[RP]Pépère, le rôle-play où l’on glande sévère.

RP commun Zok, Xen.

Petit à petit, les occupants de la taverne, paysans et autre gars de la campagne, arrêtèrent de chuchoter pour regarder d'un air mauvais le "boulet humain" qui s'était écrasé.

-un humain ne pourrait pas s’rvivre à pareille chute ! dit l’un à haute voix
-Ct’est bien vrai ! D’où est-ce qui vient à tomber ainsi ? Renchérit un autre.

-Ouais! Chuis d'accord!
-Pis r'gardez eul'chat d'l'aubergiste! Qu'il est tout pas content!

-C'est un démon!
-Chuis d'accord!

Et après cet échange intense, divers villageois commencèrent à se lever, un grand nombre sortant leur fourche, posée au sol, d'autre saississant des torches.
Car, il est connut de tous à chacun que l'on chasse les créatures maléfiques avec des fourches et des torches.
Ils hésitaient encore, car après tout le courage d'y allez le premier est inversement proportionnel aux nombres de participants.

Finalement, quelqu'un les y aida.

-Allez-y! Il faut le bruler! Car ça aussi, c'est bien connu, il faut brûler les créatures maléfiques. Les torches ne sont pas là pour rien! Si on ne le tue pas, il va nous tuer, violer notre bétail et éparpillé nos femmes!
-Ou l'inverse!
-Ouais!
-BRULONT LE !

Dans un coin, discrètes, un silhouette maigre, pour ne pas dire squelettique et encapuchonnée de noir pensa : JE SENS QUE JE VAIS AVOIR DU BOULOT CE SOIR. Car même ses pensées étaient dites d’une voix caverneuse.

HRP : ya un perso que tu devrais reconnaître Max! Laughing

Marak entendit tout le monde chuchoté et se dit que ca allait tourner mal, mais alors tres mal, et lorsqu'il entendit tout le monde dire : "brulons le", il se leva degaina ses deux épée et se mit devant l'homme au sol, face au paysans qui se levaient.
LE PREMIER QUI TOUCHE A CETTE HOMME J'LE TRANSFORME EN UN TAS D'IMONDICE QUE J'SERT AU PREMIER CHAT QUI PASSE
De la poussiere s'eleva autour de lui comme si il allait charger avec toutes la férocité qu'il avait en lui.

Zérar s’apprêta à répondre à la féline quand Varloth décida visiblement que le jolie chat était à lui au lieu d’elle même.

On dit "Seldnaufein" madame, fit Varloth en continuant de regarder le génasi.

"Oui ou Varloth ça sonne bien aussi."

Visiblement le génasi en avait raz la capuche de devoir se plié aux exigences de tous, et lança un regard glacé au drow quand ce dernier se baissa pour éviter un rouleau à pâtisserie qui ne faisait que grossire à mesure qu’il se rapprochait du visage du demi élémentaire.

*SPAF !*

Zérar tituba un instant, plus par surprise que par le choc lui même ayant l’habitude de s’en prendre plein la tronche, surtout depuis qu’il connaissait une certaine démone, il arriva néanmoins à retrouver sa stabilité malgré une féline nue dans ses bras.

Elle se retourna dans la chambre, et dis à Zérar : vous là! Vous m'avez l'air le plus sage de tout ces garnements. Allez me chercher ma fille, et que ça saute, avant que je ne m'énerve!

"Non mais ça vas pas de me cogner avec vos ustensiles ?! Et puis votre gamine qu’elle s’envoie en l’aire avec qui elle veut j’en ai rien à ciré !"

Le génasi comprit son erreur devant le visage furibond de la matrone emplatreuse de crane.

*SPAF ! SPOF ! BUNK ! TONK !*

SELDNAUFEINE ! VARLOTH !

"Non mais resté polie ho !"

La tête de Zérar était visiblement le nouveau carillon favoris de la cuisinière, et il encaissait drôlement bien ! Il n’osait pas lâcher la démone ne pouvant que la laisser tomber au sol, il préféré visiblement avoir une bonne migraine plutôt qu’être castré et sans tête.

[HRP] C'est bon ? il s'en prend suffisament ? ^^

Tous hésitèrent à la vue de ce colosse. Affronter un démon était une chose. Après tout, ils avaient des fourches et des torches. Mais il n’était pas stipuler que le démon serait accompagné d’un guerrier.
Une voix ce fit tout de même entendre de derrière la foule.

