[RP]Pépère, le rôle-play où l’on glande sévère.

Surprise de la présence de Varloth, elle voulut se retourner, ce que la chaîne empêchait de faire.

Tient Varloth ?

Dis moi, par nuit, tu entends le moment où le soleil se couche, le moment où de suis couché, ou le moment où je dors ?

Si c’est le 2eme et 3eme cas, ta parole ne fut tenue, j’ai dormi dans les bras de Vhaeraun après ceux de Zérar. Exagéra-t-elle. Et j’ai repartagé ma couche avec Zérar.

J'entendais le moment où tu dors, dit-il.

À la lumière de ce que tu me révèle, il est clair que c'est désormais moi qui seras cette prochaine personne : quand j'ai dis ça, tu ne dormais plus avec Zérar que je sache. Hors donc, puisqu'il se révèle que tu as dormi dans les bras de Vhaeraun, il est plus que temps que je respecte ma parole!

Et j'arrive semble-t-il, juste à temps!

Mais ah, les mots ne sont que des mots, il serait temps de passer à l'acte, non?, demanda-t-il. C'était une question réthorique, puisqu'il avait déclaré qu'il ne lui laisserait pas le choix.

Varloth, soit gentil, va jouer avec tes petits copains ou va faire une mission pour ton dieu, c’est bien ça aussi.
Tu n’as plus rien à respecter puisque tu n’as pas tenue parole au moment donné.

Il aurait pu se transporter auprès de son dieu quand elle fut convoquée mais il ne l’avait pas fait et cela s’ajoutait à la liste longue liste des choses qui ne fallait pas faire.

Je refuse, dit-il, sûr de lui Qu'il n'ai pu tenir sa parole le mettait en rogne, pusqu'il avait été sincère. Restant calme, il déclara : je choisis ça : rester avec toi. Et j'aimerais aussi te demander : Que désires-tu?

Je veux cette réponse, mais avant je voudrais aussi que Zérar nous laisse tranquille. Donc Zérar, laisse là, et pas de faux mouvement... Tu as dix secondes, pas une de plus, passé ce délais... Il ne finit pas sa phrase. Il avait gardé son calme en disant cela, mais la menace restait très clair...

Varloth croisa les bras, attendant la réaction de la féline, et de Zérar.

Zérar était sur le point d’exploser et de lâcher toute retenue bien que son visage était presque neutre, il eu plusieurs grande respiration pour calmer un instant ses ardeurs meurtrière. Les chaînes du génasi lâchèrent Sekhmet sans un mot il se tourna et sortit de la pièce par une porte situé non loin de Varloth, il ne dit pas un mot et ne fit pas un geste, un peut comme le feu qui couve…

Mouais. Il ne cherche même pas a rester, comme quoi il est loin d'être ce qu'il prêtant.

Dit-elle en baissant la tête et la secouant de lassitude.

Si tu me cherches, Varloth, je suis chez moi.

A vrai dire, Sekhmet n'avait pas de chez elle, à proprement parlé, elle avait un coussin au pied du trône de Vhaeraun pour faire la sieste et un des locaux qu’elle occupait.

Des fois, le meilleurs moyen de convaincre quelqu'un, c'est de le déstabiliser. Varloth avait essayé par des mots, et constatait une fois de plus que sa haine pour eux était amplement justifiée, puisqu'il était incapable de parvenir au résultat qu'il désirait avec eux...

Donc? Et bien il plaqua Sekhmet au sol pour l'empêcher de partir. Plutôt trivial comme manière, mais parfois, les choses les plus efficaces étaient aussi les plus simple. Et Varloth aimait de plus en plus la simplicité!

Se mettant sur les coudes, il regarda Sekhmet en souriant.

AAAARGGH! Lache moi où je mord!
Bon! Qu'est-ce que tu veux!

