[RP]Pépère, le rôle-play où l’on glande sévère.

Varloth fini d'armer son arbalète quand il remarqua la présence d'un elfe.
Il fredonnait un air Drow, et, il le remarqua tout de suite, un symbole représentant Lolth.
Quel gachis. Celui-ci a succombé au mal, mais est tombé dans les filets de Lolth, pensa Varloth.

Il n'aurait pas été plus préoccupé que ça par la réccupération de Sekhmet, il aurait peut-être put s'en occuper, mais en l'occurence...

Sur ses entre-faits, la patronne arriva avec un petit sac, contenant ce que Varloth lui avait demandé.

-Merci très chère, dit poliement Varloth, avec la voie seyant à sa carure. Tout en surveillant des yeux l'elfe.
Remarquant aussi sa présence, la matrone déclara : Veuillez ne pas trainer dans les couloirs... Si vous voulez, allez au salon s'il vous plait. À moins que vous ne voulez vous payer une autre nuit.

HRP : Elthenarion, l'apparence de Varloth est en ce moment tout sauf semblable à la tienne^^ Il ressemble à un homme de forte carrure et au cheuveux noir de jais (seul point commun)^^
Même l'arbalète n'a pas une apparence drow, c'est dire!
Ah et puis désolé, mais tu arrives au plus mauvais moment^^

Sekhmet qui s’était à demi assoupit, ronronnant, sous les caresses apaisantes reprit conscience au flux des questions entre sur celle du feu.

Maouw ? Je ne survivrais pas dans la lave, à vrais dire Zérar. Comme tout le monde.

C’était la pure vérité, elle savait depuis longtemps que le mensonge n’était pas utile et de plus, qu’elle être vivant résisterai à un brasier intense, bon, elle, certes, mais pourquoi lui dire ? De plus la tournure de sa phrase lui permettait de faire croire qu’elle ne résistait pas aux flammes.

Mouuui, un surexcité de la cravache sans aucune finesse. En plus zoophile, il était au paradis, il m’a prit pour un chat.

Soupira-t-elle avec amusement

Bon mes miaulements et mes ronronnements tombent en ma défaveur, je l’admets.
Et … je crois que mes vêtements vous gênent.

En effet si le bas du dos était à nu, le gorgerin (large collier égyptien) couvrait ses omoplates d’un fin tissage métallique en forme de fleur de papyrus.

"Un zoophile ?"

Le Génasi ricana un instant, tout en continuant à répandre une douce chaleur sur le dos de la féline, quand elle lui parla de ses vêtements.

"J’allais y venir, je ne fait que "préparer le terrain" pour l’instant mais ça devrait aller."

Sur ses mots, Zérar chercha à retirer le collier de Sekhmet.

"Très joli collier, j’en ai déjà vue au Calimshan … Au fait qu’elle est votre nom douce créature... Ha mais il est scellé ?"

Le Génasi cherchait désespérément comment retirer ce collier, pour quelqu’un qui, comme lui, chatouillait volontiers les serrures, il ne voyait aucun moyen de l’ouvrir.

Le féline rit doucement :
Ne cherchez pas, seule la volonté du porteur permet de retirer ce gorgerin, encore l’un de ses objets magique…

Un de ses talons vint taper sur les côtes de l’homme.

Relevez-vous juste un peu, que je quitte mes vêtements.

Le gorgerin était métamorphite, il adoptait la forme souhaitée par son porteur et c’est ainsi que le collier s’embla s’animer d’une vie. Les entrelacs d’or formant les fleurs se mouvèrent pour couler tel du mercure sur le corps de la femme à la peau rayée.
Toutes les parties métalliques, collier, boucle d’oreilles et boucle de sandales, se recentrèrent autour du cou de Sekhmet pour devenir un fin collier qui couvrait à peine celui de cuir que lui avait placé de force un certain dieu.
Pendant ce temps, les voiles blancs lui servant de vêtements retournèrent à leurs formes originales : de la simple fumée car c’était la puissance du collier qui leurs permettaient d’être du tissus.

Elle était à présent nue, couché sur le ventre, vêtue de ses deux seuls colliers et d’une étrange chaîne qu’elle portait enroulée comme un bracelet autour de son poignet.
Ses cheveux furent relevés, par une partie de métal venant du gorgerin, pour former un chignon savamment négligé, de fines mèches tombant élégamment sur sa nuque et devant son visage.