-Occupe toi de tes oignons. Et laisse le peuple abattre la juste justice sur les mauvais.

La foule se remit à gronder.

-Ouais, c’est bien parlé ça.
-Il a raison machin.
-Laisse nous le brûler en paix.

Et à nouveau, les fourches furent tendus vers le ciel et les flammes des torches recommencèrent à caresser le bois pour la plus grande terreur de l’aubergiste.

Varloth esquiva, comme dis, le rouleau à patisserie de justesse.

La matrone, elle, continuait de taper sur le génasi, visiblement furieuse que ça ne lui fasse pas autant d'effet qu'elle le désirait.

Un coup encore te le rouleau à patisserie rendit l'âme...

Et Zérar s'attira de fait la hantise de tout les rouleaux à patisserie de la terre!
Malédiction terrible s'il en est, car il ne pouvait désormais plus entrer dans une cuisine sans avoir à surveiller ses pieds...

Furieuse, la matrone déclara : c'est pas sérieux ça! Elle montra son reliquat de rouleaux à patisserie. Vous pouvez pas être assomé comme tout le monde??

Pendant ce temps là, à Vera Cruz...

J'ai oublié une motte de beurre...

Heu... Pardon, c'est pas ça.

Et pendant ce temps là, dans la deuxième chambre de luxe :

Charlotte, toujours dans les bras de Cayn déclara : quand on n'a pas envie de parler...
Elle rapprocha ses lèvres de celle de Cayn. Ses intentions étaient clair...

Sekhmet, secouée et titubantes, tenta de se remettre sur ses pieds et hors de bras de Zérar et dit :

C’est pas du beurre mais des œufs.

Heu, non, elle ne dit pas ça …

Je crois que je vais aller chercher votre fille mais arrêter de frapper.

Mais mais mais ? Vous n’allez pas y aller toute nue ???
Fit la cuisinière ébahie.

Une nouvelle idée commença à s’imposer dans l’esprit de Cayn. Pouvait t’il avoir une relation poussée avec une de ses apprenties ? Était ce réglementaire ? En même temps, elle n’était pas encore son apprentie. Et puis, si ça pouvais l’aider à atteindre son but.
Qu’est ce que disais Farys dans ces situation déjà ? « Il n’y a pas de mal à se faire du bien. »
Après tout pourquoi pas.
Il se pencha vers elle et l’embrassa tout en l’emmenant vers le lit.

[Voile obscur sponsorisé par la ligue des parents d’élèves de maternel.]

L'avantage d'être un démon, c'est la lecture des auras. En effet, il était facile pour Sekhmet de lire les auras et de repérer rapidement la localisation des personnes.
Cet acte était si simple qu'elle ne le considérait pas comme de la magie mais comme une forme de vision plus affûtée.

La porte de la chambre des « amoureux » s’ouvrit, après que la serrure découvrit que de longues griffes font de très bon crochets de voleur, dans un:

Je peux venir m'amuser avec vous?

Zérar secoua la tête un instant et se mit une main sur la tempe comme pour fixer une tête qui tourne un peut.
Finalement il remit ses yeux en face des trous en s’apercevant que Sekhmet avait quitté ses bras, alors que la patronne boudé du fait qu’il résiste si bien au rouleau à pâtisserie.

"C’est ma faute moi si j’en prend tellement que j’ai appris à encaisser ?"

Le génasi avait quand même quelques bleu mais rien de bien méchant, s’attirant ainsi la malédiction de tout les rouleaux à pâtisserie du monde !
Reprenant ses esprits le demi élémentaire remarqua que la féline manqué à l’appèle, sans doute partis retrouver les deux tourtereaux.

L’espace de quelques secondes, un vent de panique souffla. Charlotte et Cayn se séparèrent l’un de l’autre. Charlotte se camoufla dans les couvertures et Cayn se leva, incapable de cacher sa nudité. Il remarqua alors la propre nudité de Sekhmet et laissa tomber l’idée de cacher son bas ventre à l’aide de vêtements. D’autant plus que celui qu’il était sur le point de prendre était la robe de la jeune fille.
Il s’adressa alors à Sekhmet d’un ton plus ou moins calme tout en cherchant son pantalon du coin de l’œil.

