[RP]Pépère, le rôle-play où l’on glande sévère.

Son visage ne bougea pas, mais ses pupilles se tournèrent vers Varloth, Sekhmet sentait une pointe d’agacement dans sa voix, l’avantage de bien connaître une personne.

Elle se recula et rejoint son Drow pour poser sa tête sur son épaule, toujours comme un gros tigre, telle la Guenhwyvar personnelle de Varloth.
(HRP : je viens juste de faire le rapport mais… c’est troublant, comme rapport ? lol)

Invité

"attends, tu t'incrustes et tu adoptes notre plan? Va mourir!"

Il posa la main sur la poignée de son enorme epée, sans pour autant bouger. Il attendait de voir si Varlof ferait lui meme un mouvement.
Il n'esperait pas un combat contre le genasi. Il etait dur de décapiter un de ces... trucs avec un sabre

Attends donc d'entendre sa réponse, mon abbil, je suis curieux.

Varloth fut toutefois passablement appaisé par Sekhmet, qui l'avait, une fois de plus, agréablement surpris. Reconnaissant, il lui gratouilla le cou pour la remercier.

Ce qui ne l'empêcha pas de rester vigilant, la main sur la garde sur son épée courte, sous un replis de son piwafwi.

Eh bien? dit-il au génasi.

(Hrp : et Varloth va arrêter de fayoter avec Sekhmet !!! Si ça continu, tu vas nous faire de la poésie !)

Vrrrrvrrr vrrr vrrrr vrrrrrrrrr

Comme à l’accoutumée, les caresses engendrent les ronronnements alors qu’elle se positionna dans le dos de Varloth, toujours, menton toujours sur son épaule, cette position permettant au Drow de dégainer et fondre plus rapidement sur sa proie.

Vrrrvrrrrvrrrr. Il caresse bien, c’est pour cela qu’il est mon maître. vRrrrvrrrrvrrrr… lui il ne me tord pas le dos sois disant pour exacerbé mes sens… Vrrrvrrrvvvrrr....

"Ho je t’en pis toi tu m’a carrément jeté dans un lac gelé c’est bien pire que ce que je t’ai fait subire."

Le génasi réfléchie un instant, il n’avait vraiment pas de réel raison de suivre ce petit group, c’était une envie rien de plus.
Zérar avait un avantage si les choses tournaient mal, ses chaînes avaient une bien plus grandes allonge que les armes des deux autres, enfin il préférait ne pas en arriver la.

"Pourquoi je vous suis hum ? Il me semble avoir était claire, et puis je suis étonné qu’un elfe serviteur de Lolth suive un drow serviteur de Vhaeraun.
Sinon je peut tout bonnement vous dire que je m’ennui et que je cherche des distractions, hors vous semblez bien partis pour relancer les affaires, je connais bien cette ville et je suis peut donc me montrer utile pour vous … On peut appeler ça faire des bénéfices mutuels."

Le génasi se demandait bien comment allait tourner les choses

Tu souhaitais être dominé, tu le fus. Le seul moyen que j’avais de vraiment te dominer était de t’affaiblir. Et puis... il ne faut pas frapper une femme, même avec des rose.

Dans sa bouche, ce proverbe sonnait extrèmement faux et surtout ... il était peu approprié.
Sous les gratouilles, elle planta ses crocs de contentement dans le cou de Varloth, passant ses bras autour de la taille de celui-ci.
Elle laissait la décision à Valoth et Elthen, elle savait que les deux prendraient une décision commune.

Varloth frissonna de plaisir, tout en réfléchissant.

Ce génasi avait l'air dangereux... Ça pouvait donc à la fois être un atout et un inconvénient...
Il serait sans aucun doute un précieux allié au combat.
Mais il devrait, s'il acceptait finalement qu'il se joigne à eux, mettre les choses au clair, concernant Sekhmet, entre autre.

Il lança au génasi un regard inquisiteur... Il ne devait pas avoir tout dit. D'ordinaire, les adeptes de Loviatar se soucient surtout de souffrir et de faire souffrir... Or il devait bien se douter que ça n'allait pas être leur occupation principale, même si ce soir, ils allaient sans doute faire un massacre parmi les paysans. Il devait y avoir autre chose. Dans l'esprit de Varloth, il était difficilement concevable qu'on se joigne à quelqu'un uniquement par ennui. Il y avait toujours quelque chose derrière. Mais quoi?

