[RP]Pépère, le rôle-play où l’on glande sévère.

Varloth tendis l'oreille et entendit en effet une petite musique... Des années d'entraînement l'ayant endurci à ce genre d'enchantement, il ne fut pas affecté (HRP : de plus, c'est un elfe : immu au charme).

Il caressa le visage de la féline, et posa un baiser sur ses lèvres. Il lança ensuite un sort qui la protègerait de la mélodie. Sekhmet pu alors se sentir mieux, le mal de tête cessa aussi vite qu'il était venu. Si elle entendait toujours la mélodie, elle n'avait plus aucune prise sur elle.

Ca devrait aller mieux, lui murmura-t-il. Il se mit alors à caresser certaines parties du corp de Sekhmet, pour la détendre, et l'embrassant.

Elle rouvrit les yeux, lentement, soulagées du poids qu’avait le charme sur son esprit.

Merci. Je crois que l’on a oublié nos « nouveaux compagnons de route », j’ai peur que cette musique ne les ait affecté comme moi.

Dit-elle avec une douceur qui lui était peu commune, douceur inspirée de la tendresse momentanée de Varloth, elle sourit, se blottissant dans le creux de l’épaule, celle-ci lui servant d’oreiller.

Et là, nous somme tombé sur le mago à la retraite qui s’était trouvé une petite femme et c’était installé à la campagne….

Continua-t-elle sur le ton de la plaisanterie.

How! La campagne, à la surface, ne veut pas que dire guerre, comme partir en campagne. C’est aussi ainsi qu’on appelle les plaines cultivables chez les humains.

Varloth eut un doux rire.

Ne t'inquiète pas pour nos deux compagnons. Le chant venait de l'elfe blanc...

Maintenant que Sekhmet était détendue, Varloth cherchait à exciter son désir, toujours par des caresses expertes sur certaines parties de son corp. Puis il l'embrassa à nouveaux avant de demander : et si on continuait ce que l'on a commencé? Il appuya sa demande en caressant le cou de Sekhmet...

Invité

Elthen s'assit dans la grange, attendant une quelconque reaction dd'une quelconque personne. Mais surtout des deux crétins allongés dans la paille sans peur aucune des consequences, il soupira et emit un petit rire. Varlof venait d'apprendre quelque chose, et c'etait tant mieux pour lui. Mais maintenant, il fallait bouger.

" La famille est morte, le père est décapité, la mère a une chaine dans le coeur et les trois enfants se sont plantés des couteaux de cuisine au meme endroit sans sourciller. Que fait-on? Et si Felindiira nous expliquait la suite de son plan?"

Elle ne pu s’empêcher d’embrasser Varloth, d’un de ses baisers étranges et doux d’humaine, pas l’une de ses violentes morsures passionnelles et dévorantes, seulement un baiser tendre et sincère, chose qu’elle n’avait offert, dans son existence, qu’à un homme, si autant on peut nommer Nerzull ainsi. Mais, elle n’avait plus l’esprit à la bagatelle.

Cet Elfe blanc avait des qualités bien redoutables et bien que les caresses à la nuque l’empêchaient de se relever, voir même de dire : on passe à autre chose, ses pupilles en une simple fente reflétait sa subite inquiétude.

Surtout que ce même Elfe blanc venait de manifester son impatience .

HRp : comment ça Varloth va gueuler sur Elthen ?

Il savoura le baiser, un baiser comme personne ne lui avait encore donné. Il enlaça Sekhmet pour le lui rendre.
Mais il fut à son gout trop vite fini.
Varloth sentit alors l'inquiétude de la féline, et son changement d'attitude. Lui même se sentait passablement refroidis, et la présence de l'elfe n'arrangeait rien.

Il s'écarta de Sekhmet doucement, comme à regret. Il se rhabilla et se releva, libérant ses vêtements des épis de foin. Il fixa alors l'elfe blanc. Il 'en paraissait rien, mais ses pensées était assez contrariée, ce qui n'arrangeait pas le cas de l'elfe.

