[Add]Pépère, le rôle-play où l’on glande sévère.

En parlant de lui...

Varloth soupira en réapparaissant dans un endroit familié, et typiquement de SON époque à lui. De plus le nerfs avait cessé de le titiller. Il était donc chez lui.

Il soupira en songeant que s'il était resté trop longtemps, les conséquences auraient été dramatique... Pour commencer, afin d'éviter les problèmes, l'univers l'aurait changé en Varloth d'avant... Ca avait même commencé d'ailleurs.
À moins que ce ne soit parce que ça faisait un petit baille qu'il n'avait plus eut de réelle contacte avec Vhaeraun...
Il haussa les épaules. Tout était rentré dans l'ordre.
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Ca ne te regarde définitivement pas.

Et je préfère ne pas en parler, songea-t-il. Il regarda le génasi, qui devait connaître la ville bien mieux que lui.

Par contre ce qui te regarde c'est que j'ai envie de m'offrir un petit divertissement, et que tu pourrais m'y aider... Je suis sûr que ça te plairais.

-Tu voix Sekhmet, le problème est que tu ne te donnes aucune limites à ne pas franchir. Tu ne sais pas t’arrêter. Maintenant, pour qu’à l’avenir tu me respectes, je suis obligé d’en venir à de telles extrémités.

A une faible distance, la distance juste nécessaire pour éviter qu’un coup de patte malencontreux ne vienne défigurer le dieu dans un accès de rage, Sekhmet était enfermée dans une cage, empêchant les éclipses, suspendu au plafond par une longue chaîne (surtout vu la hauteur du poisson)
En larmes, elle regardait d’un air mauvais le Dieu, ses yeux reflétaient mille morts qu’elle lui promettait.

Vhaeraun, main en cloche, accoudé sur la grande table, observait avec un large sourire de circonstance les sanglots de la féline.
Il attrapa la tranche, et doucement avala celle-ci.

-NOOOooooww ! PAS la DERNIERE TRAAANCHE ! PIIITIE ! PAS LA DERNIERE TRANCHE! MAaaouuuuuuwww. Sekhmet hurla un miaulement déchirant qui aurait fendu le cœur de plus d’un.

Sauf de Vhaeraun qui était un habitué et qui venait d’avaler la dernière tranche de saumon fumé devant la féline sans lui en donner un seul morceau !!!!
-Hum ! Délicieux, tu as raté quelque chose : fumé au bois de hêtre, juste comme il faut. Fit le Dieu en s’essuyant les lèvres d’un coin de serviette et buvant un verre de vin blanc qui se mariait à merveille avec le plat.
Et maintenant, les pongistes.

-NOOOoooow ! PAS LES PONGISTES !!!

Marark trouva un vieux mage a la retraite et lui expliqua son cas avec toutes la finesse d'un bourrin. Le mage lui dit qu'il voulait bien le guerrir mais qu'il falait qu'il s'occupe d'une affaire importante. Ceux sur quoi Marark acquiessa. Le mage lui donna donc le remede et lui dit ce qu'il avait a faire. Marark parti aussitot avec un sourire.
Ha mon cher j'ai ici un objet qui vous sera d'une grande utilite, prennait le et n'oublier pas de me le redonner. Ca porte d'action est courte mais elle suffira. Mais sachez que si vous ne revennez pas dans deux jour , vous mourrez.
En voyant l'objet Marark eu un rire legerement psychotique. Puis il reparti.