Faisant fi du brouhaha à l'étage, le prêtre descendit les escaliers et la tension monta à nouveau d'un cran dans l'assemblée. Il s'installa à une table qui venait de se vider au milieu de la pièce.
Il réfléchissait calmement à ce qui venait de se passer... La féline était caractérielle et déterminée., mais il avait corrompu les coeurs les plus purs, à force de temps et de patience.
Il pouvait bien se permettre de tâter le terrain avant d'attaquer plus sérieusement les choses...

"Tavernier, une bière frappée..."

Zérar descendit les marches de ses appartements et déboucha dans une ruelle de Luskan, il connaissait les lieux qui était sa cité de travaille principale, bien qu’il fit un crochet ailleurs il resté attaché au lieux de ses premier grand exploit, inconsciemment il finit dans les bas quartier marchant d’un pas colérique finalement il tomba dans un cul-de-sac et eu un legers sourire, il foulait se défouler, il allait être servit.
Quatre homme apparurent derrière le génasi armé d’épée courante et de simple armure de cuire.

"Aller ton or et on oubliera que tu à mis les pieds sur notre territoire !"

Le demi élémentaire se mit à rire, un rire à faire froid dans le dos.

"Ho que non … Vous êtes pas tombé sur un bon jours les gars …"

Zérar se retourna faisant craquer ses phalanges un regard rouge embrassé sous sa capuche, Il retira ses gants devant les yeux intriguer des bandits. Le premier visiblement plus hardis que les autres et voulut le trancher horizontalement, le génasi bloqua le coup à main nue faisant à peine couler le sang de sa main mutilé, tirant vers lui il attira l’homme lui saisit le poignet d’une violente torsion il le lui brisa et sous ses cris de douleurs il le tira violemment vers lui et de le frappa avec une hargne impressionnante, les deux force conjugué provoquèrent un craquement bruyant et très inquiétant, la tête du pauvre homme venait de faire un 90 degrés avec la mâchoire ballante.
Les trois autres hommes chargèrent avec force cris, le premier le premier voulus le fendre de haut en bas, le génasi esquiva d’un simple pas de coté et lui mit un upercute violent lui assénant un coup du lapin des plus respectables avant de s’écrouler au sol.
Un autre encore fit une attaque d’estoque que le génasi évita en faisant un quart de rotation sur sa gauche avant de projeté son coude droit sur l’arrête nasale de l’homme qui vit son quartilage pénétrer directement dans son cerveaux le tuant sur le coup.
Le dernier voulut fuir mais le demi élémentaire lui lança une dague dans un mollet le faisant tomber fasse contre terre, l’humain rampa lamentablement sur le sol, une jambe paralysé.

"Pi .. Pitié noble seigneur."

Zérar ricana et dévoila son visage.

"J’ai l’air d’un paladin ?"

"Ha ! un démon !"

"Mauvaise réponse !"

Le génasi le releva et luis brisa si violemment la nuque que le craquement sinistre raisonna encore dans les ruelles.

"Bon maintenant que je suis chaud … Varloth ?"

Le demi élémentaire se dirigea vers ses appartements déterminé à expliquer sa façon de voire les choses au drow qui pensait pouvoir le commander chez lui !

Varloth, l'espace d'une seconde, fut déstabilisé par la question, mais n'y chercha pas le moins du monde à y réfléchir ou à y répondre... Vu la situation, ce serait pire ensuite, surtout qu'il aurait besoin d'un discours pour y répondre.

Et puis... Lui même n'en savais rien!

Les solutions les plus efficaces sont parfois les plus simples... C'était devenu son credo, son leitmotiv, ces derniers temps. Autant continuer!