La patience... Ce n'est pas ton fort n'est-ce pas, dit-il calmement. Pressé de retourner combattre? L'elfe était dangereux conclut Varloth : il ne vivait que pour ça, et devait être à moitié fou, puisqu'aucun motif ne le guidait vraiment. Aucun objectif autre que le combat. Et il disposait de pouvoirs bardiques dangereux. Toutefois, il continua à arborer son air calme, même si un petit sourire vint pointer sur son visage. Varloth se tapota le menton, tout en regardant l'elfe avec un regard malicieux.

Question, enchaîna-t-il, pourquoi as-tu employé un chant de barde, assez puissant pour désorienter même les plus fort, je parle en connaissance de cause, tu n'es pas le premier barde que je rencontre, pour des gamins? Mettant ainsi en danger certains de tes compagnons? Tu est sans doute complètement stupide, ou simplement fou, peut-être même les deux, j'hésite. As-tu une raison de vivre ainsi?

Se doutant de la réponse que l'elfe ferait, et ayant lui même une petite idée sur la vérité, il ne le laissa pas répondre.

Toujours est-il qu'avec un comportement comme celui-là, nos bonnes relations risquent fort de faire une dangereuse chute. Tout en parlant, il n'avait esquissé aucun geste dangereux, pas même avancé ses mains sous son piwafwi vers la garde de ses armes. J'espères que tu ne commettra plus la même erreure, ce serait regrettable pour nous tous, je le crains.

Puis il se retourna pour aider Sekhmet à se relever, guettant une éventuelle réaction de l'elfe blanc. Le prétexte rêvé...

Invité

L'elfe blanc eclata de rire, et il fixa ses grand yeux dans ceux de son compère Drow avant de lui répondre, d'une voix calme et posée, nayant rien a perdre. En cet instant, il parut bien plus vieux et sage que depuis leur rencontre au horny horse...

" Pour te répondre, la patience n'est pas mon fort en effet, mais non, je ne suis pas pressé de retourner combattre, juste de bouger. Je n'ai pas envie de rester assis pendant une demi-heure et ce sans raison.

Quand a ce chant de barde... Tu te gourres. Ce chant ne peut mettre en danger personne directement. Si en revanche je donne un ordre, c'est different, mais je ne l'ai pas fait. Quand a la raison du pourquoi de son utilisation, c'est simple. Les gamins ne meritent pas que je me foule pour les tuer. Oui, je suis peut etre stupide a tes yeux, peut etre fou aussi, et si j'ai des raisons... Oui, mais tu ne les connaitras sans doute jamais si tu te bornes a rester dans ton monde, celui de ta soi-disant toute puissance qui te rend si fier. Voila la plus grande faiblesse des drows, leur orgueil... Tu ne comprendras jamais les motivatiosn de quelqu'un d'autre qu'un drow, car tu le prendras pour un simple faible..."

Il se leva d'un bond gracieux et soupira. Il venait de faire la lecon a ce drow, lui, un simple elfe, bien qu'elevé par les drows. Par ces paroles, il revelait un fait. Il ne pensait pas comme un drow... Cela lui rapella bien des choses.... Des longs voyages a travers le monde, des innombrables combats... Il avait voyagé ,c onnu beaucoup de gens et appris a comprendre ceux qu'il rencontrait... A cette epoque la, il avait fait tout son possible pour se debarasser de cette faiblesse, et il avait appris d'innombrables choses...

Il esquissa un sourire et lacha un dernier petit mot, un doigt sur la joue, et avec un sourire malicieux.

"... Ton orgeuil te pousse a penser que je suis fou, mais pourrais tu te vanter d'avoir tenté de comprendre cette folie?"

Sekhmet se laissa tomber de la paille à l’opposé de Varloth.

Une vieille phrase disait : le Destin se montre à celui qui ouvre les yeux. Et visiblement, le Destin ne voulait pas d’une quelconque relation entre la démone et le Drow.

Elle se rappelait des différents petits événements, semblables à celui-ci, qui s’étaient semés tout au long de ses 3 autres relations, qu’elle avait eu durant sa très longue existence, et toutes ces relations avaient très mal tournées.
Peut-être était-ce mauvais de se rapprocher de Varloth ? Peut-être qu’il était mieux qu’elle reste son professeur et rien d’autre. D’autant plus que leur séparation n’en serait que plus dure en cas de rapprochement.