Nous en étions où? A mon nom? Felyndiira.

Dit-elle en tirant sur son porte tabac et regardant Zérar langoureusement entre les volutes de fumée, tout en balançant ses pieds sensuellement.
Bon, ce nom était d'origine Drow, sur elle, il faisait nom d'actrice de film porno ou dresseuse de fauves dans un fort au milieu de la mer mais vu que l'homme ignorait les noms des premiers et l'existence des suivants, elle ne risquait pas grand chose à mentir.

Le génasi fut quelque peut échauffé par la féline, si sensuel, si maîtresse de ses charmes et sa nudité n’arrangait rien !

"Vous au moins vous savez y faire !"

Zérar se remit en position et apprécia le contacte de la peau nue de la démone, en commençant par les épaules de manière assez experte, tout en impriment des rotation de paume, il massait vraiment bien, en appuyant parfois sur des point spécifiques détendant de plus en plus la féline.

"Je pose mes mains sur une œuvre d’art … j’espère être à la hauteur."

Vous l’êtes. Vrrrvrrrrrrrrvrrrrrrrrrrrrvvvvvrrrrrr. Souffla-t-elle entre deux ronronnements.

Quel pied, tout de même.
Songeait la femme- félin – démone.
Etre payée pour être massée. Ses massage valent au moins ceux de Nerzull. Ca fait au moins.. 200ans qu’un de ces crétins de machos ne m’avaient pas massée.

Elle se laissa doucement aller au sommeil, il fallait s’en douter. Se prendre une maison sur le coin de la tête, venir au secoure de 2 Drows, se prendre des coups pour leur payer la chambre et s’attendre à n’avoir aucune reconnaissance d’eux… la routine habituelle pour le dernier des cas mais l’épuisement pour les tout premiers.
Son ronronnement diminua en même tant que sa tête s’affaissait dans l’oreiller, et oui, elle s’endormait.

HRp : je te signale tout de suite que je n’irais pas trop loin dans les descriptions par respect du règlement de ce forum donc je ferais tomber un voile pudique à un moment donné. Wink

Après plusieurs minutes de massage, le Génasi la sentait partir, il commença un massage un peu plus énergique en utilisant son coude droit, il ne la réveilla pas brutalement mais eu plutôt un effet relaxant et vivifiant comme pour réveiller les sens de la Féline et finir de la calmer.
Finalement, il posa son genou droit à un point non loin des omoplates et cambra d’un coup la femme chat entraînant un craquement sonore. Elle se surprit à se sentir extrêmement bien après ça.

"Alors ? Ca vous a plus ?"

Le Génasi souriait se demandant comment elle allait réagir maintenant.

"Je crois que c’est à votre tours de me montrer vos talents."

[HRP] Oui je comprend ^^ tu m’envoie le rp par MP tongue

MAOUUUUUWW! (raleur et sonnore pouvant être entendu dans le couloir) PFFwwaaaaaaii (feulement d'indignation)

Elle se retourna, se glissant sur le dos entre les jambes écartés de la brute, légèrement contrariée du « réveille » qu’elle, elle avait trouvé brutale, surtout le « je te plaque mon genoux et je te démonte la colonne vertébrale » car en effet, le côté sensuel de cette pratique lui avait complètement échappé.
Elle se demandait si ça tenait plus de la parade nuptiale d’un Génasi ou d’une technique de Loviathar pour soutirer des informations…..

-vous êtes parfaitement conscient que, si je dois montrer mes talents, comme vous vous venez de montrer les vôtres, cela consistera à vous laisser sur la béquille en vous l’ayant mordu juste avant….

Elle eut indéfinissable entre la moquerie et un projet d’avenir redoutable pour les parties d’une certaine personne, avant d’éclater de rire.

HRp: quand on y sera, oui Laughing

Le génasi fronça légèrement des sourcils et ricana un peut.

"Il est vrai que ce que je viens de vous faire n’a rien de sensuel. Mais je vais m’expliquer par un petit cours d’anatomie :
Chaque parties du corps peut être réveillées ou calmées par certaines pressions ou autres manipulations, et devinez quelle parties je viens de réveiller ?"