-Vous disiez ? J’étais un peu occupé et je n’ai pas saisi vos paroles.

Alors que c’était la débandade pour les amoureux (hrp : RHoo le mauvais jeu de mot)

Je disais : puis-je venir m’amuser avec vous?
Ne faites pas le sourd, ce n’est pas la meilleur parade surtout que vous vous apprêtiez à combattre activement les problèmes de surdités.

Sekhmet était tout sourire et surtout, elle regardait du coin de l’œil l’entrejambe dès plus… sous tension… de Cayn.

Sur ce elle se pencha, regardant de plus prés : Hum ? C’est d’une bonne taille pour un humain ? Vous n’êtes pas qu’humain, avouez.

-Tout dépend de votre définition de l’humain. Quand à vous amusez, je pense que vous avez suffisamment de prétendants pour pouvoir vous passé de moi. Aussi, si vous pouviez fermer cette porte et vaquer à vos propres occupations. Cette situation est assez embarrassante pour …

D’un coup d’œil, il vit Charlotte qui était à peu prés dans le même état que lui.

Pour nous deux. Acheva t’il.

Sekhmet fit un détour et passa outre la demande de Cayn.

Alors ? Il te plait ? Tu ne devrais pas te donner si facilement à un homme tu sais ?
Adressa-t-elle à charlotte en s’asseyant sur le bord du lit et lui passant un bras autour de l’épaule.

Peu à peu, de son gorgerin des coulées de tissus apparurent devenant un ensemble de lingerie fine blanche et corseté tout droit sortie de la garde robe de Cixie.

La malheureuse Charlotte ne porta jamais mieux son nom car ses joues avaient la jolie couleur des fraises.

Mes amants ? De quoi parles-tu Cayn ?
De ce Drow qui est tellement accro qu’il en devient fade ? Ou de ce craintif Zérar, qui n’as de bourreau que le nom ?

Invité

Alors qu’il demanda une certaine information a l’aubergiste, que ce dernier répondit visiblement effrayé,
il se prit l’attaque mental, et n’en fut guère content :

Rhaaaaaaa ! Saloperie de drow! Quand je rentrerAïe @%¤# à la maison, faut que je pense à mettre un contrat pour toute têtes de drow, et pis créer un portail majeur entre une bataille de la guerre de sang et une capital drow, histoire d’accélérer le procécus de génocide héhé, Aïe, quelle vacherie, peut être aussi demander aux garots d’éliminer les dieux drows, wi, sa serai rahhAïe !

Alors qu’il souffrait de son mal de crâne, il ne s’était pas rendu compte qu’on le prenait pour un démon, jusqu'à ce que quelqu’un saute devant lui :

"LE PREMIER QUI TOUCHE A CETTE HOMME J'LE TRANSFORME EN UN TAS D'IMONDICE QUE J'SERT AU PREMIER CHAT QUI PASSE "

Hein ? que ?

-Occupe toi de tes oignons. Et laisse le peuple abattre la juste justice sur les mauvais.
-Ouais, c’est bien parlé ça.
-Il a raison machin.
-Laisse nous le brûler en paix.

Hein ? Aïe De quoi parlez-vous ? mal faire une chute de 30 mètre n’est pas un acte maléfique, douloureux d’autant que j’ai remboursé l’aubergiste

Dit il plutôt naïvement, ne sachant absolument pas de quoi parlent cette vermine, amplifié par le mal de crâne.

Et ça te donne le droit de venir déranger les gens ? Tu crois que je vais m’empresser de te faire une place dans mon lit juste parce que tu le demandes ? Ou alors tu t’es lassé des hommes et tu veux essayer avec des femmes ?

Cayn senti qu’il s’énervait. Sans trop savoir pourquoi d’ailleurs. Coucher avec Charlotte n’était qu’un moyen de la faire accepter d’être son disciple. Mais dans ce cas, le mieux était encore de la protéger. De quelque forme que ça soit. Et puis, il avait aussi son orgueil de mâle. Celui la même qui le poussait à tutoyer un démon, nu comme un ver.

Varloth qui venait de quitter la chambre, et en passant devant celle de Cayn et Charlotte, il entendit les paroles de Sekhmet.