Tu parles de bénéfices mutuels. Et quels sortes de bénéfices entends-tu engranger?
Et si tu veux vraiment faire du bénéfices mutuels, comme tu dis, seras-tu seulement capable d'égaliser ce que tu recevras? Car soit bien conscient que si ce n'est pas le cas... Tu risques fort de le regretter.

Varloth toujours caressant le cou de Sekhmet repensa au mercenaire, étrange, bouillonnant d'énergie, mystérieux, particulièrement doué pour entretenir des relations favorisant les bénéfices mutuels. Si Bregan d'Aerthe était aussi puissant dans une matriarchie telle que Lolth, à Menzoberranzan, qui plus est, ce n'était pas par hasarde. Le mercenaire et lui seul était responsable de ce succès, ses acolytes n'étant en fait là que pour l'aider à accomplir ses plans souvent grandiose. Il songea aussi que ses années sous sa tutelle lui furent très utile. Comme maintenant.
Fixant des yeux le génasi, l'air calme et détendu, il attendit ses réponses.

Ce drow réagit de plus en plus à ma présence… Commencerai-je à avoir de l’ascendance sur lui ?

Songea la femme-felin, yeux fermés, en ne démordant pas, au sens propre.

Après tout, boulot et loisir, les deux font bon ménage, c’est une idée de patron de les séparer. Je réfléchie trop et en plus à des futilités, plus de coucherie avec des Drows, ce n’est plus de coucherie avec des Drows!
Ca ce passe toujours bien au début et ça finit en catastrophe.

Elle desserra les dents et par réflexe ou gourmandise, elle lapa mollement les fins filets de sang que sa morsure avait commise.

Varloth eut sa concentration ainsi brisée par Sekhmet, et ne réussit à rester impassible qu'avec de grands effort.

Hem!.. Pas très confortable comme situation... Souhaitant en finir avec le génasi, il eut une idée, soudainement, il dit, en gratant le cou de Sekhmet, inlassablement :

Bon... Je n'ai pas le temps d'attendre que tu réfléchisse à ta réponse. Je te charge de lui poser encore deux trois questions dit-il à l'elfe blanc. Et de me rapporter plus tard ses réponses. Si Sekhy veux bien me suivre, nous irons commencer la chasse..!

Accessoirement il pourrait reprendre ses esprits, enfin il l'espérait-il en tout cas.

La chasse à la vache ! Chic !

Sekhmet retira sa tête, à regret, et suivit sagement Varloth en lui soufflant :

Il y a un risque de laisser ces deux là ensembles, s’ils se connaissent, mais c’est un bon point que tu accordes ta confiances à cet Adopté.
Etrangement, peu importe les civilisations, quand on accorde sa confiance l’autre la rendra.

Déclara-t-elle, comme une philosophe, en tapotant de l’index sur son menton.

La grange, c’est par là, Varloth et avance en douceur, si le chien aboie trop vite, l’effet de surprise sera annulé.

Varloth acquiesça.

Il s'interrogeait maintenant sur ses pensées de tout à l'heure... Il ne supporterait pas de voir Sekhmet contrôler par quelqu'un d'autre... De la jalousie? Mais pourquoi? De toute manière, Vhaeraun finira bien par l'envoyer ailleurs! Il fallait se résigner... Mais se résigner à quoi?! A la laisser partir? Pourquoi avait-il seulement besoin de se résigner?

Varloth se passa une main sur le front, et décida de ne pas trop y penser... il ne comprenait pas pourquoi il avait de telle reflexions.

Mais peu importe! Maintenant, c'était l'heure de la chasse! Et il y avait un temps pour tout!

Ca me changera les idées, tiens, décida-t-il. Voilà qui tombe plutôt bien. Il obersva la grange, et se demanda comment y pénétrer sans alerter le chien trop vite. Utilisant son infravision, il vit le chien près de la porte, couché et apparament en train de dormir, au vu de sa respiration lente et régulière, ainsi que la température de son corp.

Suivi de Sekhmet, il entra donc discrètement dans la grange par une fenêtre entrouverte. Le chien dormait toujours...