Zérar eut un petit sourire entre le sadisme et la satisfaction personnelle car tout ce qu’il venait de dire n’était que la plus pure vérité

-oui, je le sens parfaitement ce que vous venez de réveiller : mes côtes de brisées.
A mon tour de donner des cours, exercice de mathématique:

Soit une dizaine de boules de feu s’abattant sur une demeure de deux étages, de combien est la pression au m² sur la fille qui est coincée au rez-de-chaussée.

Elle se releva avec difficulté, pour s’asseoir dos appuyé au fronton du lit, ses jambes toujours sous le Génasi, le regardant avec un air pincé.

Le Génasi fronça des sourcils

"Hé bien vous avez vraiment subit un choc pour que les soins que vous avez reçut ne suffisent pas."

Il montra un anneau finement ouvragé comportant diverses gravures mais, surtout, un très fin symbole de Loviathar. Il s’approcha de la féline et plaça sa main au niveau du plexus et redit la phrase déclenchant le pouvoir de l’anneau.
Maintenant Sekhmet se sentait en pleine forme et même ragaillardie.

"Puis-je faire quelque chose pour me faire pardonner ? Un autre massage peut être mais plus calme …"

Zérar était revenu à sa place sur le lit et attendait visiblement une réponse de la femme chat.

-Non! Vous en avait fait assez, je crois, votre nature profonde vous poussera tôt ou tard à me reblesser donc nous nous contenterons d’un seul massage.

Murmura-t-elle en se penchant sur l’oreille du Génasi pour mordiller celle-ci en se demandant intérieurement : comment donner du plaisir à un homme portant presque une carapace ?

Sans un mot, elle le fit basculer en arrière pour s’asseoir sur son bassin, ses deux mains posées de par est d’autre de la tête de celui-ci.

Souhaite tu êtres dominé ou dominant ? Posa-t-elle comme une question invitant à la débauche.

HRP : ce n’est pas dans la mentalité d’un Loviathariste de soigner quelqu’un…

Zérar sourit à la question de la femme chat et réfléchi un court instant.

"Dominé, pour changer …"

Le génasi se demandait vraiment ce que Sekhmet allait lui faire mais il se disait qu’il sen souviendrait longtemps !

-Mauvaise réponse. J’exauce ton souhait.

Grinça-t-elle sadiquement.
Elle adorait quand les mortels se vendaient et donc, lui accordaient le pouvoir d’exaucer.
Il voulait souffrir, il allait vraiment souffrir.

Elle le regarda intensément.

J’espère que tu sais nager ? GO !

Elle se téléporta avec lui, dans une gerbe de flamme, pour atterrir dans un petit lac de montagne, qu'elle connaissait bien et, où l’eau était à moitiée gelée.

Très vite, elle se retéléporta pour ne pas devenir de glace, mais sans le génasi, sur le bord du lac, regardant son client, demi-élémentaire de feu, patauger dans l’eau glacée.

Cela vous conviens ? Vous souffrez assez ? HAHAHAhahahahaha

Le génasi était transi, il se débattait dans l’eau prit d’une peur panique. Les génasis n’aiment pas l’eau, encore moins si elle est gelée ! Il parvint à articuler péniblement entre deux tasses.

"Sait …. *blup*… pas …nager ! … *blup*"

De toute évidence c’était vrai car il ne tarda pas à ne plus pouvoir se débattre contre l’eau et la glace.

Tu ne sais pas nager? Bein.. c’est le moment d’apprendre.

Fit-elle, sournoise, assise sur la berge du lac alors que son Gorgerin était devenue épaisse cape de maille, entremêlait de ses cheveux qu’elle avait fait poussé pour l’occasion, pour lui tenir chaud.

Elle offrit un avant goût de la mort au Génasi, le ramenant inconscient dans le lit qu’ils avaient quitté. La patronne avait souhaité qu’elle laisse ses clients en vie... donc….

La féline le recouvra de l’épais duvet de plume d’oie pour qu’il est chaud, bien qu’elle supposait un réveil "flamboyant" de la part celui-ci.