Pour toutes réponses, il assomma Sekhmet, d'un coup bien placé du tranchant de la main en un endroit précis, près de la tempe droite.
Il s'assura qu'elle respirait encore. On a beau être un spécialiste anatomiste, on n'est jamais à l'abri d'une erreur, et ce simple coup pouvait tuer s'il était mal exécuté.
Rassuré par la respiration lente et régulière, il ne l'avait qu'envoyée aux royaume des songes, il se releva pour la porter dans ces bras, façon jeune femme inconsciente dans les bras de son sauveur... Ou de son kidnappeur, ça dépends du point de vue!
Et puis... Jeune femme... Varloth savait qu'elle avait au moins 25 siècles d'existence, donc bon...

Bref, Varloth se téléporta une fois de plus dans sa cache. Il aurait put choisir l'auberge, mais il y avait au moins trois personnes dont il était sûr qu'ils l'aurait dérangé! A savoir : Elthen, qui comptait pour deux vu son talent, et Zérar.

Il la posa sur le majestueux lit à baldaquin qui occupait la chambre, avant d'administrer un somnifère à Sekhmet, histoire qu'elle dorme une bonne petite heure, et qu'elle se réveille de bonne humeur, pour éviter de finir en viande haché charale...

Il profita de son sommeil pour aller faire une petite chose dans son laboratoire d'alchimie avec l'herbe à chat qu'il avait pu récupérer. Sortant distilloire, ballon de verre, grain de carbone, il distilla l'herbe à chat, histoire de s'en parfumer. Sekhmet ayant l'air de vraiment aimer cette herbe, autant prendre une précaution de plus!

une heure plus tard, ayant fini, il reprit Sekhmet, pour l'emmener dans l'auberge. Il avait jugé pendant sa distillation qu'il serait mieux qu'elle s'y reveille, même si le risque d'être dérangé était assez grand. Il suffirai de prendre ses précautions.

Réapparaissant dans sa chambre, il déposa doucement Sekhmet dans le lis, puis il condamna porte et fenêtre par un champ de force, et interdit toutes téléportations. Il tira également les rideaux, afin d'éviter qu'un plaisantin ne s'amuse à les observer par la fenêtre.
Enfin, il se mit torse nu, avant de rejoindre Sekhmet. il se coucha près d'elle, lui caressant les cheveux et la nuque. Elle semblait sereine, et Varloth se permi un instant de détente à ses côté. Pouvoir se reposer tranquillement avec elle était assez difficile, mais ça valait la peine qu'on se donnait, surtout du point de vue de Varloth.

Le génasi remonta les marches et ouvrit la porte de sa chambre. Il s’était à peine calm. Au mieux c’était une mise en bouche. Quand il vit la pièce vide il donna un violent coup de poing dans le mur faisant tressaillire les chaînes qui y était accroché quand une petite voix s’éleva derrière le demi élémentaire. Lorsqu'il retira son poing, il pu voir qu'il avait légèrement abimé le mur, quelque fissure et lézarde partant depuis le point d'impacte. Il était si en colère qu'il ne sentait même pas la moindre douleur.

"Pas de bonne humeur à ce que je vois."

"La ferme Heldon!" répliqua sèchement le génasi.

Zérar ne se retourna même pas pour voir son contact principal, un halfelin harmonieusement musclé et très agile, même pour ceux de son peuple. Il portait un armure de cuire habilement assemblée, et reliée avec des attaches en argent.
Il portait un ceinturons de dague mais il était presque impossible de dénombrer le nombre d’armes cachées du petit homme.

"Si tu est en rogne j’ai exactement ce qu’il te faut."

Le génasi tourna à peine la tête vers le petit voleur. Il le regarda en plissant les yeux. Visiblement, il s'attendait à ce que le halfelin ne le déçoive pas!

"Parle."

"Une exécution, un témoin gênant planqué dans les bas fond avec une bonne douzaine de gard.."

"Où?"

"Trois rue plus bas une maison miteuse en rénovatio..."

"Mode d’exécution?"

"Il s’en fiche tu pourrait rameuter tout le quartier qu’il sortirait même pas de son siège."

"Parfait."

Sur ces mots le génasi sortit en bousculant presque le halflin.