Varloth, je sais que ce n’est pas le moment, mais qu’est-ce qui ne va pas? Tu n’es pas du genre à transpirer, donc quand tu passes ta main sur le front c’est que quelque chose ne va pas.

Sekhmet avait profité du moment où il passait par la fenêtre et qu’il n’était pas sur ses gardes vis-à-vis d’elle pour lui faire un croche-patte et le mettre à terre. A présent, elle s’asseyait sur lui pour l’immobiliser.

Ta cheville te fait encore souffrir? C’est ça?

Elle appuya fortement sur le membre en question pour vérifié d’elle-même.

Désolée de te traiter ainsi, mais t’es du genre à faire parler les gens mais à ne pas leur parler en retour. Donc, qu’est-ce qui ne va pas?

Elle attrapa l'une des mains du drow et la renifla.

Je te sens bizarre, même ton odeur semble plus acide, enfin, quelque chose te stresse, quoi ? Tu as un mauvais pressentiment ?

Invité

Elthen se placa devant le genasi, un sourire etrange sur les levres.

"Ainsi donc, toi aussi tu recherches la distraction... Mais il n'y a pas que cela... je ne te demanderais rien a ce surjet mais... Je te poserais une simple question. En tout lieu, toutes situations, sera tu un allié plutot qu'un ennemi? Tu me diras la verité, et si tu mens, que les flammes qui te rendent si fier soient a jamais plongées dans la mer."

Et l'elfe fixa longuement le genasi dans les yeux. On pouvais sentir dans son regard une face qu'il ne montrait pas habituellement. Et surtout pas a varlof. Cet aspect de folie, de dureté, et surtout de mystère. Rien qu'en regardant ses yeux, on eut pu dire qu'il etait pret a tout. A tout.

Et voilà qu'elle me met au pieds du mur! Enfin... C'est au pieds du mur qu'on le voit le mieux...

Si je le savais moi même, je te le dirais... Je me mets à penser, à ton sujet, de drôles de choses. Et je ne sais même pas pourquoi.

Tu veux sûrement un exemple?

...

J'ai juste pensé que je ne supporterais pas de te voir contrôlé par quelqu'un d'autre. Même si je ne t'ai jamais vraiment controlée... Je ne sais pas...
Et puis je me suis dis que de toute façon, Vhaeraun, une fois qu'il aura jugé mes progrès satisfaisant, t'enverra ailleurs! Et qu'il fallait me résigner...

Débaler ainsi ses sentiments, plus qu'étrange à ses yeux, lui faisait presque peur, mais il préférait en parler, car ils étaient justement bizzares et étrangers pour lui. il espérait donc que Skehmet ait une réponse...

Mais, le fait que je doivent me résigner me parait encore plus étrange! Que je me pose ces questions!

Ca ne me ressemble pas, je ne comprend pas... dit-il en gémissant. Sa tête lui faisait mal à force de se poser de telles questions. Et de quoi serais-je capable dans cet état? j'ai même un court instant songé à te donner la chaîne pour éviter que Vhaeraun ne t'assigne à un autre drow... Logique non..? Je veux être le seul à avoir eut la chance de t'avoir ainsi... Ce sentiment au moins est donc typiquement drow : égoïste à souhait..!

Il ria doucement, nerveusement.
Même quand je le dis à voie haute, j'ai l'impression de chercher à me convaincre...

Se calmant un peu, il soupira : et pourquoi t'ais-je dis tout ça?

Son visage s’assombrit, et elle lâcha la main du drow, sans violence pour croiser ses bras, toujours assise sur le ventre de Varloth, pour le bloquer.

Hum… On appelle ça « avoir de l’affection », c’est un concept étranger à votre peuple, enfin, pas tant que cela. Sauf, que l’affection dont je te parle, se teinte de jalousie, et la ce n’est pas bon.

C’était dur dans cette circonstance de rester le professeur, Sekhmet pris une grande inspiration, semblant être gêné :

Tu me dis tout ça espérant soulager ton esprit d'un poid et j’ai fait une erreur en te prenant la laisse….

Elle se releva en disant :

A moi aussi tu me manqueras. Bien plus, peut-être que peut imaginer ton esprit d’Illytirii

Il poussa un gros soupir. Il se releva, tentant de reprendre ses esprits.