Ce client, Zérar, avait déjà payé la patronne, mais, Sekhmet considérait qu’elle avait le droit à un pour boire, pour la dépense de pouvoir, et elle alla donc se servir dans la bourse de Génasi. Après tout, il voulait souffrir, il en avait eut pour son argent.
Elle aurait bien prit l’anneau mais ce genre d’artéfact n’obéissait qu’au des adeptes du dieu auquel ils sont dédiés et il aurait été une source d’ennuies.

Invité

Illiuvatar ne répondit tout d'abord rien a la gérante, mais il se rapprocha de cele c, lentement, d'une démarche souple, et une fois arrivé juste a coté, il dit, d'une voix douce et pourtant ferme:

"Je dois parler avec le genasi qui occupe cette chambre. Vous pouvez disposer, je l'attendrais devant"

Et celle ci partit, manifestement contrariée par le jeune elfe. Celui ci regarda un instant dans les yeux de celui qui n'etait pour lui que "l'autre" et il partit s'adosser a coté de la porte, parlant a l'adresse du grand homme.

" Faites ce que vous avez a faire..."

Et après cela, il ferma les yeux et ne dit plus rien. Il pensa un instant au pourquoi du comment de cette arbalète... Sans doute que lui aussi avait des comptes a regler avec un certain genasi... enfin..

Varloth haussa un sourcil, l'air amusé...

Avant de tirer avec son arbalète. Surpris, l'elfe ne pu l'éviter à temps, bien qu'il ait essayé. Il le reçut donc dans le bras au lieu du ventre.

Varloth rangea calmement son arbalète et lança : C'est fait. Satisfait? Je vous avais dis de partir.
L'elfe avait voulut répliquer, mais le poison faisait déjà effet, endormant l'elfe. Varloth repris alors son apparence habituelle.

Varloth haussa les épaules quand il entendit Sekhmet feuler de rage.

Il entra alors discrètement dans la chambre, mais il n'y avais plus personne. Intrigué, il se dissimula dans les ombres de la pièce à l'éclairage tamisé.

Peu de temps après, il vit Sekhmet réapparaître. Il la vit se servir dans la bourse du génasi.

Encore de l'or dont je ne verrais jamais la couleur.

Varloth sorti de l'ombre et parla ainsi à Sekhmet.

Je déduis de l'état de client qu'il t'as vexé? Moi aussi, je m'en rends compte. Et je m'en excuse.

Ceci dit, il sortit la souris de son piwafwi, et la lança près de Sekhmet.

J'ai pensé qu'un peu d'amusement te détendrais, et t'amuserais.

Ou, si tu préfères, j'ai amené de quoi te désaltérer. Il sorti la bouteille de lait.

Vêtue d’une robe de chambre blanche et or, dont son gorgerin avait prit l’apparence, elle resta surprise, quelque instant, de voir Varloth ici, et surtout, de le voir offrir quelque chose, avec des excuses?!

Mais sa surprise fut de courte durée car déjà le couinement d’une souris l’appelait et elle se jeta littéralement à sa poursuite, abandonnant les pièces d’or, qui tombèrent au sol, et se faufilant sous le lit pour tenter de l’attraper.

Le Génasi de feu ressemblait, à ce moment là, plus à un Génasi d’eau qu’autre chose.
Devenu très pale, beaucoup trop pour quelqu’un qui à normalement la peau rouge, il tremblait et était agité de convulsions.
Sekhmet, trop occupée à poursuivre sa souris, ne se dit même pas qu’elle y était allée un peu fort.
Zérar, les yeux fermés et agité de soubresauts incontrôlables, soufflait à peine quelques mots !

"Fehuuu … feuuuu … heuuu feuuu ….."

Le Drow non loin pu constater que la féline n’y était pas allé de main morte et se demanda même s’il allait survivre …

Pendant que Sekhmet poursuivait la souris, Varloth la regardait en souriant. Un tel spectacle était amusant à voir, et il pouvait aussi admirer Sekhmet en plein effort.

Soudain tournant son regard sur le génasi, il le vit mal en point.

Il a besoin de chaleur corporelle, se dit-il.

Son regard tomba alors sur l'elfe endormi dans le couloir.

Une idée plaisante pris naissance dans son esprit. Il traina l'elfe sur le lit, et l'approcha du génasi. Il les fit s'enlacer "amoureusement". Prenant un peu de recul, il savoura pleinement la scène. Le génasi allait déjà mieux, même si ce n'était pas encore ça.

