Inquisition. À la gloire d'Ulric.

La compagnie hétéroclite, confiante dans la sécurité de l'auberge, s'endormit du someil du juste après avoir réglé encore quelques détais concernant l'enrôlement du Templier et de la route à suivre les prochains jours. Ils était fatigués, et les prochains jours promettaient d'être riches en évènements. Ils fallait donc impérativement qu'ils prennent du repos maintenant.

L'aubergiste souffla sa bougie, après avoir bariquadé les deux entrées menant à l'auberge. Les temps étaient calmes, mais on n'était jamais trop prudent. Il allait rejoindre sa chambre, quand le plancher craqua. Il se retounra vivement, une dague dégainée.
-Mauvais réflèxe, entendit-il dans son dos. Puis il se fit embrocher par une lance.

Une autre personne occupant l'auberge se fit tuer en allant pisser avant que l'alerte ne soit donnée.

ALERTE! ON NOUS ATTAQUE! AUX ARMES!!!

Mannfred se releva lentement sur son lit. Il était extrement fatigué, mais l'adrenaline l'aida à se concentrer. Il reveilla ses compagnons prochent. Il fallait qu'ils organisent une defence efficace.

Orc inculte débarquant Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 15/06/2006

Le répurgateur se leva aussitot que l'alerte fut donné et projeta la table la plus proche contre la porte d'entrée afin de bloquer l'entrée. Il s'atela ensuite à vérifier si le chemin en passant par la fenêtre était sur.

Siegfried sourit, qui cela peut-il bien être ? se demanda t'il.
Sur ceux il descendit, l'arme a la main.
Qui nous attaque ?

Le prêtre se réveilla avec difficulté lorsque Mannfred le secoua. Il constata qu'une agitation hors du commun régnait dans l'auberge. Une table avait été balancée contre la porte d'entrée de leur chambre, le répurgateur regardait par la fenêtre, Siegrfried n'était plus là et cette agitation semblait avoir gagné toute l'auberge.

Godric se précipita à la fenêtre et la terreur le gagna lorsqu'il vit les créatures qui les attaquaient. Elles avaient une silhouette humanoïde mais étaient couvertes de poils crasseux et certaines couraient parfois à quatre pattes. Leur corps entier rappelait celui des rats. Elles étaient armées de lances et d'épées et leur armure rudimentaire était à l'image de leur estimme pour la vie. Godric se souvint du nom que sa mère leur donnait : les hommes-rats, ces méchantes créatures qui vivaient sous la terre et qui venaient tourmenter les enfants pas sages. Il n'avait jamais cru en l'existance de ces choses et pensait que c'étaient des histoires que l'on racontait aux enfants pour leur faire peur. Ce spectacle bouleversait sa conception du monde et l'existance des skavens était très inquiétante.

Le coeur de Godric battait la chamade, mais il dégaina son épée et sauta par la fenêtre, non sans s'assurer que la hauteur était jouable.

L'air songeur, Teirrb parla tout haut: -Des Skavens... C'est très contrariant pour les doctrines de l'Eglise... Et de l'Empire. Enfin, parlons de cela une autre fois, un beau combat nous attend!!!! EN AVANT!!!!
Teirrb sauta à la suite du prêtre, sortit une dague et transperça la mâchoir inférieure d'un skaven par derrière. Ce dernier s'effondra, et Teirrb se tourna vers l'entrée de l'auberge, en disant auparanvent à ses compagnons:
-Ne vous approchez pas, je vais lancer un sort.
Et il se mit à inquanter.

Godric se battait avec avec une rage grandissante, mais le désespoir commençait aussi à le gagner. En effet, cela faisait plus de dix minutes qu'il tuait deux skavens à chaque coup de sa lourde épée, et il avait l'impression qu'ils étaient de plus en plus nombreux, ce qui n'était pas faux. Ces créatures pullulaient et grouillaient dans la taverne tels une irrésistible colonie de rats. Ils avaient à présent investi l'étage et des cris effrayés se faisait entendre. De nouveaux combatants au rabais arrivaient d'on ne sait où (les égouts en l'occurence, mais si Godric l'avait remarqué, il aurait déjà arrêté l'émoragie depuis un moment) en permanence et par dizaines. Le prêtre faisait ce qu'il pouvait pour retenir les bêtes, le temps que Teirrb ait fini son incantation, mais il commençait à être submergé par le nombre...