De l'affection..?

Il se sentait gêné, maintenant. Il ne savait pas vraiment quoi faire. Sa première réaction aurait put être la violence... Éprouver un tel sentiment était inadmissible pour le drow moyen, qui s'empressait de corriger le tir en éliminant le problème de façon radical. Mais lui ne s'en sentait ni l'envie ni le besoin.

Je sais très bien que la jalousie est une mauvaise chose. Je ne suis pas jaloux par nature, je pense que tu as tout de même pu t'en rendre compte, Finit-il par dire. Ces sentiments sont nouveaux pour moi, voila pourquoi je n'arrive pas à contrôler ma jalousie, ajouta-t-il comme pour lui même.
Il me faudras un peu de temps pour assimiler tout ça, je le crains... mais merci de ta réponse Sekhmet. Et désolé de t'avoir imposé ça.

Je crois que je vais prendre ça comme le signe d'une amitié, comme celle que les humains semble souvent ressentir. Un plus qu'un abbil en somme. Ce... Sera plus facile.

Plus facile pour remettre son esprit analytique en marche, et de faire comme avant : réfléchir de manière pragmatique et raisonnée en toute circonstance. Et même pour ces nouveaux sentiments. Ce pouvait être possible, ça devait l'être. La raison est plus forte, se convainquit Varloth.

Reprenant une attitude plus ou moins normale, il reprit son sourire et son air énigmatique habituel.

Drow je suis, drow je resterait déclara-t-il. Même ainsi. Avec quelque chose en plus peut-être.
Je ne suis toujours pas sûr de comprendre... Mais je m'en contenterais. Ça restera le mystère de mon existence.

Veux-tu partir en chasse désormais? Ça nous changeras les idées à tout les deux.

Elle ne répondit pas à sa dernière question, son changement de sujet volontaire.

Tu n’es pas d’une nature jalouse, c’est pour cela que ton attitude m’inquiète, de plus….

Elle se pencha, semblant ramasser quelque chose dans la paille alors que les vaches commençaient à s’affoler de la présence d’un gros fauve dans l’étable.

.. Ce qui m’inquiète le plus, c’est qu’il n’y a pas de mystère… tu me trouves agréable car je ne suis pas aussi méchante avec toi qu'une Drow… et là, c’est une INSULTE !

Elle envoya en pleine tête de Varloth une bouse de vache bien fraîche puis elle s’enfuit, se retenant de rire tant bien que mal pour ne pas avertir le chien de leur présence..

Humrpf!

Pouah... Se dégageant les orifices vitaux, les yeux la bouche et le nez, Varloth regarda dans l'étable. Une petite vengeance légitime, songeait-il. J'ai dû la surprendre avec ça! Elle a parfaitement le droit de me surprendre ainsi.

Varloth trouva ce qu'il cherchait : un sceau d'eau. Versant dedans du parfum et sortant un peu de savon de son piwafwi, il fit un brin de toilette. Le parfum était en fait un concentré de "Varloth". Son art des poisons l'avait bien formé dans l'alchimie en général, et il était capable, mais difficilement, de reproduire l'odeur d'un individu.

Son brin de toilette rapidement achevé, l'odeur était imperceptible pour un nez humain ou elfe, mais pas félin, Sekhmet le savait.

Pour finir, il regarda dans l'étable, cherchant à localiser Sekhmet. Mais surtout... Il décida de rester vigilant. Les bouses ne l'atteindraient pas une autre fois.

Il me faudra une cape de déplacement, comme celle de Jarlaxle, songea-t-il. C'est bien utile.

Varloth ?

La voix de la féline venait de derrière lui, et avant même qu’il ne put éviter quoique ce soit, elle lui balança le sot dos sur le corps.

Tu t’étais mal rincé, mon abbîl.

D’un bond vif, elle sauta dans le foin, s’y enfonçant, s’y enterrant pour se cacher. Le chien se mit à aboyer, éveillé par le boucant des vaches affolées!

Xsa!

Varloth jura, Secouant son piwafwi, imperméable. Il était tout de même un peu mouillé, non adapté à de telle quantitée d'eau.