Reprenant son allure d'humain rustre, il appela la patronne au moyen d'une cloche. Celle-ci fit son apparition, et regarda le "couple", médusée.

-Hum. Le génasi semble mal en point.
-C'était ça ce qu'il voulait l'elfe??
-Vraisemblablement...

La patronne sembla réfléchir à la possibilité d'engager l'elfe dans son établissement, mais se ressaisit vite. Appelant quelque gros bras, ils déplacèrent les inconscients dans une autre pièce.

Puis Varloth revint à Sekhmet, poursuivant la souris.

Déboulant de dessous du lit, la souris couinant et gesticulante alors que les dents de la féline lui tenait fermement la queue, Sekhmet apparut, cheveux en bataille et robe de chambre en pagaille.

Elle regarda varloth, les yeux pleins de reconnaissances avant de se précipiter sur lui et de le renverser comme un gros saint-bernard le ferait avec son maître. Un gros Saint-bernard avec une souris dans la bouche…

Elle attrapa sa souris, en bouche, d’une main et commença, assise sur Varloth, à jouer avec, aspirant d’un coup sec l’un des yeux du malheureux rongeur encore vivant et suppliant dans des cris strident.

Sluurpp ! Elle est délicieuse… Merci… Dit-elle en grignotant l’une des oreilles de la souris du bout des crocs comme on grignote un chocolat de grande marque.
Elle se retourna vers le lit et demanda surprise: ou est le Génasi?

C'était le moins que je puisse faire après avoir été aussi peu galant et courtois.

Le génasi?

Lui et son compagnon ont été transportés dans une autre chambre, où ils attendent des soins.
Son compagnon était un elfe blanc, précisa-t-il.
C'est fort dommage que tu ne les ai pas vus enlacés amoureusement dans le lit. C'était assez cocasse!

Ma fois, je dois avouer être assez fier de ma farce. Je me demande comments nos deux protagonistes vont réagir, hum?

As-tu soif désormais? il sortit tant bien que mal la bouteille de lait, miraculeusement intacte.
Il se sentait mieux maintenant qu'il l'avait récupéré, et son parfum, son corp, tout contre le siens, le ravissait.

Ha ? Il était bi ? Enfin, s'intéressait par les deux sexes… farces ? Quelle farce ?

Demanda-t-elle, elle qui n’avait rien suivit des actions si ce n’est celles de la souris qu’elle poursuivait et qui, à présent, se faisait dépecer vivante.

La féline léchait avidement les chairs rosâtres mises ainsi à jours tout en attrapant la bouteille et regardant d’un air inquiet vers la chaise, la où les chaînes enchantées du Génasi attendaient.

Suivant son regard, Varloth posa un instant les yeux sur les chaines enchantées. Il aurait aimés se les approprier, mais si Sekhmet les avait regardées avec un air inquiet, c'est qu'elles étaient peut-être liées à leur maître.

Il dit : La farce? Oh! Et bien j'ai croisé un elfe blanc dans le couloir, qui désirait rencontrer ce brave génasi. Je lui ai dis de partir, mais il n'as pas obéit. Je l'ai donc endormi.

Puis, après être rentré et avoir vu le génasi, j'ai songé qu'il avait besoin de chaleur corporelle. L'elfe semblant tout indiqué, je les ai installés confortablement dans les bras l'un de l'autre.

Se préoccupant de choses plus immédiates, il demanda : es-tu blessée? Avec l'argent de notre cher ami, on devrais pouvoir acheter de quoi te remettre d'aplomb.

Invité

[Pecise moi si je me trompe en disant que tu as de nouveau ton apparence de grand gars]

L'elfe s'etait en effet reveillé assez vite, grace a sa grande résistance aux divers poisons, ce qui avait fortement surpris la personne qui devait le soigner, auquel il venait d'assener un coup de poing, pour se passer les nerfs. Il etait maintenant dans une colère folle et il s'avancait dans les couloirs, titubant car le poison etait d'une force assez extraordinaire. Son regard aurait pu faire peur a n'importe qui, et meme s'il ne pouvait surement pas manier l'enorme epée qu'il portait, ou meme un de ses sabres, on l'eut senti tout a fait desireux de le faire.