"Et tu veut même pas s’avoir combien ?"

"Inutile. Je veux me défouler."

Zérar fulminait de plus en plus, et le départ de Varloth n'arrangeait pas les choses! Il l'obligeait à retourner le couteau dans la plaie en repensant à toutes les humiliations, dérangements, qu'il avait subit. On pouvait presque voir une flamme dans ses yeux.
Le petit homme se dit que l’on aurait du mal à identifier les corps, il n’avait encore jamais vue Zérar remonté comme ça et pourtant il avait piqué des crises des plus impressionnante. Heldon se demanda si on allait retrouver le bâtiment debout après son passage.
Le demi élémentaire se dirigea vers le bâtiment, une petite maison abandonnée avec les fenêtre condamnée par des planches. Un œil avisé pouvait remarquer quelques lumières entre les morceaux de bois.
Discrètement, il ne passa même pas par une fenêtre ou par le toit comme il l’aurait fait d’ordinaire, mais belle et bien par la porte principale en prenant soin de ne pas être découvert par les gens de l’extérieure. Mais il ne fit rien pour se cacher des gardes qui en restèrent bouche-bée.

"Bonsoir! C’est la mort en rogne!"

Le premier garde se prit Agonie en pleine tête. Grâce à son casque il fut juste assommé pour un moment. Dommage pour lui…
Dans la rue on entendais un bruit de bataille effroyable, les gardes hurlaient à la mort, le bois se brisait à l’intérieure, un garde fut tout bonnement défénestré avec une violence rare. Les badaud purent constater que le pauvre homme avait perdu la moitié de sa tête, un bras et la hanche gauche laissant apparaître ses organes internes.
Des craquements sinistres se faisaient entendre on voyait presque la maison se disloquer au fur et à mesure que le combat continuait, et c’était vrai : les poutrelles qui n’étaient plus neuve se brisait comme des brindilles.
Finalement le silence retomba. Plus rien. Puis dans un ultime craquement sonore la maison s’effondra littéralement sur elle même. Les gardes arrivèrent bien après la bataille et constatèrent l’étendue des dégâts.
Un halfelin dans la foule vit une grande ombre dans les ruelles et la rejoignit. Zérar portait sur son dos deux homme, l’un des garde et visiblement le témoins.

"Que vas tu faire d’eux ? Tu sais qu’il do…"

"Je sais. Mais ne t'inquiète pas. Il seront mort ou agonisant d'ici quelques heures, ou peut être jours … Loviatar seul en décidera…"

Sur ces mots le petit homme ne pu réprimer un frisson glacial, en voyant apparaître l’amulette représentant le symbole de Loviatar.
Les ramenant chez lui le génasi monta l’escalier et s’arrêta à mi chemin. Tapant du pied à six reprises, de manière différente à chaque fois, sur une marche et donnant un dernier coup de coude au mur, l’escalier « tomba » faisant apparaître une porte de métal sombre. La pierre était nue et quand Zérar entra son cœurs se gonfla d’allégresse, alors que l’effroid aurait pu étreindre le plus noble des chevaliers.
Des appareils de torture de toutes sortes, tous rassemblés dans une pièce de pierre nue, recouverte de chaînes inquiétante et parfois couverte de sang. Quatre « tables » de torture formait un cercle au centre de la pièce, permettant ainsi au Loviatan de torturer 4 personne en même temps. Sans compter les autres appareils. Personne n’entendit les cris de souffrance des pauvres hommes. Sauf une déesse plutôt heureuse de cette offrande qui dura des heures, des heures et des heures …

Marak vit sortir la bougresse, l'etait pas contente pensa t'il. doit avoir ses regles ou la menopause. Enfin un truc de bonne femme., il rendit l'objet a la chambre et descendit ou il vit le prete et alla taper la discute autour d'une biere :
Sont bruyant hein ? lui lanca t'il

Banni Nombre de messages : 158 Date d'inscription : 28/06/2006

Le Génasi avait disparu avec Sekhmet, puis Varloth, en fulminant, avait fait de même. Le conflit s’annonçait drôle et cela amusait beaucoup Seldnaufein. Le moment venu, il mettrait son grain de sel. Il sourit à la perceptive de cela, après analyse de la situation, bien sur.