Ça me fait penser que tu vas devoir te coltiner un autre drow d'ici quelque temps. Moi j'ai une mission là...

Je te souhaite bon courage...

Visiblement, Varloth était amusé malgré le fait qu'il devait partir ainsi... Peut-être parce qu'il connaissait ce même drow : c'était une tête de mule, et un guerrier sans cervelle... Remarque, l'avantage est qu'il ne resterais sûrement pas longtemps en vie.

Varloth sorti un sablier, avant de dire : Bon vent! Au plaisir... Ça me manqueras de ne plus pouvoir t'embêter à longueur de journée.

Se rappelant quelque chose, il lança une petite fiole en direction de Sekhmet (hrp : à toi de voir si Sekhmet la rattrape ou la laisse tomber sur le lit)

Puis il disparu, sans un bruit. L'instant d'avant il était là, mais désormais n'y était plus.

Il réapparut à Menzoberranzan, dans un certain bureau...

Bien le bonjour, fit-il, narquois, en entendant les mécanisme d'arbalète qu'on arme.

Je sais que je n'ai pas pris de rendez vous mais...

Peu importe! Fit un certain mercenaire. Je suis sûr de savoir ce que tu es venu faire ici.

Allons discuter!

SI VOUS VOULEZ VOUS BATTRE JE SUIS VOTRE HOMME!!, fit le colosse avec un rire de psychopathe. Soudain, une lueur rouge anoncant qu'il allait devenir berserker apparut autour de lui, ses yeux commencerent a devenir rouge, ses veines commencerent a poindre sur sa tête, et un rire a faire fremir un mort emana de sa bouche.

Tu vois ma chérie,
Dit-elle en caressant du bout de ses griffes le menton de la jeune fille et la fixant de ses yeux de chats.

Donne leur ce qu'ils veulent et ils ne te respecteront pas. Par contre exige avant de donner et tu seras une reine.
Exige, par exemple, de lui des fiançailles ou un mariage, s’il t’aime tant, cela ne sera pour lui qu’une formalité. Il sera alors obligé de t’emmener avec lui.

A ces derniers mots, son regard se posa sur Cayn et un sourire complice s’afficha sur ses lèvres. Un mariage livrait pieds et poings liés une femme à un homme, si Cayn était assez intelligent, il s’en rendrait vite compte.

Elle rattrapat la fiole plus part réflexe félin dit "ho! Une pelotte de laine" qu'autre chose
Hum? je crois que Varloth est véxé. Maw? Un de perdu 10 de retrouvé.
Conclut-elle au départ du Drow
[/i]

-Je suis sur qu’elle n’a pas besoin de toi pour savoir ce qui est bien pour elle.

Charlotte semblait un peu perdue et Cayn décida qu’il était temps de se montrer comme sa meilleure chance d’avenir. Il s’abstint donc de sourire en retour à Cayn.

-Je n’ai pas peur de me marier s’il faut prouver à une femme que je tiens à elle. Mais je refuse que tu te mêles de sa vie. Si vraiment elle veut des conseils, je suis sûr qu’elle te les demandera d’elle-même. Et tant qu’on y est, si tu avais l’amabilité de me dire pour quelle raison tu débarques sans prévenir.

Cayn voulu paraître calme et posa une de ses mains sur sa hanche mais cela ne fit que lui rappeler qu’il était nu devant deux femmes. Et il n’était pas habitué à un tel scénario.

L’assurance de l’homme fit à nouveau hésiter la foule. Un colosse riant comme un dément avait fréquemment cet effet sur les gens.
Tous étaient prés à fondre sur l’homme mais à la seule condition d’être à l’arrière. Et cela nécessitait que certains acceptent d’être devant.

La voix de la raison vint de l’aubergiste.

-Heu, ce n’est peut être pas un démon après tout. Et puis, ça serai bête qu’il y ai des morts juste pour voir s’il a raison.

-Ouais, pas faux.

-Mais si c’est vraiment un démon ?

-Bin t’a cas y aller, moi, j’ai pas envie de savoir en fait.

Bientôt un brouhaha se fit entendre.

Je crois que je vais m’absenter quelques instants, je vous laisse discuter union entre vous.
Sekhmet se leva et devint sable qui s’éparpilla au grès d’aucun vent, car nous sommes dans une auberge, mais au grès des courant d’air.