A des lieues planaires de là, au coeur même d'une lointaine strate Abyssale, l'ombre fugace du noir destrier se projetait à une vitesse pharamineuse sur de hautes cimes acérées et couvertes de neiges éternelles. Le vent battant et glacé aurait gelé les os du plus vigoureux des sherpas en quelques secondes, même avec une protection adéquate.
Le prêtre n'en avait cure, un cercle magique englobant la monture aux ailes de chauve-souris l'immunisait à ce genre d'aggression, prérequis essentiel au voyage dans cette partie des Abysses... Le pauvre paysan enlevé qui n'avait rien demandé à personne n'en menait pas large, il était affalé sur la monture, couché en biais sur le ventre, juste devant le cavalier qui le tenait d'une main ferme. Il n'avait guère eu le temps de réaliser ce qui lui arrivait qu'il était déja emporté dans l'(ultime) aventure de sa vie. Soudain, le frottement sourd des ailes de la monture fut accompagné par d'horribles croassements : autour de Jer'len, une vingtaine de Vrocks belliqueux volant en nuée désordonnée semblait s'intéresser de près aux infortunés voyageurs, et leurs sinistres claquements de becs laissaient entendre qu'ils n'étaient pas là pour discuter du beau temps.
Sans une hésitation, le chevalier noir talonna sa monture qui entama un piqué vertigineux dans un hennissement rauque. Les vautours démoniaques eurent tôt fait d'imiter la manoeuvre. En un éclair,alors qu'il allait frôler le manteau neigeux et verglassé, le Cyriciste rétablit sa direction, remontant pratiquement à la verticale, soulevant des gerbes de neige sur son passage. Certains Vrocks, aveuglés par la convoitise et leur appétit insatiable ne se redressèrent pas assez vivement et firent une rencontre percutante avec les rochers... Malgré tout, les oiseaux de mauvais augure n'abandonnaient pas leur chasse. Le prêtre eût un sourire inquiétant alors que le cheval démoniaque continuait son ascension effrenée vers le zénith.

"Monts Funestes de Givresang, Terminus"

Et c'est là que la présence apparement incongrue d'une être lambda tel que l'anonyme de la taverne prit tout son sens... En effet, fort de son expérience des lieux, Jer'len savait qu'il ne fallait pas pinailler avec la faune locale : D'un vif mouvement de bras, le prêtre fit basculer le pauvre hère dans le vide... Les bourrasques beuglantes couvrirent son cri d'effroi alors qu'il chutait tout droit en direction des prédateurs, terminant son irrésistible descente embroché sur le bec acéré d'une des bêtes.

"Le repas est servi" s'exclama le prêtre en s'éloignant de la scène du banquet ...

Après quelques minutes de vol, Jer'len parvint enfin à son objectif : sur le flanc d'une des plus hautes cimes se dessinait une gigantesque plate-forme de marbre blanc soutenue par d'artistiques cariatides féminines de taille gigantesque figées pour l'éternité dans de lascives positions plus suggestives les unes que les autres. Malgré le blizzard, la luxuriance d'immenses jardins suspendus composés d'une flore atypique et de statues érotiques, bordant un palais blanc aux formes complexes et gracieuses qui aurait fait palir les meilleurs architectes nains se dessinait clairement : Le Blood Hound Bordello, un des lupanars les plus prisés des Abysses. Après quelques secondes, le frisson spécifique indiquant qu'il pénétrait dans la zone de contact télépathique mise en place par la Démone se fit sentir. Le prêtre jugea qu'il était opportun d'annoncer son arrivée imminente aux laquais de la Dame, il se concentra pour engager la conversation avec le gardien.

*J'arrive Gaphasis, préviens ta maitresse*

*Krschhhhh...Ici Gaphasis, Tour de contrôle à aéronef "Nightmare"... krschhhh... La piste 3 est pratiquable, vous pouvez entamer procédure d'approche, ajustez vitesse 10brasses/seconde... Roger...Krschhhh* répondit une voix nasillarde