Il entendit le fermier arriver, assez lourdement d'ailleurs. Varloth n'eut que le temps de de se cacher : dans un mouvement théâtral, il fit tournoyer son piwafwi... Avant de disparaître...

Sekhmet put voir une ombre se glisser dans un recoin sombre de l'étable. Caché comme il était, on ne pouvait voir que deux petits point rouge, qui trahissait encore sa présence...

le chein désorienté, mais sentant toujours les intrus, continua à aboyer, le poil hérrissé.

Dans son coin Varloth eut un sourire mauvais. Recroquevillé, il se tenait près, épée et dague en main.

Sekhmet avait décidé de s’installer dans le foin et de regarder la scène confortablement couchée.
Elle avait envie de sang mais elle laissait la priorité aux mortels et à son Varloth dont les mots l’avait …troublés.
Maintenant, elle ne savait vraiment plus comment se comporter vis à vis de lui, jusqu'à ce qu’une pensée traverse son esprit : profite du jour présent. Ca c’est bien un concept de démon.

Elle fit signe, discrétement, à Varloth de la rejoindre.

Intrigué, Varloth rejoignit Sekhmet rapidement et silencieusement alors que le fermier inspectait, le dos tourné, la grange.

Se postant près d'elle, il signa : #qu'y-a-t-il?#

Sekhmet ne dit rien, se léchant les lèvres de gourmandise, attrapant Varloth par le col de son Piwafwi, elle l’entraîna sauvagement dans la paille avec un Wrouf étouffé.

Bien campé au milieu de la paille, à l’abri du regard de ceux qui n’avaient pas l’infravision, la démone s’allongea sur le Drow, assise langoureusement sur son bassin et, sans prévenir, elle l’embrassa fougueusement, lui mordant les lèvres jusqu’au sang, sa généreuse poitrine plaquée contre le torse de sa victime
On est un prédateur ou on ne l’est pas et Sekhmet en restait un et c’est pour cela qu’elle immobilisait Varloth, maintenant de ses griffes les bras du mâle, de telle façon qu’il ne puisse s’échapper et les ondulations de ses hanches en disait long sur ses intentions.
Ses cheveux furent relâchés par son gorgerin morphique les laissant encadrer le visage de l’Elfe Noir, l’effleurant sensuellement au rythme des mouvements de ses hanches tandis que ses crocs relachaient les lévres pour plonger dans le cou du Drow.
Elle relâcha les bras de Varloth commençant à défaire sauvagement, pour ne pas arracher, le piwafwi de celui-ci. Ses fins doigts agiles s’insinuèrent entre les lacets de sa chemise cherchant le contact de la peau d’ébène du Drow, tantôt douces caresses sur les pectoraux, tantôt expertes griffures sur les points les plus sensibles comme les côtes, alternant le frisson de l’effleurage et la douleur de la lacération.

Après tout, elle n’avait rien à perdre! Il la repousserait, il l’engueulerait et leurs vies reprendraient le cours normals de deux êtres qui doivent se supporter sans vraiment en avoir l'envie. Et puis, c’était le moment de vérifier la véracité de dires de Varloth, et de s’amuser un peu, ça lui apprendra à dire à une démone, en manque, qu’il « l’aime ».

Invité

Elthen entendit, lointain, un buit ettouffé par les larges murs de la grange, un bruit qu'un humain n'aurait pas entendu. Celui-ci sans se poser de question fonca, tout en laissant tomber son enorme epée.
L'elfe ne se vantait pas d'etre le plus fort ou le plsu intelligent. Mais question vitesse, il etait imbattable, et c'est ce que le genasi put observer en le voyant disparaitre dans la grange avant d'avoir pu dire hein.

Soulevant de larges voultes de poussière dorée, il fonca a une vitesse presque effrayante, et ce meme comparé a la vitesse d'un elfe classique.
Il ouvrit la porte en diminuant certes sa vitesse, mais le geste employé etait ellement etrange qu'il put continuer a courir.
Il arretta sa course en plein millieu de la grange, soulevant, en freinant, un gros nuage de poussière.