Sekhmet écouta l’Elfe, elle aurait voulu dire : je crois que tu n’as pas le cran de tuer des enfants car, toi-même, tu en es resté un dans l’âme, mais le reste de sa leçon était tellement appropriée pour Varloth qu’elle ne voulut lui faire perdre du panache ou détourner la conversation sur un autre sujet que l’orgueil de Varloth.
Après tout, ce n’était pas par humilité qu’il s’était comporté raisonnablement envers elle, mais seulement pour ne pas la perdre: se retrouver seul en surface.

Oui, cet Elfe blanc était une merveilleuse trouvaille, il avait du cran et de l’intelligence.

Varloth fut intrigué et blessé par la réaction de Sekhmet. Pourquoi réagit-elle ainsi? Parant au plus urgent, il se retourna, vers l'elfe, et déclara:

Tu m'aurais sans aucun doute déçu si tu n'avais pas répondu ainsi. Sache que je suis un être raisonné. L'orgueil... La xénophobie... La suffisance... Ces traits de caractères typiquement drow... Sont méprisables. Et dangereux, comme tu l'as souligné. Ils nous font parfois ignorer une vérité flagrante... Nous font croire à une trop grande valeur de nous même.
Je me targue d'être débarrassé de tels traits de caractères, mais la nature de chacun est parfois plus forte. Aussi... Ta remarque était fondée, et m'est utile.

Il pris un air plus sérieux.

Bien des choses dépendent du point de vue sous lequel on se place. Ton chant de barde est dangereux. Et le plus grand danger, c'est justement lorsque celui-ci n'est pas direct! J'en sais quelque chose, souria-t-il. En effet, il utilisait ses sorts de la manière la plus originale possible... Et, souvent, un adversaire n'avait pas le temps de revoir son jugement sur l'utilisation étrange qu'il faisait d'un sort apparament inutile en combat. Ainsi, un drow arrosé d'eau créée magiquement ne comprend sa douleur que lorsqu'un cône de froid fuse soudain vers lui, le tuant sur le coup, souvent, sans qu'il n'ai rien put faire pour y résister... Car l'eau n'est pas magique!

Mon avertissement est donc toujours valable. Réfléchit bien la prochaine fois que tu veux utiliser un sort de ce genre.

Le féline s’assit sur un tonneau et tout en écoutant les protagonistes, elle s’enlevait les épis de paille des cheveux, les ayant rabattue devant-elle.

Varloth et son orgueil, il ne se rendait même pas compte que ses explications étaient gavées jusqu’à la bouche d’orgueil.
Calmement, elle prit la parole, toujours cheveux devant les yeux, vouvoyant l’homme qu’elle avait aimé pour reprendre une distance conventionnelle avec son élève.

-Vous voulez toujours avoir le mot de la fin, Sir Varloth, et cela est une faiblesse et une marque d’orgeuil.
Les plus fort ne sont pas ceux qui ont le dernier mot, les plus fort sont ceux qui se désengagent le plus vite et le plus subtilement d’une conversation.
Regardez Jarlaxle, dites lui un défaut, et il vous dira : oui, si vous le dites, j’y réfléchirais. Et souvent, la personne en face aura l’impression d’être insatisfaite même s’il s’est plié aux exigences de celle-ci.

La puissance vient des mots et de la façon dont nous les utilisons. Même si un diplomate est plus faible qu’un guerrier, le diplomate sera assez subtile pour ne pas être face au guerrier.
Et vous, messire Varloth, vous voulez imposez votre volonté à cet Elfe en ayant le mot de la fin.

Tss tsstss... orgueil et vanité! Mes pêchés préférés.

Par contre, vous avez parfaitement raison en ce qui concerne les pouvoirs de Elthen :
Petit adopté, méfie toi de tes dons. Ils sont puissant et peuvent se retourner contre toi. Ton sort m’a affecté, et si Varloth ne m’avait calmé, une folie m’aurait dévorée me poussant à tous vous tuer.

Elle mentait, mais s’était pour la bonne cause, elle n’avait pas envie de tomber sous l’emprise de ce musicien farfelu.