Il descendît les marches tranquillement pour rejoindre la salle commune. Il y vit le Cyriciste. Ces types étaient réellement désagréables : Seldnaufein détestait leur chaos latent, cette prédisposition à la destruction aveugle annihilant sans rien reconstruire derrière. Mais bon, autant savoir les raisons de sa présence ici et le degré d’intérêt qu’il a envers Sekhnounette. Quelqu’un qui fait le pied de grue devant une porte de chambre où dormait précisément la femme ne devait pas agir ainsi pour la beauté des boiseries. Il y avait aussi le barbare, le genre de type là au mauvais moment et au mauvais endroit.
Il s’approcha donc des deux guerriers :
Bien le bonsoir, Messires, j’espère que le comportement puéril de mes fringants camarades ne vous dérangent pas trop dans votre séjour. J’admets qu’ils commencent à épuiser même ma patience. Fit-il en s’asseyant. Oh ! J’oubliais, je suis Seldnaufein.

Enchanter gars ma c'est Marak ! ho c'est pas grave pour le bordel, ca fait vivant dit t'il en rigolant.

L'Homme regarda un instant le barbare avec une certaine hauteur, il considérait les "gens" qui forgaient ainsi leur corps en dépit de leur esprit comme des pions malléables, tout au plus.
Il soupira en prenant une gorgée de sa commande, se montrant ostensiblement distant à l'égard de la montagne de muscles.

"Vivant... Oui, dans un certain sens, bien que je pense que d'ici la fin de leur séjour, l'auberge ne sera plus qu'un tas de cendres fumantes et de cadavres informes"

Tout en disant cela, il poussa de sa botte un poivrot imbibé qui se trainait au sol en vomissant ces tripes

Il se tourna ensuite vers le dénommé Seldnaufein qui lui paraissait beaucoup plus intéressant.

"Il est vrai qu'ils me font penser à une joyeuse bande de gamins... gamins qui auraient cependant des jeux bien plus sordides que la plupart des chérubins. Il faut bien que jeunesse se passe.Il sourit légèrement avant de reprendre Je suis Jer'len...Jer'len Da'ham'Pir"

Banni Nombre de messages : 158 Date d'inscription : 28/06/2006

Oh, la majorité de ces « jeunes » sont plus vieux que moi, et que vous, certainement, mais ne dit-on pas « la valeur n’attend point le nombre des années » ? Certes, mon mentor, dont je tairai le nom, disait aussi : « au-delà de la sagesse, la sénilité ».
Ah ah ah !
Au fait : que de redoutables personnes comme vous font dans ce patelin ?

Mademoiselle, un vin du Cormyr, je vous prie, et ce que désirent ces messieurs, ainsi qu’un jambon braisé et du pain. Je vous remercie.

Seldnaufein sortit sa pipe, la bourra de tabac, se leva et l’alluma à l’aide d’un morceau de charbon incandescent prit dans la cheminée avant de revenir s’asseoir :

Avez-vous choisi ? Fit-il aux deux guerriers.

Le prêtre acquiesca aux sages paroles de l'homme. Il termina sa bière avant de déclamer :

"Avoir les tempes grisonnantes ne rend certes pas vénérable... Croire cela, c'est avoir vieilli en vain."

Puis, en hochant du chef, il parût apprécier l'attention du dénommé Seldnaufein.

