence et la laissa passer avant de refermer la porte et de se rendre dans la salle commune au rez-de-chaussée.

Elle leva les yeux au ciel en attendant les commentaires de Jer’len.
Pourquoi les êtres humains se compliquent-ils toujours l’existence ? Pourquoi cherchent-ils toujours des mystères là où il n’y en a pas?

Continua-t-elle en partant dans la direction opposée à celle du chevalier, se dirigeant vers la chambre où presque tous sont réunis.

C’est déroutant, écoeurant et part la même fascinant. Ils rencontrent une créature, et se pose de multiples questions sur elle sans lui poser vraiment LA question. Typiquement humain. Ils sont prisonniers des mots qui gèrent leur vie, les instruisent, les unissent ou les trahissent mais, pourtant, les Hommes ne savent les utiliser.

"Ça ne s’est pas passé comme tu voulais ?"

Alors que la féline entra il avait posé cette question tout à fait sereinement l’ayant entendus dans le couloir.

"Ho juste par curiosité qu’est-ce que LA question ?"

Invité

" ... la question que tu n'as pas l'air de te poser quand tu parles: "Est-ce que je vais dire une connerie ou pas?" "

Elthen etait remonté a la fenetre, faisant etalage de ses dons de monte en l'air, et ce malgré la chute peu glorieuse...

"Ho quand on ne sais pas faire un pas de coté quand on vois une tuile foncer droit sur sa tête on la ramène pas."

Le génasi avait dit cela froidement alors qu’il s’adossa au mur à la gauche de la porte.

Et le vouvoiement, jeune homme ? Vous avez envie de savoir, hein ?
Que seriez-vous près à me donner, Zérar, pour connaître cette question ?

Demanda Sekhmet, intrigante en ramassant le premier objet qu'elle trouvait et le balançant à la tête d'Elten dans un:

Silence! Laisse parler les adultes entre eux!

Invité

Elthen evita le projectile de peu, très peuuuu, et siffla. Il avait eu chaud.
C'est alors que les engrenages rouillés de son cerveau se mirent lentement en marche, et il réalisa soudain ce que venait de dire Sekhmet:

"S'PECE DE... SALE POUFIASSE ACÂRIATRE!!!"

*lunatique c’est ça ? Bon un coup elle veut que je la vouvoies après faut la tutoyer hé ben …*

Le génasi fit mine de réfléchire un instant.

"Vous ne donnez jamais rien gratuitement … voyons voyons, pour une information aussi capitale qu’est-ce que je pourrais proposer …"

Zérar regarda le plafond comme si il réfléchissait.

Ha peut être que … ha peut être un peut d’herbe à chat ou non je sais ou on peut trouver une très bonne herbe à fu ….

La dernière phrase du demi élémentaire fut coupé par les hurlements d’Elthen.

marak vit le projectile arriver sur lui et se le pris au niveau du bras, ce qui eu pour effet :
QUI C'EST QU'A ENVOYE CA ?!!!!!
Avec le peu d'intelligence il en deduis que ca venait de la fenetre ou l'autre qui avait beugle etait. Il rentra donc dans l'auberge et alla jusqu'a la porte, et frappa poliment.

Tu permets, Zerar.

Avec un regard froid et une rapidité peu commune, la déesse se réveilla en elle.
Elle se jeta sur Elthen, l’attrapa par la ceinture pour le mettre sur le vente, en équilibre sur ses genoux.
Là, elle arracha son pantalon et lui administra une FESSEE mémorable :

ON N’INSULTE PAS LES DAMES QUI SONT DANGEREUSES ! Sale petit mildiou de crétin d’Elfe !

Hurlement que Marak et toute l'auberge entendirent.

Si il fallait trouver un adjectif pour décrire ce que ressentit Zérar à ce moment la ça aurait été choqué.
Voir une démone chat défroquer un elfe lolthien et lui administré la fessee ! Même le dieux nudiste pouvait aller se rhabillé (…).
Le génasi eu beaucoup de mal pour ne pas éclater de rire.

Se doutant que c'etait pas le mot pour lui dire de rentrer, il refrappa a la porte.

Sekhmet relâcha enfin Elthen, les fesses rouges sang, après bien 7 minutes d’une raclée douloureuse, et elle hurla : Entrez !

Quant à toi, mon enfant, recommence à me parler sur ce ton et ce sera avec le plat d’un arme que je te fesserais !

Elle se leva et revint vers Zerar :
Nous en étions où ?

"Oui il me semble que j’allais proposer de l’excellente herbe à fumer contre LA fameuse question."

Le génasi sorti alors un écrin à tabac rouge cerclé de noir, ce n’était pas qu’il fumait vraiment ça embrume l’esprit et rend plus lent à la détente mais ça peut toujours servire.

"Sinon il y avais aussi la question du pacte si je ne me trompe pas."

Sekhmet se pencha sur Zerar et lui susurra à l'oreille, pour que personne ne l’entende :
Contre de l’herbe à chat, de l’herbe à fumée et une nuit où je ne domine pas le mâle mais l’inverse, je te dirais la question.

Elle se recula, et sortie de la pièce, croisant à nouveau Marak.