Varloth souri. Il répondit à Sekhmet simplement par : N'est-il pas? avec un regard plein de malice, concernant sa "fierté" et son "orgueil". Il connaissait parfaitement Jarlaxle, et savais ce qu'il aurait répondu bien sûr. Mais il avait voulu rajouter une petite touche personnelle. Quoique ce genre de plaisanterie soit également bien dans les manières du mercenaire.

[hrp]changement radical, certe, mais je me devais de trouver une excuse au comportement atypique de Varloth, du moins dans mon esprit.

Invité

Elthen haussa les epaules d'un air mystèrieux. On vaoyait de plus en plus qu'il n'etait pas celui qu'il laissait paraitre, et que, contrairement a ses dires, ce n'etait pas un jeune elfe. Il avait bourlingué de par le monde, et cela n'etait pas chose rapide ou meme aisée...

" Bien bien bien, que fait on?"

Il ne semblait pas avoir pris en compte les avertissements de la démone. Et pour cause, il savait déja ce qu'elle venait de lui dire. Le pouvoir attire le danger, lui avait maintes fois répété son maitre... l'homme qui lui avait appris a manier une epée et a comprendre cet art si profond qu'etait la musique.

Varloth examnina ses possibilitées en vitesse :

Attendre? Si on reste ici, les autres paysans risquent fort de nous tomber dessus.
Les attaquer? Il ne restait plus assez de temps avant l'aube. Ils allaient bienôt se lever et retourner au travail.
Partir? Oui, c'est encore la seule solution, mais où et pour faire quoi?

En forêt, elle n'est pas loin. On pourra y monter un campement, pour attendre la suite des énvènements tout en observant ce que feraient les paysans. Mais avant il fallait maquiller les preuves, que seules celles qu'ils désirent y soient.

Il va falloir nous occuper de ses paysans, dit-il. Si on les laisse comme ça, il pourraient malgré tout réussir à trouver les vrais coupables... Et il faut aiguilloner les aventuriers que l'on veux piéger là où on le veux.

Je vais vous apprendre ; peut-être ou peut-être pas, l’art si particulier de la mystification.
Enfin… dés que j’aurais réussit à enlever ces #*µ= » d’épis de mes cheveux Grrnnnn !

Dit-elle en s’acharnant sur sa tignasse ondulée couleur feuille d’automne.

Miiiiii wwww…. J’arriiiiiive pas tout seuuule ! Gémit-elle, plaintive en trépignant des pieds, mélangeant désespoir et crise de rire contenue.

Avant qu'elle n'ai pu protester, Varloth décida de l'aider. Il voulait aussi voir sa réaction. Il esperait qu'elle ne le repousserai pas une fois encore, car sinon, il ne comprendrais absolument plus rien du tout!

Laisse moi t'aider, dit-il simplement. Passant ses doigts fins dans ses cheuveux, il commença à retirer délicatement les épis de foin qui parsemaient sa chevelure.

Elle aurait du l’envoyer promener avec ardeur et rudesse, mais cela aurait fait pire que mieux. Il se serait braqué et le but n’était pas là, il fallait que chacuns d’eux reprennent sa place.
A vrais dire Sekhmet ne savait pas trop ce qu’elle voulait, elle le laissa donc défaire les épis dans un plaisantin :

-Mon sauveur.

Elle se mit à parler, bougeant les bras et sa longue chevelure hirsute devant le visage lui donnait un air de cousin machin de la famille Adams

Bon, revenons au plan. Le but est d’attirer la milice, ici, en faisant croire que c’est les p’tits gars engagés par ce Miroku qui sont venu, ici, pour s’amuser.
Mwouaiie.. vous me tirez les cheveux, là; Vvrrrraie...

En vérité, sentir passer les doitgs de Varloth, dans ses cheveux, était des plus agréable mais, il fallait mieux qu'elle râle plutôt qu'elle ne ronronne.

Hum... Varloth n'était qu'à demi-rassuré par le comportement de Sekhmet. Il s'efforça de déméler ses cheveux plus doucement, mais certains épis étaient vraiment bien emmélé!

Il écouta à moitié ses paroles. Il se sentit comme trahit, piégé. Il avait l'impression que ce qui se passait, Sekhmet l'avait prévut, et voulut. Qu'elle avait abusé de la confiance, pas aveugle, mais presque, qu'il lui avait donné.