"C'est bien urbain à vous, mais j'ai tout ce qu'il faut dans ma chambre... Loin de moi l'idée d'être impoli, cependant je préfère manger en toute quiétude... Quand à ce que je fais ici, oh et bien, disons que j'ai pour coutume de ne pas me fixer à un quelconque endroit... J'erre donc et répand la juste Foi comme je le peux, c'est aussi simple que cela... Néanmoins, cette bourgade me semble des plus intéressantes, et je pense y rester quelques temps"

Banni Nombre de messages : 158 Date d'inscription : 28/06/2006

Seldnaufein releva un sourcil intrigué :
Juste Foi ? Paladin ? Vraiment, je ne l’aurai jamais cru… vu votre tenue, j’aurai plutôt estimé avoir affaire à un Cyriciste, de l’ancienne école bien sûr : les temps sont devenus plus que sombres pour ce culte, actuellement.
Mais bon, étonnant que vous ne tentiez pas de convertir tout le monde ici… Tout le monde sait que les humains imbibés sont plus… réceptifs aux sermons que ceux à jeun.

Le prêtre acquiesça lentement et prit une courte inspiration.

"J'ai dit Juste Foi... et je maintiens ces termes. Et la comparaison avec ceux que vous appelez "Paladins" n'est pas si erronée : comme eux, je sers un idéal... Seulement, le mien n'est pas qu'un ramassis de balivernes honteuses et sans aucun fondement, c'est quelquechose de plus "authentique" serais-je tenté de dire. Et contrairement à ce que vous pensez, le Culte se porte à merveille"

Il jeta ensuite un regard désapprobateur à l'ensemble de l'assemblée et claqua doucement de la langue.

"Tt...Tt...Tt... Vous savez, Seldnaufein, s'il y'a bien quelquechose qui révulse l'Unique, ce sont des loques telles que celles ci... Exemple concret"

Il attrapa alors calmement l'encolure miteuse d'un paysan voisin affalé contre une table adjacente et le traina sans difficulté jusqu'à lui, sans que ce dernier n'oppose de véritable résistance.

"Hein quoi ? quessispass ? *burps*"

"Leur réceptivité est, certes plus évidente... Et ils ploient facilement."

Il fit mettre un genou à terre au badaud et le maintint dans cette position sans vraiment forcer.

"Hé mais...t'vas m'lâcher oui ? *hips*"

"Mais aucune graine ne germe dans un esprit embourbé tels que les leurs... Je déclame ce que je pense haut et fort, sans aucune retenue, mais je tiens à ce que l'auditoire soit vif... "

Il lâcha soudain prise, et le pauvre hère s'étala de tout son long aux pieds du Cyriciste, son visage s'entaillant sur les éperons dans un frémissement sinistre.

"Aaahhh !! ..gloub... "

"Je n'aurais que faire d'une réunion de bras cassés sans cervelle. Nous verrons plus tard ce qu'il adviendra d'eux...à jeun"

Il suivit le paysan d'un regard amusé tandis que celui ci tentait de "s'échapper" en rampant...

Banni Nombre de messages : 158 Date d'inscription : 28/06/2006

Le demi-Drow s’adossa mieux avec un grand sourire :

Eh bien… Je me demande comment je dois réagir à cette démonstration : dois-je être impressionné ou effrayé ?... Amusé ! C’est cela.

Désolé d’avoir douté de l’état de santé du Culte de Cyric. Je pensais que la quasi-destruction de Château-Zhentil, ajoutée au fait que les adeptes du Dieu Fou sont chassés à vue par la totalité des dévots des Dieux humains… exceptions faîtes des Dieux qui se fichent complètement du destin de Cyric, tels Sylvanus ou Sunie, aurait été le début de la fin.

J’espère, au moins, que vous avez trouvé mieux qu’un ivrogne à convertir, ici ?

L'Homme plissa légèrement les yeux à la qualification "Dieu Fou", mais il ne sembla pas s'en offusquer, se contentant de hausser les épaules...

"Oh, tout les visionnaires sont considérés comme fous par leurs contemporains... "

Puis, le prêtre soupira longuement, trahissant un léger agacement, ou peut être une haine contenue vis-à-vis des responsables la perte du bastion de la Mer-de-Lune.