-Sauvez tout ce qui peut être dans la taverne! Teirrb avait hurlé ces mots à la fin de son inquantation. Pour sonner l'exemple, il se précipita dans l'écurie sortir les chevaux, puis tira des civils hors de la taverne.
10 minutes après, alors que les skavens prenaient un malin plaisir a piller et à égorger les dernier occupants de l'auberge, une pluie de rochers tomba sur cette derniere, écransant tout.

-Je crois que le mauvais sort nous poursuit... Dit Teirrb en regardant les décombres. Enfin, j'ai bouché une sortie des skavens... En route, ou nous allons mourir gelé cette nuit...

Et il se mit en route.

Marchant dans le froid hostile du bord du monde, les aventuriers, accompagnés des civils rescapés de l'auberge, avaient froid, très froid. Mais ils continuèrent, et plus d'un enfant ou plus d'une femme tomba, pour ne plus se réveiller. Le Templier finit sa vie dans une crevasse, sauvant, par sa mort, plusieurs autres personnes.
Et le répurgateur, apparamment dégoûté de devoir accompagner de "la racaille de civil" partit de son côté.
Godric, Manfred et Teirrb arrivèrent pourtant à amener à la ville la plus proche une bonne partie des rescapés.
Frostbourg était une place forte plutôt qu'une ville. Ses hauts remparts, son environnement froid et ses habitants, joyeux mais vivant au jour le jour, démontrait l'austérité de cette contrée.
Quand la colonne de rescapés arriva aux abords de la ville, la grande porte s'ouvrit immédiatement, et beaucoups d'habitants se proposèrent pour héberger 1 ou 2 rescapés. Teirrb et ses compagnons se gardèrent bien de parler de l'incursion des hommes-rats, les personne nouvellement arrivées qui en parlaient étaient immédiatement et irrémédiablement conduites dans l'asile du temple, le Temple d'Ulric.
Les 3 compagnons furent invités et conduits au dirigeant de Frostbourg, étant logiquement les "chefs" de l'expédition.
Ils furent conduits dans une maison un tout petit peu plus grande que les autres, qui fesait apparamment aussi office de caserne. L'odeur de chevaux, de sueur d'homme et d'excéments prirent les 3 hommes à la gorge. Puis, passé une porte, des effluves agréable de baumes aromatiques et de parfum les firent chanceler. Ils furent conduits à la salle d'eau, un big fat se baignant dans une immence baignoire.
#Quand je pense que les habitants de cette villes vivent dans la terreur et la merde, pendant que son dirigeant se prélasse dans le luxe... Il y a anguille sous roche...#
Teirrb remarqua aussi que le gros dirigeant masquait des cicatrices, dont il n'arrivait pas à voir le dessin, sous des gants.
-Hahaha! Voilà les sauveurs d'un pauvre petit village! Venez, venez!Racontez-moi vos aventures pour me distraire! J'aime tellement entendre des histoires de malheur, j'aime tellement ca!

A coté de la baignoire se tenait un homme envloppé dans une grande cape qui semblait etre le garde du corps du dirigeant. il ne bougeais pas mais observait les visiteurs d'un oeil inexpressif est noir(il a les yeux noirs, oui).
Il ne semblait pas avoir d'arme et il semblait essayer de savoir si les visiteurs avaient des intentions belliqueuses. Après quelques econdes il dit:

-Restez à minimum 5 pas du bain si 'il vous plait.
#J'épère qu'ils ne vont pas faire une connerie je pense qu'il pourraient etre utiles...#

Godric se présenta et expliqua sa présence en ce lieu : son initiative de rassembler un groupe, leur départ, le voyage puis l'épisode à l'auberge contre les hommes-rat. Godric crut déceler une note de déception sur le visage repoussant du gouverneur lorsque ce dernier apprit que l'auberge avait été intégralement détruite. Le prêtre s'attendait naïvement à des félicitations pour avoir sauvé tant de monde, lui et son groupe, mais le gros homme se contenta de soupirer. Vexé, Godric se tourna vers l'homme encapé :

-Et vous, qui êtes vous ?