Le paysant, dans cette voulte de fumée, il poussa un longue serie de jurons avant de commencer a toussotter, gené par la fumée. Puis, lentement, le silence se fit. Plus un bruit, et la fumée commenca a se dissiper. Elthen se tenait devant l'entrée, et devant le cadavre décapité d'un idiot d'humain. Son regard etait dur, percant, juste teinté d'un grain de folie.

Celui-ci lecha la lame d'un de ses sabres, recouverte du sang de sa victime. A ce moment la, la folie de cet homme fut décuplée. Cet elan soudain de cruauté avait declenché en lui un sentiment incroyable, elle avait reveillé en lui des pulsions de tueur.

Il se calme, et dans le silence, seulement troublé par des bruits dans la paille, l'elfe redevint lentement l'idiot moqueur qu'il etait. Il lanca un regard vers la botte deofin et dit:

"Alors, on s'amuse pendant que c'est bibi qui fait le boulot? huhuhuhu"

La calme était retombé … le calme ? Et le chien ? Il avait le crane défoncé allongé hors de la grange quand on entendit une petite voix étouffé quelques instant plus tard.

"Qu’est-ce que …"

Une femme, vraisemblablement celle du paysans, apparus dans l’encadrement de la porte, elle ouvrit la bouche pour hurlait … rien elle restait immobile la bouche ouverte avant de s’effondrer sur le sol dans un petit bruit mat.
Souffrance, la chaînes qui finissait par une longue dent métallique, était planté dans le dos de la paysanne quelque par entre les omoplates l’ayant paralyser en atteignant la colonne vertébrale et la rendant silencieuse en perforant pile entre les deux poumons.
Propre rapide et sans bavure.

"Dit tu court vite même pour un elfe …"

Zérar entendit un petit bruit étouffé et murmura pour lui même.

"Veinard. Il reste les enfants on s’en occupe maintenant sinon ils auront le temps de fuir … tuer des gosses … je suis tombé bien bas …"

Varloth fut vraiment surpris par Sekhmet, cette fois-ci... Bloqué sous elle, immobilisé, il ne put que se laisser faire. Il n'en soupira pas moins d'aise et de plaisir. Elle savait y faire, aucun doute la dessus! (nan, aucun!).

Elle alternait caresse et lacération... Lorsqu'il retrouva l'usage de ses bras, il en profita pour caresser le dos de Sekhmet, partant du bas du dos, suivant la colonne vertebrale, effleurant les points sensibles, pour finalement remonter jusqu'au cou...La douceur de la peau de Sekhmet surpassait de loin celle de n'importe quelle elfe noire! Un véritable enchantement...

De son autre main, il s'efforçait de decrisper les muscles de la belle. Varloth était loin d'avoir menti quand il avait dit qu'il n'applicait pas ses connaissances en anatomie qu'à la torture. Il avait passé beaucoup de temps à masser des prêtresses, dans le passé, pour mieux pouvoir leur soutirer des informations, alors qu'elles le croyaient sourd et muet. Il passait sa main sur les muscles dorsaux, leur imposant une douce pression, comme une caresse, qui les détendait.

Aujourd'hui, c'était uniquement pour le plaisir, et ce n'était pas plus mal!

Varloth s'estima l'un des mortels les plus chanceux en cet instant... Il n'en continua pas moins ses caresses expertes...

Il ne me repousse pas? Aouw. Mauvais point ça, s’il peut avoir des sentiments à mon égard cela risque d’arriver, un jour ou l’autre, avec une prêtresse de Lolth ou autre.

La chemise à présent ouverte, elle embrassait et léchait le torse du mâle avec passion, glissant lentement vers le bas du corps de celui-ci, défaisant dans un bruit métallique la ceinture de Varloth et dégrafant son pantalon avec douceur.