Et comment puis-je dire ça? Se demanda-t-il. Certe, je suis méfiant, mais cette affection doit y faire. Il essaya de reconsidérer la situation d'un point de vue logique et raisonné.

Elle a commencé à être comme ça lorsqu'elle se fut un peu calmée, songea-t-il. Il songea alors à ses paroles peu avant. Tu me manqueras, avait-elle dit. Et elle aussi lui manquerait. D'autant que Varloth avait le pressentiment que Vhaeraun la renverrait bientôt.

C'est fait! finit-il par dire. C'est allé plus vite que je ne le pensais...

Varloth s'éloigna un peu pour réfléchir.

Etait-il possible qu'elle agisse ainsi à cause de ça? se demanda-t-il. Possible... Varloth sût alors pourquoi les elfes noirs réprimaient leur affection : avec ces sentiments, on était en proie au doute, et il était impossible d'être sûr de quoi que se soit.

Que faire? Que dire?

...

Appuyé contre un mur, il continua de réfléchir, enveloppé dans son piwafwi.

La démone avait remit ses cheveux en arrière et regarda le Drow s’éloigner, boudeur (?)
Quel gamin songea-t-elle en prononçant : Merci! tout de même!

Ce fut avec un air de général révisant ses troupes, ce qu’elle savait très bien faire, qu’elle commença à s’expliquer son plan, faisant des allés- retours dans la grange :

Donc, le meilleur moyen de faire de fausse accusation, c’est de créer des indices.
Vous avez tué quelqu’un avec la chaîne? Mauvais plan, il faut camoufler cette blessure par celle faite par une dague, idem pour les enfants !
Il faut aussi défoncer des meubles et le plancher : ils ont avec eux un génasi de Pierre !
…..

La féline s'arrêta, devisageant le Drow, et déclara, sarcastique
C’est fou ce que les hommes changent quand ils n’obtiennent pas ce qu’ils veulent !

Haa, une petite provocation pour le faire réagir... Le faire bondir et revenir à la réalité.

Varloth avait écouté sans vraiment écouter. Il avait retenu ses paroles, mais les avait temporairement mis dans un coin de son esprit.

Il ne savait que penser, et pour le moment il préférait ne pas trop le faire. Tant qu'il ne serait pas un peu plus sûr de lui. Il aurait bien aimé demander à Sekhmet, mais il ne pensait pas qu'elle lui répondrait...

Mais sa dernière phrase était on ne peu plus clair quant à ses intentions! Mettant ses sentiments de coté, il les analyserait plus tard, il revint au présent :

Ça ou l'inverse, dit-il, énigmatique.

Puis, il se reconcentra sur leur plan. Il reprit son air habituel, tant bien que mal malgré tout, et dit :

Un génasi de pierre...

Et qui donc se chargera de s'occuper de défoncer la porte, les murs et le plancher? Je peux souffler le toit avec une boule de feu. Après tout, ils ont aussi un gnome amateur d'explosion. Si les gardes croient qu'ils ont réitéré l'exploit de cet après midi, ça n'en confortera que plus leurs apparente culpabilité.
On peux camoufler les traces de chaîne par des coups d'épées. je me souviens d'un épéiste aussi.

Pour les enfants, ça peux se rattraper, pusiqu'ils se sont planté un couteau de cuisine. Un seul ennui, je ne me souviens pas d'un mage, alors comment expliquer la mise en scène? Car déplacer leurs cadavres ne suffira peut-être pas.

Et... il reste encore un ennui, les gardes nous ont vue passer par la porte. Il va donc falloir que l'on se dépeche : je soufflerais le toit en dernier, puis nous devrons courir, affolés, vers la porte sud, appelant à l'aide. Les gardes nous connaissent, on leur dira que des fous ont tués une innocente famille de paysan de la manière la plus atroce. Ils nous hébergeaient, et n'avons eut que le temps de fuir.

Se rappelant d'un "détail" : et il reste Yazston. Il faudras que je lance une illusion pour lui donner une apparence humaine.

Hum..
Sekhmet leva les yeux au plafond, tapotant de son index son menton, mimique typique qu’elle avait quand elle réfléchissait.
Bonne idée, mais je crains qu’il nous veuillent comme témoins. Et cela nous bloquera.
Plusieurs choix se proposent nous pour les gardes:

Mais le meilleur, c’est de disparaître quelques heures en plus.
En considérant que l’on devait « désenchanté » notre collègue de travail, il nous a fallut plusieurs heures, heures durant lesquelles ces paysans furent attaqué.