-je m'appelle Barrid c'est tout cce que vous avez besoin de savoir. Si c'est tout ce que vous avez à dire laissez monsieur il est fatigué.

En effet, on pouvait voir que le gros bonhomme s'était enfoncé dans son bain et fesait plein de petites bulles en chantonnant:
-Hummmhummhummm hummhuhuhummmhummmmhuhuhummmm huhuhmmmmmhuhummmm mmmmuuuuhhhh mmmuuuuuhhh hhhuhuhuhuhmhmmmmmmu lalalal muuummmhhhuuuuu lalalalaltralatraltrlaltlrlaltrlaltrlrlalltrrlrtrllalltrlrl

[hrp¨] Oui il est bizzard[/hrp]

HRP: Pour me faire pardonner de mon manque d'inspiration, voici un petit monologue qui vous montrera si besoin l'était encore que Manfred est très pieu et un peu dingue.

-Mes amis, j'ai l'impression que notre expédition commence des plus mal. Il n'y a aucun doute à avoir. Les forces maléfiques savent que nous venons les détruire et ils sèment notre chemin d'embûches. Il est inutile de rester ici plus longtemps. Cet homme ne voudra pas nous aider. Sa cupidité doit être trop forte et ce gros bonhomme doit trop bien le payer pour que le voile noir des ténèbres lui laisse la moindre chance d'apercevoir la sainte mission que le Seigneur nous a confié.

Manfred toisa le garde du corps, ignorant totalement l'homme dans sa baignoire dont le prix des parfums aurait pu nourrir une vingtaine de familles.

Je te le dis au nom de notre bien aimé seigneur. Ouvre les yeux. Rejette ce voile. Regarde moi! Je suis l'humble serviteur de sa parole. Et mes compagnons et moi même somme venu ici afin de sauver tous ces pauvres gens dehors qui meurent de faim, de froid et de peur. Car dans les pleines blanches du Nord rôde le chaos. Cette engeance malsaine qui gangrène notre saint empire. Là bas, des humains vendent leurs âmes et deviennent des créatures hideuses et répugnantes qui ne peuvent être sauvé que par le feu purificateur du Seigneur.

Je te le dis au nom du Seigneur, dieu de lumière et de bonté, il nous faut détruire le mal à la racine pour pouvoir sauver tous ces pauvres gens. Mais également ces gens riches qui se perdent dans les méandres du mal. Car il appartient à ceux qui voient à travers les ténèbres de brandir bien haut le bâton de la foi.

Restera tu donc ici à servir ce dépavré de Slaneesh ? Crois tu que ton or te permettra de tromper les juges célestes quand tu sera mort, tué par un homme avide prendre ta place ? Je te le demande. Acceptera tu de nous aider ? Le mal nous a déjà prit deux compagnons. Marchera tu à nos cotés pour les venger ? Ne vois tu pas que le Seigneur te permet en ce jour de faire quelque chose de ta vie ? Cesse d'être cupide. Ne soit pas comme ces soit disant puissant qui échange une vie de débauche et de luxure contre une éternité d'agonie. Je te le demande, rejoins l'armée juste du Seigneur.

L'homme dans la baignoire se releva d'un coup, son énorme sexe violet et vert de brandissant fièrement. L'homme lui-même dressait fièrement une masse lourde, qui était cachée auparavent dans la baignoire.
-Tu OSE me traiter de supôt de Slaneesh?

Pendant que Manfred débitais son histoire Barrid s'était assit sur le bord de la baignoire et sde curait les ongles avec une dague.
Lorsque le gros commenca a crier il se leva brusquement, se placa devant la baignoire et dit d'une voix forte:
_ Maintenant vous quittez cette maison Monsieur ne vous pas invité ici pour que vous l'insultiez il y'a une auberge a peu près valable au bout de la rue.
Voyant que les aventuriers tardait à réagir il sortit son arc d'on ne sait ou et le pointa sur eux:
-Je n'aime pas me répéter!
Bizarrement sa voix commencait à laisser percer de l'inquétude et encore plus étrange il leur fit un clin d'oeil.