Le génasi haussa un peut les sourcilles avec un léger sourire.

"Je crois que tout à c’est raisonnable."

Sur ces mots le demi élémentaire sorti à la suite de Sekhmet luis prit la main et dit d’une voix qu’elle seul put entendre.

"Par ici mademoiselle."

Sur ces mots il utilisa sa pierre de téléportation et la féline put découvrire le « repaire » du tueur.

"Je ne sais pas si l’endroit est à votre goût mais au moins nous serons tranquille."

Zérar sortit l’écrin à tabac, ainsi que l’herbe à chat qu’il avait récupérer.

"Voilà je crois une partit du paiement."

VRRRRrrr. Ronronna-t-elle en récupérant avec avidité l’herbe à chat et la reniflant.

Je vais m’en faire une petite décoction à fumer… Vrrrrr

Pour l’autre partie ? Comment allez vous vous y prendre ?

Dit-elle en s’affalant sur l’un des fauteuils, sentant toujours avec frénésie l’herbe.

"Ho et bien je crois savoir qu’une certaine dame ne voulait pas dominer mais l’inverse …"

Avec aucun signe avant coureur il plaça son fameux poignard sous la gorge de la féline et faisant frotter la lame contre sa gorge nue, tout en ayant bien pris soin de ne pas renverser l’herbe à chat, ça aurait pus l’énerver.

Tu es très loin d’être impressionnant.

Elle fit fi de la dague et repoussa le génasi du pied.
Mais rien ne t’empêche de me trouver un autre homme qui lui aura le courage de me défier.
Tu sais, chez nous, les félins, le mâle doit réussir à battre la femelle pour pouvoir s’accoupler.
Il est temps pour moi de remonter une lignée, soupira-t-elle en se levant, c'est pour cela que je recherche un dominant et non un trouillard... comme toi.

Ignorant Zerar, la Féline fit le tour de la pièce, observant ce qu'il y avait à chaparder.
Mouww.
Ce ne sera pas aujourd’hui que tu auras la question clef.

Alors qu’elle regardait un mure une dague se planta dans celui ci lui coupant une mèche de cheveux, elle sentit également le scalpel d’interrogatoire pointé sur sa nuque jusqu'à faire perler une goutte de sang, la pointe de souffrance remontant le long du dos en déchirant méthodiquement les vêtements de la féline.

"Alors maintenant tu vas être une gentil fille …"

Agonis commençait à s’enroulait autours de la taille de la démone et serrât suffisamment fort pour qu’elle ne puis pas s’échapper facilement, sans compter le génasi blessé dans son orgueil.

Au départ cela se manifesta par un toussotement puis, ne pouvant plus se retenir, elle éclata de rire.

HAHAHAHAHAHAHA ! Tu es RIDICULE ! Hahahahahaha !

Reprenant son souffle, elle articula avec difficulté.
Tu auras beau me menacer autant que tu veux, tu ne seras jamais impressionnant car je sens au fond des trips que soit tu cherches à me plaire, soit tu cherches à ne pas me froisser!

Varloth fulmina, de voir le génasi utiliser SON idée de l'herbe à chat!

Et Sekhmet l'avait totalement ignoré, ce qui n'était pas vraiment pour lui plaire!

Quant à la question... Lui aussi était intéressé, évidemment, mais pour le moment, il n'avait rien à faire d'autre que s'assoir... Et attendre. Ce qui commençait à le peser. Non pas qu'il ne soit pas patient, mais il est des situations que l'on n'apprécie guère, et où l'on aimerais bien mieux agir!

Il se rasseya donc dans le fauteuil qui commençait à le "connaître"... Mais à peine assit, il sentit la présence de son dieu dans son esprit : La laisse est chez toi! "déclara" une voie moqueuse

Varloth, a demi-assis dans une posture quelque peu grotesque, ouvrit des yeux ronds : ainsi donc, Sekhmet avait oublié la laisse? Etais-ce intentionel ou non? Peu importe, car Varloth s'empressa d'aller la reprendre. Rien que savoir où elle était l'arrangeait!

Dans sa cache, il se précipita dans sa salle d'eau où, effectivement, tronait dans un coin la fameuse laisse. Varloth la prepris avec un sourire et soulagement!

Il sentit aussitôt la présence de Sekhmet... Et hésita un instant à la rejoindre. Il avait dit qu'il la laissait, pour une nuit, mais qu'à la prochaine, ce serait lui dans son lit...

Il haussa les épaules. Il pouvait y aller sans renier ce qu'il avait dit! non pas qu'il s'agisse d'honneur, mais lorsqu'il avait l'occasion d'être sincère, il s'y tenait d'ordinnaire.

Il se concentra donc pour la localiser, avant de se téléporter à nouveau.

Il apparut au centre de la pièce, au moment ou Sekhmet éclatait de rire, et espéra que son apparition ne la refroidirais pas.

Et bien me voilà! Je dérange, peut-être?

Sekhy? Comme tu es partie à l'improviste, je voulais simplement m'assurer que tu n'avais pas oublié ce que j'avais dis tout à l'heure, à propos de lit et de nuit prochaine.
Oh! Et puis je voulais avoir une conversation avec toi également! Maintenant, cela va de soit...