Après, si l’on rentre par la porte sud, nous pouvons donner l’alerte.

Elle se mit les deux mains sur les joues, prenant une mine de terreur, elle dit :
-hoooo par myyyystra ! Hoooo par les dieux ! Il y a … c’est hoooorrible ! Hooo venez donc voir !!!! Même les enfaaannts ! Comment est-ce possible ? Hooooo ! MUhahahahaha.
Avant de finir dans un rire fou mais son esprit à elle aussi était ailleurs....

Ca ou l’inverse, que s’imagine-t-il ? Ho, peu importe…. Elle ne pouvait s’empêcher de repenser aux mots de Varloth, il devait déjà s’imaginer qu’elle l’avait manipulé. Crétin de mâle, tous les mêmes. Qu'est-ce que j'espérais? Peut-être même que tout ses paroles n'étaient que du bluffe pour m'avoir à sa botte!! Elle reprit son calme, bien qu'elle avait envit de broyer des os. Il fallait qu'elle sorte

Sur ce, messieurs, je vous laisse, je dois faire pipi ! Et oui ! Le corps d’un vivant à ses inconvénients. Réfléchissez à des idées!
Dit-elle en sortant de la grange, ses bras croisés derrière sa tête.

Bon... je vous laisse, dit-il à l'elfe et au génasi, je monte sur le toit. Avertissez moi quand vous en aurez fini ici, que je le défonce.

Il se téléporta alors au dehors. Mais pas sur le toit, seulement près de Sekhmet. Fort heureusement, elle n'avait pas commencé à faire ses besoins. C'aurait été plutôt mauvais pour Varloth.

Désolé de te déranger dit-il, mais je veux te parler. Je veux savoir ce qu'il te passe par la tête. Je ne comprends plus rien. Pourquoi agis-tu ainsi? Est-ce, comme je le pense, parce que tu ne veux pas que je m'attache trop, ou quelque chose du genre?

Le ton de Varloth, sans qu'il ne s'en rende compte, s'était fait presque suppliant. Se reprenant il attendit fermement, les bras croisés, une réponse. Cette affection était décidément difficile à contrôler, il avait des progrès à faire de ce coté.
Prenant conscience du véritable massacre qu'il voait dans la pièce, il réalisa que c'était Sekhmet la responsable... Et lui, indirectement, il en était sûr. Il adressa un regard presque effrayé à Sekhmet :

Qu'ais-je donc fait pour mériter ça? à Sekhmet : Je ne comprend pas... Expliques moi. Ces sentiments sont nouveaux pour moi, je n'y comprend rien! Je doute à ce sujet sans savoir quoi faire! Je... je... Même quand j'essaie de me raisonner, ça dépends toujours de quelque chose que je ne comprends pas...

Il sentit son esprit s'emballer à nouveau, précédant une vague de panique qui lui coupa presque les jambes; il s'assit donc sur la seul chaise encore épargnée par la fureur de Sekhmet, et déclara comme pour lui même : J'aurais préféré que, tout ça soit une vaste comédie... Au moins comprendrais-je quelque chose.

Ou est-ce parce que je réfléchis trop? Gémissant, il se pris la tête dans les mains. Il essaya de calmer les battements de son coeur, qui s'étaient accéléré comme s'il combattait quelque horrible monstre...

Invité

Et elthen commenca sa besogne joyeusement, bien que certaines questions restaient sans réponse dans son esprit. Oh, rien de très important, juste des interrogations sur cette histoire de Miroku...

Il s'avanca et planta un couteau dans le dos de al femme au sol, cachant par le meme mouvement la blessure causée par la chaine. C'est alors qu'il se mit une nouvelle fois a courir vers les chanps, recupera sa lame et retourna vers la grange, défoncant en grande pompe la porte de celle ci.