Teirrb prit par le bras Manfred et le prêtre.
-Venez, il faut qu'on y aille... Allons dans cette auberge.

Mannfred ne discuta pas et suivit Teirrb en direction d’une auberge crasse.

Guy était dans l'auberge depuis quelques temps. Il s'était assis dans un coin sombre et attendait. Personne de présent ne l'intéressait. Il alluma sa quinzième clope (il fumait une sorte de tabac noir qu'il faisait venir de la lointaine Cathay). Les jambes sur la table, il attendait et en profitait pour réfléchir. Pourquoi ses maîtres l'avaient abandonné ici ? Pourquoi Ombre avait-elle l'air d'avoir peur ? cela ne lui arrivait jamais. Il désespèrait, pas un seul homme valable par ici. Il fallait qu'il se défoule sur quelque chose. Demain, se promit-il, demain je pourrais. Ce soir, je dois attendre ici parait-il.

HRP/ Ho ~~merde~~ Zut de flûte de saperlipopette! j'avais pas vu que ca avait avancé/HRP

La porte de l'auberge s'ouvrit laissant passer Barrid, qui rapidement se dirigea vers le bar et interreogea le gérant:
- T'as pas vu une bande de mecs louches arriver?
-Ouais ...
-Où?
-~~Dans ton cul~~ La bas au fond de la taverne.
-Merci
Ceci dit Barrid se dirigea vers la table en traversant la salle il avisa un homme les pieds sur la table qui fumait, étonné par ses habits il decida de le garder à l'oeil. Arrivé à la table il s'assit sans attendre la permission et dit:
- Désolé pour le retard,ce gros porc ne me laisse aucune liberté mais il paye bien.

[Hrp] Ou alors vous vous battez et Guy essaie de vous aider. Il se bat certes bien mais n'est pas vraiment enclin à déclencher une baston [\Hrp]

Lorsque Barrid entra, Guy le suivit du regard. Il entendit alors les bribes de la conversation que le gérant avait avec le nouveau venu. ...bande de mecs louches... là bas,... *Ca me suffit, on l'observe calmement et discrètement et on voit ce qui se passe. Peut être une occasion de se distraire.* Il vit alors Barrid s'asseoir à une table et engager la conversation avec ceux qui l'occupaient. *Peut être sont ils plus intéressants que je ne le croyais, attendons encore,...*

Sortant une bourse qu'il avait subtilié au prêtre, Teirrb la posa sur la table, la bourse faisant le beau son d'une bourse bien remplie.

-Voilà ta pars si tu veux nous rejoindre, et combattre...
Il baissa la voix afin que personne outre la table ne l'entende:
-... Le Chaos... En commençant par le "gros porc", donc les mains sont marqués pas le signe de Slaanesh...

*Une bourse,... Voilà qui me plait. Espérons qu'il y aura un moyen de la subtiliser,...*
Guy continua à observer en silence et ralluma une nouvelle cigarette.

Barrid sourit et dis:
- Comme t'es observateur, je voulais justement vous en parler vous aviez l'air de ne pas apprécier mon employeur. Je vous aiderai volontier à tuer ce porc mais si on pouvait attendre demain, il me paye ce soir.^^
En disant cela il regarda les autres tables pour vérifier si qqn n'écoutais pas leur conversation il remarqua l'homme bizarre qui regardait fixement la bourse en bavant (ok j'éxagère).
Il demanda:
- Il est avec vous cet homme? (il montra l'homme du menton) Parce qu'il est louche, gardez un oeil ouvert cette nuit.