Un parfum d’encens se manifesta et comme sortant d’un mur Sekhmet apparut devant Varloth et un certain mercenaire.

Elle avait revêtue sa plus belle parure celle d’or et de gemmes.
Une lourde tiare représentant un disque solaire d’or ceignait son front, tandis que des serpents d’or maintenaient la couronne solaire sur sa tête.
Ses cheveux étaient finement nattés
Un imposant gorgerin de perle d’or recouvrait son buste, ne laissant apparaître la robe, de lin translucide, qu’à partir de la taille.

Elle dévisagea Varloth et lui infligea la plus monstrueuse gifle qu’elle avait en stock, une gifle qui fit plier genoux au Drow.

Bon vent ? En effet BON VENT. Ne reparaît plus jamais devant mes yeux misérable mortel ou le soleil du désert dévorera tes chairs jusqu'à ce que tes os blanchissent.

Sur ce, elle se calma adressa au mercenaire un plaisant : Messire Jarlaxle.
Et elle disparut comme elle fut venue dans un : Non mais !

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Dans une chambre de taverne.

Charlotte regarda la créature féline partir avec une légère stupeur.
Mais très vite, elle revint sur Cayn lui posant la question fatidique :

Et vous tenez à moi ? Jusqu’à quel point vous tenez à moi ?

Cayn s’approcha d’elle et lui caressa la joue encore un peu rouge.

-Je n’ai pas pour habitude de dire des choses à la légère.

Puis il l’embrassa doucement sur les lèvres afin de voir si elle lui faisait toujours confiance.

Mais par contre, m'embrasser c'est à la légére que vous le faites!?
Dit-elle en se reculant croisant les bras, boudeuse.

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Quand une femme va mal, elle mange.
Quand un chat va mal, il s’isole.
Quand une démone va mal, elle détruit tout.

Mais quand Sekhmet allait mal, elle redevenait chat et, ne voulant exposer sa peine à d’autres yeux, elle réapparut dans un endroit quelle connaissait car elle l’avait déjà visité : la chambre d’un certain serviteur de Cyric....

Constatant qu'il n'y avait personne, elle ferma la porte à clef et, après avoir rechargée le feu, elle alla se coucher le tapis, devant la cheminée, les yeux dans le vide mais le cœur empli de haine.

(HRP : Bon, OK)

Cayn sourit. Il fit glisser sa main de la pointe du menton jusqu’au cuisses et commença à l’embrasser avec passion. (C'est-à-dire avec la langue et tout et tout.)

HRp: Wouw! Shocked

Si Cayn n'avait jamais croisé une lampe chauffante, il s'avait à présent ce que c'était tant Charlotte était rouge et chaude de surprise et de gêne.

S’assurant que la porte était bien fermée, il se glissa dans les couvertures et continua de la caresser. Puis, peu à peu, l’alchimie se fit entre eux.

Invité

Qui à bien pu leur dire que j’était un démon ? un ptit sort de suggestion les calmera, ce guerrier pourra m’être utile, remplacera l’autre tempusien…

Il dit sur un ton de plaisanterie tout en lançant de manière discrète un sort de suggestion de groupe pour qu’ils prennent bien ce qu’il va leur dire :

Voyons, messieurs, si j’était un démon, votre ville n’existerai plus, et vous ne seriez plus là pour en parler. Qui à bien pu vous dire de telles ânerie ?

Mettant sa main sur son front et faisant une grimace de douleur :

En attendant, sauriez vous où se trouve le temple le plus proche, j’ai un affreux mal de crâne ne pouvant être soigner que par un prêtre, que voulez-vous ? sur un ton de plaisenterie et désignant les trous : dans ma contrée on est résistant, mais on chope des mal de crâne pas possible ! Finissa t'il avec un sourire mélanger avec la grimace de douleur

-Mouais…
-Ouais.
-l’a pas tord.
-Ouais…
En gros groupe les paysans formèrent un conciliabule pour discuter du problème.
-Et puis, un démon d’mandant un prêtre c’est-y pas courant.
-ouais..
-Mouais.

-Y’a prêtre à l’étage, un gars blond, il est v’nu avec la p’tite pouliche rayures.
-ouais ..
-mouais.
-bien gironde, mais c’t’un démon ou pas ?
-qui l’dame ?
-Nan c’gars la !
Vous pouvez noter la répartie des paysans.