Il etait enervé. Il ne savait pas pourquoi mais il fallait désespérément qu'il se défoule. Il avait eu l'habitude qu'on le prenne pour un idiot, c'etait ainsi prévu par ses plans, mais il commencait a se lasser de jouer ce petit jeu stupide. En faisant turnoyer sa lame, il entaillait profondément les murs, se modérant un peu de peur de casser quelque chose.

Il entra dans la maison, et plus precisement dans le salon, enervé comme jamais il ne l'avait été et defonca de toute sa force tous les meubles, fiasant de grands trous dans les murs et detruisant absolument tou dans son passage, le tout dans un vacarme assourdissant. Mais Ils etaient trop loin d'un quelconque poste de garde pour qu'on s'en appercoive.

C'etait pour l'elfe une occasion de penser un peu a tout ce qui arrivait, a tout ce qu'il avait fait et a tout ce qu'il ferait... Son esprit etait un peu en désordre ces derniers temps...

"AAAAAAAAAAAAAAAAAHHH!!!!"

Il hurla un grand coup et frappa de toutes ses forces dans le mur de l'arrière de la maison. Ce mur explosa et un grand trou apparut, laissant voir un Elthen totalement calmé, dans un etat proche de la béatitude.
Il s'etira un grand coup et bailla...

La technique Drow est de loin la meilleure.
-Varloth ?
Par réflexe il redressa la tête et se mangea une gifle magistrale, digne des plus puissantes guerrières drow, le faisant valdinguer à travers la pièce.

Elle le regardait avec mépris.

Tu es un mâle Drow, adepte de Vhaeraun, et vous êtes les seuls mâles à avoir des « couilles » dans votre peuple. Alors, arrête donc tes caprices et soit digne de ton dieu, tu te comportes comme un jeune mâle elfe découvrant l’Amour.

Oui, l’Amour, c’est une notion complexe qui est à l’origine de pratiquement toutes les guerres dans le monde.
L’Amour est la force la plus puissante.
Mais, je ne parle pas de cet amour de béotiens stupides que sont les romantiques. Je te parle de cet Amour qui force un homme a détruire son peuple pour une femme, l'Amour qui pousse une femme a tuer son époux par jalousie, je parle de cet Amour rouge sang, le vrai Amour. Regarde ton état et tu me comprendras.

Votre peuple, puissante nation, fut banni sous terre à cause d’une histoire d’Amour. Araushnee trahit Corellan qui l’aimait, il l’a punit, elle et son peuple.
Vhaeraun est leur fils, il connaît parfaitement la puissance destructrice de l’Amour et quand un adepte de Vhaeraun veut quelque chose, il le prend….

Un énorme brouhaha coupa Sekhmet dans son explication. (HRp : destruction de la salle principale par Elthen,)

Je ne suis pas la seule à être de mauvaise humeur.

La gifle et les explications furent comme un coup de fouet pour Varloth. Il compris enfin ce qui le tourmentait, et il vainquit enfin son doute. Il avait compris en effet... Les idées remises en place, il sut enfin quoi faire. Ca lui paraissait si évident. Il pris soudain conscience de sa fatigue. Il ne s'était pas reposé depuis plusieurs jour. Ce n'était pas ses moments d'inconscience qui compensaient cela. Et d'ou venait son doute? se demanda-t-il soudain. Ma fierté. Elle fut encore la coupable, une dernière fois, de ses èrements : cette fierté qui le poussait à croire en rien ni personne sinon lui et son intelligence. Et à persister dans ces erreurs.

Cette fois-ci, c'est la dernière fois! Se dit-il. La dernière des dernières.

Merci. J'ai un début de réponse. Il se releva.

Il souria. Se rapprochant de Sekhmet, il lui caressa le cou pour la calmer, avant de l'embrasser.

Puis il dit : Je veux la vérité, dit-il, le regard dur : pourquoi agissais-tu ainsi à mon égard?
Mais avant, j'ai deux trois choses à mettre au clair avec un certain elfe taré. La colère avait commencé à poindre dans sa voie. Quand j'aurais mis les choses au clair avec cet abruti congénital, à la pointe de mes dagues s'il le faut, tu m'expliqueras!