[HRP] idée no 23642: Guy trente de voler la bourse pendant la nuit étonné par ses capacités vous lui proposez de se joindre a vous[HRP]

[hrp] arrete. stop. idées merdeuses. stop. va te sucider.stop. [/hrp]

Teirrb sourit

-Non cet homme ne fait pas partie de notre groupe. Il m'est un tant soit peu louche, à moi aussi. Tuons ton gros porc demain, mais d'avord envoie cet homme au tapis, si tu veux qu'on t'emploie.

Teirrb se mit a se balancer, les jambes tendues

Le prêtre continua d'assister avec amusement à la scène. Se faire remarquer à peine arrivés n'était pas vraiment recommandé, mais la simple idée de déclancher une bagarre était assez excitante. Godric laissa donc aller le ritualiste à ses provocations. Après tout, il ne souhaitait qu'une bonne entente du groupe afin de mieux affronter les forces bien plus menaçantes qu'ils risquaient de rencontrer à l'avenir.

*He merde j'ai autre chose a foutre que de déclencher un baston les gardes sont a ma botte mais quand meme, pfff y fait chier*
-D'après moi c'est pas une bonne idée mais bon... Dans ce cas vous vous déclenchez une baguarre générale pour faire diversion et moi je lui tranche la gorge.

-Pas besoin de lui trancher la gorge, l'assomer et l'emmener avec nous est bien suffisant... HO! DERRIERE TOI!

Alors que l'homme se retournait, Teirrb lui décrocha un crochet du droit dans le ventre, l'envoyant de se fait au tapis.

-Voleur! Rend-moi ma bourse! Et toi! fit Teirrb en désingant l'homme cité auparavent. Tu es son complice! Aprêtez vous à perdre des dents!

L'attention de l'auberge était maintenant retenue par le groupe. Cetains clients étaient déjà en train de faire craquer leurs phalanges ou de remonter leurs manches...

Guy n'en revenait pas. *Qui sont ces abrutis ? Pourquoi m'attaquent-ils. Remarque, je m'en fous, je vais enfin pouvoir me défouler.* Il retira sa cigarette de sa bouche et l'éteint calmement. Puis il se leva lentement et se dirigea rapidement vers Teirrb. Arrivé à proximité il lui projeta un violent coup de poing dans la partie la plus virile de son anatomie puis lui infliga un puissant coup de pied dans le ventre qui projeta son adversaire au tapis. Nez voulant pas s'occuper de lui trop longtemps, il se retourna vers le reste de l'assemblée : D'autres amateurs ?

-Mouaha étranger, t'en aura pour ton argent!

C'est ainsi que Guy, submergé par le nombre de pouilleux, fût écrasé. Entre son nez brisé, ses 2 côtes casée est sa moitié surdité, il crût entendre Teirrb inquanter, pendant que le deuxième personnage, (Bonzo) semblait le protèger des clients de l'auberge.

Teirrb se releva alors que Guy était en train de plier sous le nombre. Il sourit, appréciant le spectacle, car il avait franchement mal aux couilles.

-Tien, bouffe, ça t'apprendra.

Puis, alors que Guy commençait à crier de douleur, Teirrb se mit à incanter.

Manfred, protège moi s'il te plaît. Et toi, l'nouveau, écarte les autres clients.

Ce dernier eut beau faire, les clients, déchargeant leur féroce haine envers leur dirigeant, se défoulaient sur Guy.

-Bordel! Portège-le ou il va crever!

Teirrb s'assit, se coiffa d'un étrange crâne, et saisit son coude droit avec sa main gauche, en terminant l'incantation.
Un gros bras de pierre, qui semblait immiter les mouvement du bras droit de teirrb, se matérialisa dans l'auberge!
Il se saisit délicatement du prêtre, puis, l'abritant dans sa paume, balaya le chemin jusqu'à Guy et le souleva lui aussi, le mettant hors d'atteinte.

-Soigne-le, s'il te plaît. fit Teirrb, le visage crispé par la concentration.

Toi, le lèche-botte du dirigeant de cette ville, tu vas te battre, Manfred te jugeant. C'est parfais pour voir tes capacités.

C'est ainsi qu'il se retrouva face à une dixaine de clients mécontents, armés de pieds de chaise ou de bouteilles brisées.

» HRP :inquisition.