"Chateau-Zhentil... Oui, un regrettable cumul de malheureuses circonstances.
Mais encore une fois, toutes ces catastrophes ne furent l'oeuvre que d'ambitieux et jaloux déviants qui espéraient pouvoir s'accaparer les pouvoirs de l'Unique..."

Il fût pris d'un soudain ricannement moqueur, comme si le point qu'il venait de souligner était le comble de la stupidité.

"Chose qui, semblerait-il, soit loin d'être acquise. Certains l'ont finalement compris... Regardez Thay, bonne élève que je me plais à appeler "La fille ainée du Culte". Il ne se passe pas un jour sans que de braves gens ouvrent enfin les yeux et rejoignent les rangs de la vraie foi."

Il s'installa plus confortablement au fond de sa chaise, visiblement détendu.

"A vrai dire, je comptais surtout profiter de l'auberge pour obtenir un repos bien mérité après un dur labeur... Mais y'a t'il vraiment du repos pour nous autres... Ne vous inquiétez pas pour ces ivrognes, ils auront bien assez tôt compris où est leur place... Ou bien certains d'entre eux en feront les frais "

En disant cela, il tourna légèrement la tête vers la droite, fixant la garde de son épée qui reposait contre sa chaise.

POur ma part ce sera une autre biere fit t'il a l'aubergiste
en tendant sa pinte.
Sinon j'comprend rien a tout ce que vous dites etant donne que je connais pas. enfin bon j'etais dans l'armee avant, on se battait pour Khorne, dieu du sang, mot d'ordre "tue mutile brule", qu'est qu'on en a detruit des contree entiere. fin bon moi ce que je cherche ici c'est l'aventure.
Sinon impressionant ton truc mais pas assez sanglant je trouve. tu sais nous on avait pas de magicien chez nous, on aime pas la magie, pour ca ya tzeentch. et puis nous les mages, on est leur nemesis, en quelque sorte parce que on resiste surper bien a la magie quelqu'elle soit. J'etais tueur de mage avant dit 'il dans un grand sourire.

Banni Nombre de messages : 158 Date d'inscription : 28/06/2006

Thay ? J’ai passé une partie de ma vie sur Thay. Feu mon maître fut, comme beaucoup, victime de ses plans trop ambitieux et de l’envie de meurtre psychotique de La Simbule. Mais bon…
Et, par curiosité, que faisiez-vous, la fin de nuit dernière, devant la chambre de mon collègue Génasi ? Vous appréciez les demi-élémentaires ? Bah : les goûts et les couleurs… ce n’est pas mon genre, personnellement.

Il tourna la tête vers le barbare tandis que la serveuse apportait les commandes:

Il est vrai que les barbares ont une aversion innée à la magie qui les rend résistants. Mais pourquoi une carrière de tueur de mage ? Une mauvaise expérience dans votre enfance ? J’ose espérer que vous n’avez rien contre les Nécromants ou les prêtres

Il se coupa un morceau de pain et une tranche de jambon qu’il commença à déguster :

Hum ! Servez-vous, messieurs, ne vous gênez pas.

Bah c'etait mon role dans l'armee c'est tout, c'est parce que je suis particulierement resistant a la magie c'est pour ca. repondit t'il.
Sinon les necro fesaient parti des lanceur de magie pour nous, en fait tous ceux qui lance des sorts etaient mes cibles. Mais bon c'est du passe.
Enfin bon vaut mieux m'avoir de son cote, qu'en face mon gars. Faut pas croire, je suis fort certe, mais ma mort sait reconnaitre mes amis si je puis dire. dit t'il avec un grand sourire.

Jer'len prit un air détaché et répondit franchement au nécromancien curieux.