Ses cheveux devenant une caresse parfumé, pour finir par lui faire découvrir un plaisir dont les femelles Illytiriien en ignorent même l’existence. Et oui, pourquoi s’embêteraient-elles à faire plaisir aux mâles qu’elles dominent ? Par contre, Sekhmet, elle savait y faire… presque 25 siècles d’expérience… avec des dieux… Une main l'aidant, l'autre, griffes sorties restant plantées dans la hanche de Varloth

(HRP : -je passe les détails pour ne pas enfreindre le règlement du forum et la moralité des plus jeunes.
-Mais, n’oublie pas, Xen, que Sekhmet à des crocs et une langue râpeuse, je te laisse imaginer !
-Et je dois avouer, que je suis morte de rire en écrivant ce texte! )

Invité

[Aww, oune dominatrice? J'ai tou dé souite remarqué ton coté couir... Les outils sont dans le coffre la bas. Tu peux tout utiliser. Sauf la fiche dé declaration d'impots et le disque dé Lorie XD]

Elthen resta silencieux un instant. Il regarda le genasi et eut une idée.
Pour tuer les enfants, il pourrait les enchanter et n'aurait pas a salir une nouvelle fois ses sabres avec un sang impur... Le problème restait que ses enchantements marchaient par le son, et que s'il se mettait a jouer, les deux cretins dans la paille le seraient peut etre aussi.

Il n'aimait pas tuer des enfants, mais il etait vrai que les laisser s'enfuir serait l'idiotie la plus enorme du siècle.
Il soupira. Ses priorités passaient avant celles de ses compagnons.
Tant pis pour Varlof et Felindiira.

"Genasi, tais-toi, bouches toi les oreilles et ne bouges pas. Si jamais tu entends ce qui va suivre, tu seras a ma merci."

Il sortit sa mandoline et monta dans la maison, en passant par la porte. Lentement, une petite mélodie se fit entendre, une melodie captivante, dont les enfants ne purent se detacher. Une melodie qui les mit a la merci d'un elfe. Mais un elfe bien plus malveillant que tous les autres réunis.

La mélodia s'arreta, et les deux enfants hypnotisés filèrent, sur ordre d'Elthen, se planter un couteau de cuisine dans le coeur. Propre, efficace, et silencieux puisque l'air n'aurait pas pu depasser l'enceinte de la ferme.

Un sourire satisfait se trouvait sur le visage d'Elthen lorsqu'il decendit près de ses compagnons. Il regarda dans la pièce, histoire de voir si un quelconque membre de la compagnie s'etait fait avoir.

Varloth n'entendit absolument rien... Il était comme coupé de l'exterieur. Et pour cause!

Varloth voguait de surprise en surprise avec elle. Et il devait bien avouer qu'il n'avait jamais ressenti quelque chose d'aussi fort, pour quelqu'un d'abord, et pour lui ensuite. Plutôt que de repousser l'affection qu'il éprouvait pour Sekhmet, il décida de l'embrasser, car repousser de tel sentiment ne pouvait pas être sans conséquences, sans doute fâcheuse...

Il fut surpris, même très surpris, de manière agréable, par ce que Sekhmet faisait. Il se sentait pour le moment mou, à une exception près bien sûr. Il se relâcha totalement pour le moment, savourant le plaisir que lui procurait Sekhmet.

Toutes les autres femelles me paraîtrons bien fade et sans intérêt, maintenant, songea-t-il... Aucune ne pouvait égaler Sekhmet dans son esprit. Ce qui le rassura quelque peu : Sekhmet est et restera son exception. Mais, du même coup, elle allait bien plus lui manquer dorénavant.

En bref... Il était, pour le moment, aux anges.

La féline ne finit pas ce qu’elle avait commencé, son ouie sensible dérangée par un son, elle rampa sur le corps de Varloth, toujours cachée dans la paille, elle revint vers le visage de l’homme, ses lèvres caressantes.
Se faisant plus tendre, elle l’embrassa, lapant le sang que ses morsures avaient causé.

Sekhmet prononça, enfin, soupirante : tu n’as pas entendu comme une mélodie ?

Elle s’allongea au côté du Drow. Sa tête lui faisait mal, ainsi que la pression du collier d’obéissance, elle comprit rapidement qu’un enchantement l’affectait, qu’il essayait de s’imposer au contrôle du collier… Elle secoua la tête, puis la posa sur l’épaule de Varloth, yeux clos, cherchant à calmer sa migraine. Quand elle essayait de résister à une invocation elle avait les mêmes symptômes et Varloth le savait, plusieurs fois il du lui donner le contre-ordre de rester pour ne pas la voir partir dans un autre plan, invoquée par un démoniste.

Certes, elle était une démone, mais ce genre d'enchantement avait prise sur elle, elle était invocable donc elle était contrôlable même si elle y opposait une résistance naturelle.