Il etait a la recherche de cet homme, a moitié pour lui faire la peau, et aussi pour... bizarrement, faire conaissance avec une personne assez folle et machiavelique pour se lancer dans ce genre de farce. Il ne savait ou il etait allé, mais l'elfe se dirigea lentement, et toujours en titubant, vers le couloir ou il l'avait trouvé, reprenant petit a petit un peu de ses forces grace a une potion de sa composition qui neutralisait lentement mais surement le somnifère qui l'affaiblissait completement.

Il benissait en ce moment ces longues heures passées a ingurgiter des poisons pour, plus tard, mieux y resister. Or donc, il arriva dans le couloir et vit la porte entrouverte. L'heure de la vengeance n'avait pas encore sonnée, mais en tout cas il avait a parler.

Il se cala dans l'encadtrure de la porte, et mesquin, il commenca, tout en ayant de très legeres difficultés a articuler

"La, je dois reconnaitre que vous avez fait fort, très fort..."

Je ne suis plus blessée, il m’a soignée avant que je le… massacre…
C’est souvent ainsi avec mes amants, je me demande pourquoi ? Pas assez résistant peut-être. Ou, pas assez prudent, sûrement.
Et cet argent va me servir à payer ta chambre et les soins dont tu as eu besoins.

Tiens ? Je pars à la montagne et toi tu en profite pour te faire de nouveau ami, Varloth ?
Elle regarda, se penchant en avant sur le Drow, pour tenter de voir qui se trouvait à la porte.
Lui, je ne le connais pas...

[hrp : il a encore l'apparence d'humain]

Oh! Et bien c'est l'elfe blanc dont je te parlais. Tout simplement. Sa résistance aux poisons m'étonne toutefois? Usage thérapeutiques? Sans doute, ou artefact, va donc savoir... Je suppose qu'il est là pour entendre mes explications... Que je serais ravi de ne pas lui donner.

À l'elfe : vous trouvez que j'ai fait fort? Pauvre petit... Soyez heureux alors de ne pas être la victime d'une de mes intrigues. Vous trouvez peut-être que j'ai fait preuve de talent? C'est m'insulter! fit-il, l'air faussement outré.

Durant tout le temps où il avait parlé, il avait saisit d'une main trois de ses cinq dagues magiques. Discrètement.

Vous désirez vous venger? enchaîna-t-il. Pathétique preuve d'une fierté inutile, dit-il en souriant. Il savait lui même qu'il aurait cherché aussi à se venger, mais uniquement par défi, non pas par fierté.

C'était impressionnant de voir quel point les émotions de l'elfe transparaissait sur son visage.

Rhoo ! L’autre !Toi ? Ne pas te venger d’une insulte !!

Elle se redressa, mimant la fille incrédule, en fait, son action consistait plus à dégager Varloth du poids et de la gène que son corps, couché sur lui, lui auraient occasionnée dans l’exercice du lancé de dague.

La bonne blague. Mais ? Qui est donc notre ami si courageux ?

Dit-elle avec une voix voilant à peine un certain appétit, autre que culinaire.

Invité

Le viseage de l'elfe se detendit. Un sourire apparut lentement. La colère s'etait evanouïe. Deux raisons pour cela: Il voulait plus ou moins gagner du temps, il sentait encore l'effet du poison, mais aussi parce qu'il voyait qu'il pourrait etancher sa curiausité.

"En cet instant, ma plus grande preoccupation n'est pas de me venger. J'y ai songé mais... Ce n'est pas le moment. Si j'avais voulu me venger, pensez bien que je n'aurais pas pris le temps de vous parler. Non, ce que je veux, c'est tout simplement connaitre le nom de celui qui m'a joué une si etrange farce... et aussi, recuperer un peu de ce que ce genasi me devait."

Disant cela, il jeta un bref regard vers la bourse mais revint vite sur l'inconnu dont il etait curieux de connaitre le nom, sans le moins du monde s'occuper de la femme qui etait aussi la.
Il se remit droit, dans une position qui lui permettrait sde degainer un sabre en cas de pepin, bien que pour quelqu'un n'ayant pas l'habitude de combatte au sabre, cela aurait paru le contraire.