"Disons que j'ai senti certaines choses dans cette chambre et que je m'y suis intéressé... Et puis j'ai aussi eu l'occasion de dérouiller mes doigts en l'exerçant sur le mécanisme placé sur la porte, ce n'est jamais superflu."

Il écouta le "discours" du barbare et un sourire cynique s'incrusta à la commissure de ses lêvres.

"Khorne...Je ne connais pas cette personne... Mais il est évident qu'avec des dogmes pareils, aussi abouttis et complexes, il devait être redoutable... Plus sérieusement, vous vous rendiez compte combien vos "divines croisades" étaient insipides ? Il n'y aucun intéret à dispenser mort et chaos sans raison valable"

Un tel raisonnement pouvait sembler alambiqué pour un Cyriciste, tueur de sang-froid et sans remords de surccroit, mais il semblait plus approprié pour lui d'en venir au sang en dernier recours, ou en guise de représailles...

Banni Nombre de messages : 158 Date d'inscription : 28/06/2006

Ah ah ah ! Guerrier et voleur ? Vous avez beaucoup de cordes ainsi à votre arc ? Seldnaufein était d’une grande curiosité, normal, pour un mage. Vous avez senti quelque chose ? Pas un danger, j’espère… quoique… aurait fallu être fou pour essayer de mettre en danger les occupants d’alors. A moins que ce soit leur puissance… ou leurs objets peut-être. Bref, quelque chose a dû vous perturber.

Il but une gorgée de vin et tira sur sa pipe.

Hum ! Les croisades… Elles ne profitent qu’au tyran ou au fanatique qui les déclenche. Les soldats, eux, même du camp des attaquants, ne gagnent que mort, mutilation et, parfois, l’illusion futile qu’on nomme « gloire ».
On s’en contente…

Les croisade servait a deux choses pour nous : les territoires et les cranes des ennemis qui servaient a construire le trone de notre dieu du sang.
Sinon je sent les differente auras des personnes. Mais ca ne va pas plus loin. Sinon je suis un guerrier pur et dur. Un epee, voir deux, un bouclier, une armure et on rentre dans le tas. Et croyait moi je peux me permettre de rentrer aveuglement dans le tas parce que meme mort je peux encore faire des ravages mais la c'est secret, vous saurez ce qui se passe une fois que je serai mort dit t'il en rigolant.

Banni Nombre de messages : 158 Date d'inscription : 28/06/2006

Si c’est un secret, pourquoi le dire ? Fit Seldnaufein en rigolant. Ah oui : un secret est une chose qui ne se dit qu’à une seule personne à la fois. C'est pour cela que vou ne rentrez pas dans les détails : nous sommes deux ! Il faudra qu'on en discute seul à seul, à un moment. Ajouta-t-il, jovial.

Mademoiselle, un autre verre de ce vin : il n’est pas mal du tout.

Cayn tremblait de tout son corps. Du moins c’est l’impression qu’il en avait.
De toute part, des voix se faisaient entendre sans qu’il en comprenne une seule.
Les ténèbres l’environnant lui donnaient une impression de solitude, accentué par une angoissante présence. De plus en plus proche.
Comprenant que son vieux fou de maître avait trouvé le moyen de le ramener jusqu’à lui, Cayn voulu hurler mais il réalisa que c’est ce qu’il était encore en train de faire.
Presque résigné, il remarqua qu’une partie de l’infinie laissa place à un morceau de matière. Des planches, une table puis la profondeur d’un mur.
Luttant contre le phénomène, Cayn s’approcha de l’ouverture et réussit finalement à s’y glisser.
Cela eu pour résultat de le faire apparaître debout dans l’auberge, non loin de Seldnaufein et juste en face d’une table autour de laquelle était regroupée 4 hommes à l’air un peu paniqué.
N’écoutant que son ventre dans tous ses état , Cayn vomi sur la table avant de tituber en arrière et de s’écouler, le dos appuyé à la chaise de l’interlocuteur de Seldnaufein.