*... Stupide larve*

* Je vous ai entendu ! Bon... La Maîtresse est prévenue, j'attend à la Source !*

En un éclair, l'étalon noir vira de bord et s'élança vers la plateforme. Au fur et à mesure qu'il s'approchait, la température s'adoucissait... Le micro-climat tropical permanent, un des caprices d'Amaëlith, était le résultat de plusieurs expériences magiques ayant nécessité beaucoup de sueur (et parfois de sang) aux pauvres thaumaturges de la Dame. Peu après, le bruit des sabots claqua sur le marbre et la monture ralentit progressivement sa course en repliant ses ailes qui eurent tôt fait de se fondre dans sa robe d'ébène. Après quelques instants de chevauchée sur les traverses dallées des jardins, le prêtre fit irruption dans un grand patio verdoyant où il descendit lestement de cheval.
Il mena sa monture se désaltérer à la fontaine qui trônait au milieu de la cour. Un Quasit attendait là, aggripé à la balustrade d'un escalier. Son regard vitreux s'illumina alors que le prêtre faisait irruption.

"Seigneur Da'ham'Pir, quelle joie de vous revoir en ces lieux !" déclama mielleusement le Quasit en s'inclinant plus bas que terre après avoir effectué un majestueux saut périlleux assisté de ses minuscules ailes.

"Gaphasis, ta Maitresse m'a apellé, je n'ai pas de temps à perdre, où est-elle ?"

"Patience, patience ! Elle ne devrait plus tarder...Aux dernières nouvelles, elle s'occupait de clients" Tout en disant cela, le petit démon s'était approché de la monture en sautillant, et il lui "flattait" l'ergot pendant qu'il buvait à grandes goulées

"Je te déconseille..."

"Pourq...WAAAAAAhhHAAAA !" "s'interrogea" le Quasit avant de secouer vivement le moignon qui avait été un bras quelques secondes plus tôt...

"Parcequ'il n'a rien mangé depuis hier..." répondit nonchalamment le prêtre tandis que la monture déchiquetait de ses puissantes canines léonines le membre du pauvre démon.

Larmoyant, le Quasit s'éloigna vivement de la monture qui s'était tranquillement remise à boire tout son soûl. Il regarda le prêtre avec un oeil mauvais.

"C'est pas parceque ça repousse que ça ne fait pas mal !"

"Je te crois sur parole Gaphasis..." déclara l'interpelé, un léger sourire aux lêvres.

Il patienta ainsi pendant quelques minutes, adossé contre une colonne Corinthienne, en observant aux alentours, toujours étonné par la beauté des lieux (ce n'est pas le genre de décor auquel on s'attend en parcourant les Abysses, il faut bien l'avouer, mais la propriétaire avait la main verte et chouchoutait ses jardins avec un plaisir non dissimulé). Le prêtre savait pertinemment pourquoi la Dame l'avait appelé, on ne s'attire pas les faveurs d'un démon de ce rang sans conditions : Le prêtre lui rendait fréquemment certains "services" et il avait justement en sa possession un objet qu'elle lui avait réclamé depuis quelques temps...

(la suite ce soir si je parviens enfin à fignoler comme je le désire )

-Avec un peu de chance, ce n’est qu’un contretemps. Et dans le cas contraire, inutile de s’apitoyer. Peut être arrivera t’il un jour ou je pourrais me venger.

Il lança un sort et commença à luire. Ses traits rajeunirent, sa taille diminua et ses habits devinrent des habits simples. Après une minutes de transformation, Zerar et Varloth eurent en fasse d’eux un Cay âgé de 16 ans. Ce n’était pas un simple sort d’illusion. Cayn avait vraiment rajeunit.

-Bon. J’espère que ça suffira.

Cayn sourit. Et ajouté à son apparence enfantine, cela donnait une impression d’incohérence.

-Ce sort ne permet pas de sauver quelqu’un de la mort. Un vieillard l’utilisant donnera l’impression d’être un enfant. Mais ça ne le soignera pas. Intérieurement, il continuera de vieillir.

Sa voix était toujours celle d’un adulte. Il se concentra quelques instant afin de transformer ses cordes vocales puis s’adressa à ses compagnons d’une voix ayant à peine muer.

-Bon. Par quoi commençons nous ?