Marak voyant les paysans renoncaient se calma peu a peu. Losqu'il le fut completement, il se retourna vers le nouveau venu et lui fit un clin d'oeil en souriant et dit simplement : Bienvenue

Banni Nombre de messages : 158 Date d'inscription : 28/06/2006

Seldnaufein, toujours étendu, commençait à trouver le temps long. Il ouvrit un œil pour regarder qui demeurait encore dans la pièce. La tueuse au rouleau cassé (le pic à glace étant passé de mode), véritable pieu en bois, attendait au centre de la chambre, tapant du pied.

-Hum ? Je crois qu’ils mettent un peu de temps pour revenir, voir beaucoup…

-Hein ? La grosse dame sursauta. Mais ? Vous n’étiez pas censé être assommé, vous ?

-Nul ne reste définitivement assommé. Fit le nécromant en se relevant et arrangeant ses vêtements. Un assommé qui ne se réveille pas, cela s’appelle un mort. D’ailleurs, si vous avez des assommés qui ne se réveillent pas, cela m’intéresse beaucoup, je suis preneur. Bring out your deads !

-Pardon ?

Pendant ce temps, loin, très loin, dans une autre réalité, des moines passent dans les rues du village :

Piesu Domine,
PONK !
Dona eis requiem
PONK !

Les lattes en bois sur le crâne, ça fait mal. Mais bon, c’est une autre histoire…

Le jeune demi-Drow se mit à tourner autour de la femme.

-Hum… Je me demande ce qui peut bien les retenir… des hommes et des femmes… dans une chambre, peut-être… ils sont séduisants… et votre fille au milieu… Sa voix était un film interdit aux moins de 18 ans à elle seule. Si innocente… plus pour très longtemps, à mon humble avis.

-CHARLOTTE ! Fit la cuisinière, pleine de panique et de colère, en hurlant et sortant précipitamment de la chambre sous le regard satisfait du semeur de discorde qui arborait un sourire carnassier.

-Bon, ce n’est pas tout cela, mais j’aimerai savoir où ils sont, tout ce beau monde.

-CHARLOTTE !

-MERE !

-Ah ! Elle l’a trouvé ! S’exclama-t-il joyeusement dans le couloir, marchant tel un prophète de la jaquette allant vers ses brebis. Il regarda rapidement à l’intérieur de la chambre où la situation commençait à s’envenimer.
Oups, désolé. Sekhmet n’est point là. Mes excuses pour le dérangement, je vous laisse… avec maman… et belle-maman aussi, d’ailleurs.
Il s’éclipsa de sa démarche désinvolte, évitant de justesse le lancer de relique de rouleau de belle-maman qui attendait avec force vociférations, les explications de ce gendre qui ne vivrait pas assez longtemps pour le devenir car il ne survivrait pas à la tentative de justification.

Il s’arrêta devant une porte, celle de l’ex-chambre du cyriciste, poussé par une intuition qui ne le trompait jamais : un démon s’y trouvait… ou plutôt une démone, celle qu’il cherchait, justement. La porte résista… la fenêtre serait dangereuse, c’est certain, autant opter pour la solution de la magie. Usant d’un sort de passe-muraille (moins éprouvant que la téléportation, et la téléportation, pour une si courte distance, c’est du gaspillage), il traversa la porte en question.

Et bien, Sekhmet, que fais-tu donc, ici, toute seule ? Enfin... tu n’es plus seule, puisque je suis là. Bien que je ne sois pas sûr que ce soit pleinement à ton goût.
L’attitude de Sekhmet ne trompait point. La voix qui se voulait fantaisie et bonne humeur devint sérieuse
Je vois ! Qu’a-t-il encore fait ? Bah ! On s’en fiche. Ce n’est qu’un Drow.

Seldnaufein se dit que cela ne marchera pas beaucoup : elle va s’énerver, c’était tout ce qu’il gagnerait.
Bon ! La bougonnerie, ça ne permet que de ressasser, ressasser et ressasser encore. Alors, que dirais-tu de descendre et boire un verre en réfléchissant à la meilleure méthode pour semer discorde et destruction sur cette cité ? Je sais que tu n’as pas envie de parler et que tu veux être seule etc.… mais je n’aime pas te savoir ainsi. Alors, on discute ?