Il sorti de la pièce pour retrouver l'elfe, et lui "expliquer" son point de vue : Je te cherchais, lui dit-il. Je viens de prendre une décision, car tes interruptions, alors que j'essaie de discuter avec ma compagne, commence à m'exaspérer au plus haut point. Tes interruptions me font penser à un enfant humain qui surgirait devant ses parents à chaque fois qu'ils essaient d'avoir un peu d'intimité. Donc, soit gentil et VA JOUER DANS LE JARDIN ! Une heure de tranquillité, je ne te demande qu’une heure de tranquillité, juste histoire que je puisse discuter avec elle! Ton insistance à interférer va finir par me faire croire à que tu es jaloux! Explosa-t-il. Il ajouta, d'un ton doucereux : et tu ne voudrais pour rien au monde que ce soit le cas, dit-il. Crois moi. Je ne me répéterais pas. La prochaine fois, ce seront les armes qui parleront pour nous.
Alors récapitulons : tu arrêtes de nous déranger dans notre intimité, et tu ne t'en porteras que mieux. J'ai dis.

HRP : voilà, Varloth perds son calme^^

Sekhmet en oublia sa colère, s’appuyant contre un mur au fond de la pièce, elle gloussa de rire aux propos de Varloth à l'égard de l'elfe.

-Je crois qu’il serait bon de lui laisser la maison pour se défouler. Et nous, nous nous retirons dans la forêt, en plus je meurs de faim… et je commence à avoir sommeil. je ne tiendrais bientôt plus debout.

Elle bailla, se laissant tomber au sol, glissant le long du mur, pour s'asseoir au sol. Elle se sentait enfin en sécurité, Varloth devenait un mâle fort et non ce chaton joueur et hésitant qu'elle avait croisé au tout début de leur rencontre. La féline ferma les yeux, écoutant les mots du Drow qui à ses oreilles étaient semblables au puissant rugissement d'un lion dominant la savane.

Varloth acquisça.

Une bonne idée. Il se dirigea vers Sekhmet, et lui tendis son bras, galament. Après tout, quoi qu'il arrive, Varloth est un elfe noir, se targuant de rester le plus sofistiqué possible dans toutes les circonstances.

Nous passerons prendre une vache dans la grange avant d'aller en forêt, lui dit-il.

Il la conduisit dans la grange, choisi une vache dodue, la tua rapidement, puis, posant sa main inoccupée (l'autre est au bout du bras qui "conduit" Sekhmet -HRP^^-) sur le cadavre, il "sautèrent" au travers des ombres pour se retrouver en forêt.

Enfin tranquille.

HRp : hahaha ! Rp efficace. Comment faire 36 actions en 2 phrases

Enfin tranquille !
Elle s’écroula sur le dos dans l’herbe fraîche de la clairière.

Et là, des adeptes d’Ellistraée nous tombent dessus. Hahahaha.
Rit-elle doucement.

J’ai mal partout, enfin, surtout aux pieds, à force de marcher et si toi, elle ne oublia de le vouvoyer, tu as pu un peu te reposer, sache que moi, je passais de client en client pour payer ta chambre !!

Elle arrêta de secouer sa main pour laisser retomber son bras mollement dans l’herbe.

En plus, mis à part avec Zérar, je n’ai même pas pris mon pied !!

Si tu as mal partout, je peux au moins arranger ça, dit-il.

Il commença donc à la masser afin de détendre et soulager ses muscles endoloris.

Et si tu veux prendre ton pied, je peux ausi arranger ça, si tu me le permet, dit Varloth en souriant. Sinon, je me contenterai de te masser, et de te laisser dormir.

GRrrr.
Tu m’énerves à te comporter comme un petit mâle soumit aux femelles.

Grogna-t-elle.

Tu te sens vraiment toujours obligé de demander la permission pour tout ?

Elle le repoussa d’un violant coup de pied.

Sale petit cancrelat.

Sekhmet le provoquait pour qu’il attrape enfin un caractère assuré.

Ilharess(cf drow: matrone)... par ci... Ilharess... par là! Male pour les harems des Ilharess!

Très bien! répliqua Varloth. Dans ce cas, je ne te laisse plus le choix! Cette fois-ci, il s'alongea sur Sekhmet pour l'embrasser, la caresser, comme dans la ferme avant qu'ils ne fussent interrompu. À vrai dire, il attendait qu'elle le provoque ainsi!

Et cette fois-ci, personne ne les dérangerait.